Des nouvelles des Franco-Américains

De New-York, un article sur des cours de langue française, après les heures de classe:


http://www.frenchmorning.com/ny/spip.php?article1157


BRAVO À CES FRANCOS qui essaient de conserver leur langue!!!
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Un portrait d'un franco-américain de l'époque:

http://findarticles.com/p/articles/mi_7023/is_/ai_n28132392

Pour les intéressés:
le Centre Franco-Américain du Maine,
tenu par M. Yvon Labbé, du l'Université du Maine
http://www.francoamerican.org/

Les Francos du Maine:
http://www.francomaine.org/
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Une foule d'articles, de références, de bibliographies...., qui me
restent encore à découvrir...
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Encore plus d'histoires sur les franco-américains:

http://www.editionbeauce.com/actualites.asp?nID=7335&Cat=1

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Un peu surprenant que notre diffuseur public ne nous fasse pas part du dépôt du projet de loi portant sur l'enseignement de l'histoire franco-américaine au Maine alors qu'un petit média régional est capable de le faire. C'est pourtant un magnifique développement pour le milieu minoritaire nord-américain!

Sans être chauvin, il serait plus approprié de parler d'histoire franco-canado-américaine. Car l'histoire Franco-Américaine n'a rien à voir avec le peuplement de la Nouvelle-Angleterre par les Canadiens-Français.

Y parlions frança mais n'étions point Français.


Ça évite la confusion possible

Et New England a peu à voir avec l'Angleterre. "Franco-américain" me semble correct comme terme, et n'implique pas directement la France en ce qui me concerne. Le terme anglo-canadian est parfaitement bien compris.

Je crois que leurs natives parlent de "franco-americans" et ils doivent bien savoir ce dont ils parlent. Faudrait pas oublier non plus que la France a facilité l'indépendance des Etats-Unis. Non???

Il me semble que l'émigration française en Nouvelle-Angleterre soit canadienne-française. Donc, l'histoire a décrire est l'histoire franco-canado américaine. Comme j'ai dit: Y parlions frança mais n'étions point Français.

Que la France ait facilité l'indépendance des Etats-Unis n'a rien à voir avec le peuplement franco-canadien en Nouvelle Angleterre.

Et New England est le «base plate» de la nouvelle colonie anglaise en Amérique donc New England...comme New Brunswick ou Nova Scotia

Citation :

Je crois que leurs natives parlent de "franco-americans" et ils doivent bien savoir ce dont ils parlent

Faudrait leur dire

Note: Yankois ça c'est significatif

Je ne pense pas que ce qui s'appelle la Suisse Romande (et non pas française) ait jamais appartenu à la France. Genève a toujours été indépendante - au contraire, c'était la France qui dépendait des banquiers genevois - et le reste est passé sous beaucoup d'autres patrons - comme Neuchâtel sous la Prusse orientale. La Suisse italienne appartenait au duché de Milan jusqu'à 1478, date d'une sanglante bataille qui a réglé le destin de ces territoires une fois pour toutes.

J'écris cela non pour faire le pédant comme d'habitude, mais pour montrer qu'il est possible de vivre dans une zone francophone sans qu'elle n'ait jamais appartenu à la France.

Voir la pièce de théâtre "Je veux voir Mioussov", en français, à New-York, en plus, avec un but caritatif, pour des organismes de langue française:

http://www.france-amerique.com:80/articles/2009/05/01/je-veux-voir-mioussov-a-new-york.html

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Une histoire, comme 899,999 autres....

dont aussi celle de mon grand-père maternel qui est revenu au Québec, avec sa femme et 2 enfants, après 3 ans de vie aux USA. D'ailleurs, mon grand-père est le seul de ses nombreux frères et soeurs (15 ??) à être revenu après quelques années, les autres étant tous restés aux USA.

J'ai plus de petit-cousins aux USA qu'ici au Québec!!

