Des nouvelles de l'Acadie, des Acadiens...

Sénateur a écrit:

Même si elle n'est pas de ton cru, elle est superbe ta phrase.

"

Citation :

j'aime ta skirt, la way qu'a hang"...

Pour Noël tu pourrais t'offrir ce cadeau

http://www.capacadie.com/videos/45966

Trop généreux de ta part, Sénateur!
Mais c'est noté, je vais m'acheter le livre!!

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pour les intéressés du chiac:

Éloge du chiac, par Michel Brault, film fait il y a 40 ans:
http://www.onf.ca/film/eloge_du_chiac/

Et la bande-annonce de l'Éloge du chiac, 40 ans plus tard, cette année:
http://www.nfb.ca/film/eloge_du_chiac_part_bande_annonce/

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Aucune autre perle provenant de la galerie , je vous offre donc ce collier pigé sur Vigile.

https://www.youtube.com/watch?v=jxev9qgQnIg&feature=player_embedded

Programme de bourses de stages en FRANCOPHONIE DU SUD!!

http://www.gnb.ca/cnb/newsf/iga/2010f0215ig.htm

COPIE DU COMMUNIQUÉ:

Contribution financière à un programme de bourses de stages en Francophonie du Sud (10/02/15)


NB 215

le 15 février 2010

FREDERICTON (CNB) - Le gouvernement provincial accorde une contribution financière de 50 000 $ au nouveau programme de bourses de stages internationaux en Francophonie du Sud du Bureau des Amériques de l'Agence universitaire de la Francophonie et de l'Association des universités de la Francophonie canadienne.

Le ministre du Mieux-être, de la Culture et du Sport, Hédard Albert, qui est également ministre responsable de la Francophonie, en a fait l'annonce dans le cadre de la cérémonie d'ouverture de la Semaine internationale à l'Université de Moncton, en présence du directeur du Bureau des Amériques, Pierre Noreau.

Plusieurs étudiants de l'Université de Moncton participent annuellement à des stages crédités au sein de l'espace francophone. Ce projet augmente l'accès des étudiants des communautés francophones et acadiennes du Canada à des stages et des occasions de formation à l'international.

« Je suis convaincu que ces stages développeront les compétences internationales et interculturelles des étudiants et qu'ils favoriseront leur ouverture sur le monde, contribuant ainsi à préparer le citoyen de demain », a affirmé M. Albert.

« Le Nouveau-Brunswick est un partenaire important dans les actions et activités de la Francophonie, a-t-il dit. Notre contribution au programme de bourses de stages internationaux en Francophonie du Sud en est un bel exemple. Elle favorisera l'engagement des universités et des étudiants dans une perspective de solidarité