L'histoirre qui suit n'est pas celle de mon grand-père, mais tout comme:
http://une-histoire-sans-fin.blogspot.com/2009/07/canadiens-francais-ou-franco-americains.html

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Ménènes FRANCO-AMÉRICAINS recherchés:
en l'honneur de Samuel de Champlain!

http://www.sudouest.com/charente-maritime/actualite/rochefort/article/801073/mil/5460659.html

COPIE:

Mercredi, le 9 décembre 2009
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BROUAGE. Après les Canadiens, le comité du mémorial veut convaincre des Américains pour continuer à restaurer les vitraux

TITRE DU TEXTE: Cherche mécènes aux Etats-Unis

Dimanche, la compagnie de Surgères « Rouge crinoline » a présenté « Les Voyages imaginaires », spectacle qui vient d'obtenir le prix Champlain à l'académie de Saintonge. En médaillon, le président Jean-Pierre Samoride. (PHOTOS K. C.)
Il n'avait pas fêté ses dix ans, il n'avait pas fêté ses vingt ans, mais dimanche, le comité du mémorial de la Nouvelle France a fêté ses vingt-cinq ans. Outre la fête autour d'une messe, d'un déjeuner et d'un spectacle, l'anniversaire marque un tournant pour le président qu'est Jean-Pierre Samoride.

Un pèlerinage
Rappelons que l'association a pour objet de promouvoir l'église de Brouage, berceau de Samuel Champlain, comme mémorial des origines exemplaires de la Nouvelle France, en en faisant le pèlerinage favori de tous les Canadiens et Franco-Américains. Le mémorial rend aussi hommage à tous les saints missionnaires, aux fondateurs et aux pionnisers.

Car, par exemple, la fondation de la ville de Montréal est unique dans la colonisation française. Loin de l'avidité mercantile ou de la conquête militaire, la mission des pionniers était de pourvoir à l'instruction des Amérindiens, de veiller à leur santé et de les évangéliser. Et l'exposition permanente présentée dans l'église, qui est en cours de refondation, raconte bien les origines religieuses de la Nouvelle France.

Cap sur les États-Unis
Toujours pour célébrer cette histoire et pour jeter des ponts entre Brouage et ses enfants d'outre-Atlantique, le mémorial a oeuvré, depuis son origine, à restaurer les vitraux de l'église où Champlain se recueillait.

Grâce aux subventions françaises et canadiennes, sans oublier le mécénat de la fonction Mac-Donald-Stewart, sept vitraux ont été refaits à ce jour, qui racontent l'histoire religieuse et civile de la Nouvelle France.

« Désormais, nous nous tournons vers les États-Unis de la côte Ouest (Vermont, Connecticut) pour développer de nouveaux mécénats et ainsi intéresser les descendants des fondateurs, de nationalité américaine aujourd'hui, à l'embellissement de l'église pour y refaire de nouveaux vitraux. Car 14 restent à faire !

Pratique : Comité du mémorial de la Nouvelle France, 1, place Saint-Vivien, 17100 Saintes. Tél. 05 46 93 09 92.


FIN DU TEXTE
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Des livres précieux produits par des représentants de l'Église catholique de la ville de Québec, EN LANGUE FRANÇAISE, datant de 1890, archivés à la bibliothèque de l'Université Harvard, sur l'histoire d'émigration des FRANCO-AMÉRICAINS, de fin des années 1700 jusqu'à 1930:

http://tolkien2008.wordpress.com/2009/12/26/quelques-documents-sur-les-canadiens-francais-aux-etats-unis-universite-harvard/

http://pds.lib.harvard.edu/pds/view/4543989?n=29&imagesize=1200&jp2Res=.25

http://pds.lib.harvard.edu/pds/view/4609425?n=6&imagesize=1200&jp2Res=.25

Il faut prendre le temps de lire ces livres!!
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D'autres liens internet ou bien les mêmes que précédemment:


NOTE: l'histoire d'un grande partie de ma parenté franco-américaine:
http://www.francoamericanarchives.org/FR%20files/homeFR.php

http://tolkien2008.wordpress.com/2010/01/31/photographies-anciennes-des-francophones-de-old-town-maine/

http://tolkien2008.wordpress.com/2009/11/07/le-maine-memory-network-la-memoire-des-francophones-du-maine/

"La St-Jean-Baptiste, au Maine":
http://www.mainememory.net/sitebuilder/site/216/page/475/display

à ce lien, à la photographie 10 de 23, on peut voir un "drapeau du Québec" en 1947, aux USA, dans le cadre des festivités de la St-Jean-Baptiste, avant même que ce drapeau ne devienne "officiel" au Québec, en 1948: voir le drapeau du Québec entre celui de la France et des USA, juste au-dessus de la porte d'entrée:
http://www.mainememory.net/sitebuilder/site/216/slideshow/254/display?use_mmn=&prev_object_id=475&prev_object=page&slide_num=10&amp=&amp=
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Des étudiants Haïtiens, déménagés à New York, dans des lycées FRançais:

http://frenchmorning.com/ny/2010/02/06/continuer-a-vivre-et-a-apprendre/

Continuer à vivre et à apprendre

06/02/2010, webmagazine de New York "French Morning"

Depuis le tremblement de terre une trentaine de jeunes haitiens sont arrivés à New York dans les établissements franco-américains. Neuf sont au Lycée Français, vivant entre soulagement de pouvoir poursuivre leurs études et angoisses pour ceux restés là-bas. Rencontre.

Mardi 19 Janvier. Yves Thézé le proviseur du lycée français de New York reçoit un coup de fil d’Haiti. Au téléphone, une élève de 3ème du lycée français de Port au Prince lui demande de lui venir en aide en l’acceptant dans son établissement. “Elle m’a supplié de la prendre“ se souvient Yves Thézé. « Elle voulait absolument continuer ses études. Je pensais qu’elle serait la seule mais très vite nous sommes arrivés à 35 demandes ». Les différents établissements de la région de New York se sont alors coordonnés pour se répartir les élèves. L’école Franco-Américaine, le Lyceum Kennedy, l’école internationale de New York ont également intégré des élèves.

Au lycée français, le dispositif d’accueil ne tarde à se mettre en place. Le Board accepte la gratuité de leur scolarité. L’association des parents d’élèves de son côté finance l’achat des livres et la cantine. Ils sont aujourd’hui 9 à avoir fait le voyage Haïti-Etats-Unis. Ralph vit chez sa tante à Brooklyn en compagnie d’une cousine et d’une très proche amie arrivées comme lui de Port au Prince il y a 2 semaines. Sa maison du quartier aisé de Pétionville est trop fissurée pour y habiter. Sa maman dort dans le jardin. Le Lycée français où il était inscrit a été transformé en hôpital de campagne.

Très calme, ce garçon de 15 ans, toujours souriant, raconte qu’il ne veut plus prendre de nouvelles d’Haiti. « J’en ai trop entendu, j’ai peur d’entendre encore des malheurs ». Dimanche dernier, une réplique a de nouveau touché son pays. Il a aussitôt appelé pour savoir si sa famille restée là-bas allait bien. « Tout va bien » soupire-t-il « mais il faut que je pense à moi, à mes études, à mon avenir ». C’est ce qui l’a poussé à faire le trajet : Port au Prince-Santo Domingo en voiture puis l’avion pour rejoindre New York.

Ariel elle aussi souhaitait poursuivre ses études. Elle est en terminale. Comme Ralph et les 8 néos étudiants du lycée français, elle connait très bien New York pour y venir chaque été en vacances, rendre visite à sa famille. La région de New York compte près de 270 000 haïtiens (juste derrière le Sud de la Floride avec 313 000). « Je ne me sens pas perdue » dit-elle en mélangeant parfois l’anglais et le français, « je vis dans le Queens chez mon oncle. A l’école c’est pareil, le programme n’est pas très éloigné, je trouve même que c’est plus facile qu’en Haïti. Ici, on reçoit beaucoup d’aide et de soutien. A Port au Prince, il fallait que l’on se débrouille seul ».

Dans le couloir, en attendant de rencontrer Jean-Pierre Raffarin en visite à New York, le « club des 9 » discute et échange des nouvelles d’ Haïti. La conversation tourne assez vite autour des angoisses et des peurs.

Progressivement, Ariel, Ralph et plusieurs autres élèves confient leurs difficultés à vivre normalement, même aux Etats-Unis, plus de 3 semaines après le séisme. Il y a le 6 ème étage du lycée qui effraye Emmanuelle. « Je cherche à chaque fois par quelle porte ou par quelle fenêtre je pourrais sauter si cela tremble. J’essaie de ne pas y penser mais je n’y arrive pas ». Il y a aussi Joséphine et son angoisse de la secousse. « J’étais dans un mall hier, le métro est passé en dessous, j’ai ressenti le sol trembler et j’ai eu peur » avoue-t-elle en se le reprochant. Loïc poursuit : “Moi j’étais chez la psycholoque du lycée. C’est un lieu calme. Il ya un drapeau dans son bureau. Le vent s’y est engouffré. Il y a eu un grand bruit, j’étais complètement paniqué. J’essaie de ne pas y penser mais c’est là… Je ne peux m’en empêcher.”

Autour de Loic, ses amis essaient de plaisanter pour penser à autre chose. Dans quelques minutes ils seront en vacances. Lui continue, emporté par son envie de parler : « A la fin c’est une obsession. Le choc que l’on prend avec le tremblement de terre est inexpliquable. » Joséphine l’interrompt : « Et ça on l’aura en nous pour toute la vie, quoique l’on fasse ». Même à des milliers de kilomètres… A New York ou ailleurs.

Philippe Antoine

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QUI EST "FRENCH MORNING ?"

http://frenchmorning.com/ny/qui-sommes-nous/

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Le programme "French Heritage": prix spécial des "Ambassadeurs des pays de la Francophonie", dont le Québec fait partie aussi (!?!)

http://www.france-amerique.com/articles/2010/02/11/le_programme_french_heritage_prix_special_de_la_francophonie.html

le programme "French Heritage" (!?!):
http://facecouncil.org/fhlp/

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D'autres documents historiques très précieux ?? :

http://tolkien2008.wordpress.com/2010/04/21/quelques-livres-numerises-sur-les-franco-americains-1872-1920/

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Si vous voulez participer à des activités sociales et culturelles avec des FRanco-Américains, le mois prochain, en Nouvelle-Angleterre, voici l'invitation:

COPIE DE L'INVITATION

Le Foyer
http://www.lefoyer.org/

Phone 401 728 8328

Email: lefoyer@lefoyer.org
Address:
PO Box 2010
Pawtucket, RI 02861

NEWS RELEASE FOR

FRENCH CANADIAN CULTURAL CELEBRATION

BLACKSTONE RIVER VALLEY SALUTES FRANCO-CANADIAN HERITAGE AND CULTURE WITH FESTIVE THREE-DAY CELEBRATION -- IN PAWTUCKET, RI


Rhode Island has a proud heritage of French-Canadian ethnic culture. According to the 2005 estimates provided by the US Census, 17.3 percent of the "Ocean State's" residents claim Franco-Canadian ancestry, with many living in the historic Blackstone River Valley.

From September 17-19, come and participate in the 2010 French-Canadian Celebration with events taking place at two locations in Pawtucket, RI. The Blackstone Valley Tourism Council (BVTC) and the Le Foyer are presenting events.

Locations are at the Blackstone Valley Visitor Center, 175 Main Street and the LeFoyer Club, 151 Fountain Street.

Cultural entertainment is being provided in collaboration with the following organizations: American French Genealogical Society of Woonsocket (AFGS), Museum of Work & Culture, St. Ann's Art & Cultural Center, Club Richelieu International of Woonsocket, Royal Arcanum/ACA Division - Chapter Frere Andre, Catholic Knights/Catholic Family, Royal Arcanum/ACA Division - Chapter Ste Anne, Fall River, MA, Club Richelieu International of Fall River, Royal Arcanum/ACA Division-Chapter St. Rosaire New Bedford, MA and La Ligue des Président of Greater New Bedford

Celebrate through music and dance the proud ethnic connections and traditions of French-Canadians.

Here is a complete schedule of events for the three days of festivities:

Events At Le Foyer Hall - 151 Fountain St, Pawtucket, RI

Friday, September 17, 7:30 - 10 PM
Danse Canadienne (Canadian Folk Dance) & lessons by Pierre Chartrand accompanied by Richard Forest and Martine Billette

Saturday, September 18, 7:30- 10 PM
Une Soiree Canadienne under the direction of Pierre Chartrand with Richard Forest, fiddler, Martine Billette, stepdancer accompanied by GAÉTAN Morrissette and 'Les Bottes Sauvages' and local musicians

Sunday, September 19, 8:00 AM - 10:00 AM
- Breakfast Buffet with the performing artist

Events at the Blackstone Valley Visitor's Center- 175 Main Street, Pawtucket, RI

Saturday & Sunday, September 18 - 19, 12 noon - 4:00 PM -
Every hour on the hour a presentation will take place featuring various French-Canadian cultural entertainment, including:

Dance Performance demonstrations, Fiddling, Storytelling and other artistic works will be presented in the Auditorium and Foyer along with table presentation from several French Canadian organizations.

Ticket reservations can be made today by calling 401-728-8328 or purchased at Le Foyer Hall, 151 Fountain St. Pawtucket, RI

For more information on this special weekend of cultural events call the Blackstone Valley Visitor Center at 401-724-2200 or Roger Bonin 401-305-0784

Ticket Sale & Prices

Canadian Danse- Friday, Sept 17. 7:30 -10:30 PM
Advance R: $15, at door $18

Soiree Canadienne - Saturday, Sept 18. 7:30 -10:30 PM
Advance R: $18, at door $21

Sunday Breakfast-Sunday, Sept 19. 8:00 AM - 10:30 AM
Advance R: $12, at door $15

Members Special - Any two admissions $25 advance reservations

Special Weekend Passes: $40 admission to all three programs

For Ticket Reservations Call Roger at 401-305-0784
This message was sent by: Le Foyer Club, PO Box 2029, Pawtucket, Rhode Island 02861

FIN DU COMMUNIQUÉ

Commentaires: Les Franco-Américains ont compris, depuis longtemps, qu'ils devaient vivre leur francophonie EN ANGLAIS -- (voir le texte d'un journaliste FRançais, sur le site de vigile.net, qui demande aux FRançais de vivre et de faire connaître la FRance en anglais)...

Non, enfin, trêve de plaisanterie, malgré tout, certains Franco-Américains tiennent toujours à se remémorer leur descendance francophone et à célébrer leur culture d'origine.

Ces descendants de Québécois et d'Acadiens, dont près de la moitié, sinon même les deux tiers, ont émigré dans les États de la Nouvelle-Angleterre, aux USA, il y a 100 à 150 ans (surtout de 1840 à 1930, soit à partir de la rébellion des Patriotes, au Québec, jusqu'à la crise de 1929). Ces ancêtres étaient appelés "Canadiens-Français", appellation en vigueur surtout entre 1860 et 1960.
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PS: si ce n'avait été de cette émigration de Québécois vers les USA, entre 1840 et 1930, émigration encouragée par le gouvernement fédéral d'alors, qui envoyait des "agents fédéraux" dans les villages québécois pour inciter les gens à déménager aux USA ---voir le roman et le film: "Les Tisserands du Pouvoir" de Claude Fournier, Éditions Québec-Amérique---, nous serions, au Québec, entre 15 et 20 millions de francophones au Québec...
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Et pendant cette même période, de 1840 à 1930, le fédéral faisait venir, par grands bâteaux et gratuitement, des gens des Europes, surtout de l'Est, pour venir peupler les provinces de l'Ouest. Les terres étaients confisquées des Autochtones vivant déjà sur ces terres (Manitoba, Saskatchewan et Alberta (voir Louis Riel) pour les donner aux nouveaux arrivants. C'est ce que le fédéral faisait, où, en plus la langue française était bannie de ces provinces (Manitoba en 1890), et même de l'Ontario (1912).
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voir:
http://www.livresquebecois.com/livre.asp?id=isdugypzjupzju&/les-tisserands-du-pouvoir/claude-fournier

EXTRAIT:

Description

Au début du xxe siècle, le Canada paie pour faire venir des immigrants allemands, polonais ou ukrainiens, mais il laisse les Canadiens français s'exiler aux États-Unis par milliers.

Insouciance ou conspiration d'un gouvernement anglo-saxon pour se débarrasser d'un peuple inassimilable ?

Quatre-vingts ans plus tard, un descendant de ces Canadiens français, Jean-Baptiste Lambert, armé jusqu'aux dents, menace de se faire sauter avec deux otages, à moins que ses compatriotes ne consentent à retourner aux racines de leur histoire.

FIN DE L'EXTRAIT

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À l'été 2008, pendant les Fêtes du 400ème de la Ville de Québec, des Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre ont donné à la ville de Québec une stèle, d'où on peut y lire beaucoup de textes sur leurs histoires ancestrales. Ces Francos sont venus de la Nouvelle-Angleterre, en ce 2 juillet 2008, pour venir inaugurer ce monument:

http://sites.google.com/site/lefoyerorg/Home/lefoyer-newsletter/news-in-new-england

Publie par L'Institut Francais...automne 2008:

COPIE DU TEXTE

Un group zele de Franco-Americain de la Nouvelle-Angleterre prirent la decision cette annee de marquer le 400ieme anniversaire de la fondation de la ville de Quebec par Samuel de Champlain, en offrant un monument a la ville.

Ce monument prit forme au courant du printemps du 2008 et fut inaugure le 2 juillet dernier par le premier ministre Jean Charest qui le devoila avec Dr. Claire Quintal represantant l'Order des Francophone d'Amerique. (Dr. Quintal est la directrice-emerite de l'Institut Francais au college de l'Assomption a Worcester, MA.)

Aussi present au devoilement etaient le maire de la ville de Quebec, Regis Labeaume, le gouverneur du Vermont, James Douglas, le senateur de cet etat, Patrick Leahy, le secretaire d'etat du New Hampshire, William Gardner ainsi qu'un groupe nombreux de Franco-Americains.

C'est a Claire Quintal qui fut accorde l'honneur de faire le discours de circonstance. Suivent quelques paragraphes de son discours:

"JE ME SOUVIENS" est pour nous Franco-Americains, une expression lourde de signification. Ce nomument que nous inaugurons de facon solennelle est la preuve tangible que nous avons pris a coeur de donner forme et substance a cette maxime. Par le moyen de ce monument, nous avons tenu a demontrer, de facon aussi solide et durable que possible, notre fidelite, non seulement a cet adage, mais aussi et surtout au pays de nos ancetres car NOUS N'AVONS PAS OUBLIE NOS ORIGINES. (et nos cousins/RH)

Situe au bord du magnifique fleuve qui a, depuis 400 ans, porte les reves et les espoirs de nos devanciers a nous tous, generation apres generation, ce monument represente aussi notre espoir, a nous de la diapora, que le Quebec, de son cote, ne nous oubliera pas, qu'il se souviendra, longtemps encore, de ceux qui sont partis la mort dans l'ame afin d'assurer l'avenir des leurs.

Se souvenir, ne jamais oublier, ce sont-la les mobiles qui nous ont portes a unir les notres a travers la Nouvelle-Angleterre afin d'assurer que ce monument voit le jour...

Que ce monument soit donc un temoignage, souvenir de notre fidelete a nos racines, attestation aussi que de loin nous cherissons toujours ce pays dont le sol a ete foule pendant des generations par nos ancetres a nous, tout comme les votres...

Situe au Parc de la Jetee, au bord du fleuve St.-Laurent, le monument est a la fois un hommage a la ville de Quebec ainsi qu'aux Franco-Americains restes fideles a leurs racines quebecoises.

Sur le monument de granit figure un plaque montrant la proximite du Quebec avec la Nouvelle-Angleterre ( les etats du Vermont, New Hampshire, Maine, Massachusettes, Connecticut et le Rhode Island). Les six etats de la region ainsi que les villes principales ou les Franco-Americain se sont etablis sont mis en evidence. En dessous se trouve une plaque en bronze contenant un hommage "a la ville mere des Franco-Americains qui vouent, encore de nos jours, leur fidelite aux valeurs ancestrales apportees aux Etats-Unis par leurs aieux."

Une autre plaque sur le dos du monument donne la liste des villes et villages de la Nouvelle-Ancleterre ou les noms de ceux et de celles qui, ayant contribue de facon genereuse, rendirent possible la transformation d'un beau reve d'hommage en une realite capable de rappeler aux Quebecois un grand pan de leur histoire: l'emigration vers la Nouvelle Angleterre de centaines de milliers des leurs.-------------------------------------------------------------------------------------
(J'espere que vous irai visite ce monument quand vous etes a la ville de Quebec...Ci bas est une photos du monument....Aussi je vous offre mes meilleurs souhaits a l'ocasion des Fetes...Ronald Heroux (RH), un Franco-Americain, fier de son heritage...)

FIN DU TEXTE RECOPIÉ
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PS: comme j'ai déjà écrit, j'ai beaucoup plus de parenté aux USA qu'au Québec. Mon grand-père paternel est le seul, d'une famille parmi 14 enfants, à être revenu des États, après 3 ans de vie à travailler dans des manufactures, de 1895 à 1898, soit à l'apogée de l'émigration des Québécois vers les USA entre 1880 et 1910. Plein de petits cousins anglos en Nouvelle-Angleterre, et en Californie, etc..
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Pour les intéressés:


L'Universitaire M. Yves Roby, membre associé du "Centre Interuniversitaires d'Études Québécoises", l'auteur de plusieurs livres sur les "Franco-Américains"...


http://www.cieq.uqtr.ca/equipe.php?section=ASSO&document=65

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COPIE:

Coordonnées
Centre interuniversitaire d’études québécoises (CIEQ)
Université Laval
Québec (Québec)
G1V 0A6

Téléphone: 418-656-1427

Courriel: royroby@manoirarcher.com


Champs de spécialisation
États-Unis, XIXe-XXe siècles
Histoire sociale des Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre, de 1865 à nos jours

Principales réalisations
Roby, Yves. Histoire d'un rêve brisé? Les Canadiens français aux États-Unis. Québec, Septentrion, 2007. 148 p.

Roby, Yves. « La forteresse de la race. La paroisse franco-américaine, 1850-1976 ». Serge Courville et Normand Séguin (dir.), La paroisse. Sainte-Foy, Les Presses de l’Université Laval, 2001, p. 249-263.

Roby, Yves. « Les fluctuations de la conjoncture et la formation de l'identité franco-américaine : un regard sur le début des années 1880 ». Andrée Courtemanche et Martin Pâquet (dir.), Prendre la route : l'expérience migratoire en Europe et en Amérique du Nord du XIVe au XXe siècle. Hull, Vents d'Ouest, 2001, p. 25-35.

Roby, Yves. Les Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre : rêves et réalités. Sillery, Septentrion, 2000. 526 p.

Roby, Yves. Les Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (1776-1930). Sillery, Septentrion, 1990. 434 p.



Principaux projets de recherche
Histoire des Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre

De Canadiens français des États-Unis à Américains d'origine canadienne-française

FIN DU TEXTE

Toute une panoplie de liens internet sur l'HISTOIRE DE NOS COUSINS FRANCO-AMÉRICAINS..., sur ce MILLION de Québécois et de leurs descendants qui sont allés vivre dans les États de la Nouvelle-Angleterre, surtout entre la période de 1850 et 1930.

===PS: selon des historiens, nous serions entre 15 et 20 millions, au Québec, si cet exil n'avait pas eu lieu.

Et ces Québécois étaient encouragés à s'exiler aux USA, par les activités D'AGENTS FÉDÉRAUX francophones, spécialement PAYÉS par Ottawa pour encourager l'exil des Québécois, pendant qu'Ottawa allait chercher à pleins bâteaux, surtout dans les années 1890 (après la pendaison de Louis Riel en 1885) jusque vers 1920, de nouveaux Canadiens provenant de l'Europe de l'Est. Ottawa leur payait gratuitement le transport à partir des Europes, et leur donnait des lots de terre pour les aider à s'installer et à coloniser les provinces de l'Ouest, soit le Manitoba, où, en 1890, la LANGUE FRANÇAISE A ÉTÉ ABOLIE, et la l'Alberta et la Saskatchewan, fondées en 1905, tellement la progression des habitants était fulgurante.


Aux intéressés:

http://tolkien2008.wordpress.com/2010/12/29/blogue-et-carnet-sur-les-franco-americains-et-lamerique-francophone/

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Plus d'infos:
http://www.livresquebecois.com/livre.asp?id=isdugypzjupzju&/les-tisserands-du-pouvoir/claude-fournier

EXTRAIT:
Description
Au début du xxe siècle, le Canada paie pour faire venir des immigrants allemands, polonais ou ukrainiens, mais il laisse les Canadiens français s'exiler aux États-Unis par milliers.

Insouciance ou conspiration d'un gouvernement anglo-saxon pour se débarrasser d'un peuple inassimilable ?

Quatre-vingts ans plus tard, un descendant de ces Canadiens français, Jean-Baptiste Lambert, armé jusqu'aux dents, menace de se faire sauter avec deux otages, à moins que ses compatriotes ne consentent à retourner aux racines de leur histoire.
FIN DE L'EXTRAIT


PS: si vous avez la chance de mettre la main sur LE FILM: "TISSERANDS DU POUVOIR".... vous allez en rager!!!

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Un article sur vigile.net avec des commentaires intéressants
http://www.vigile.net/Les-Franco-Americains

Des nouvelles sur "Jean Moisson":

http://louisiane.catalogne.over-blog.com/article-jean-moisson-n-a-jamais-doute-de-la-survivance-du-fran-ais-aux-etats-unis-80491357.html

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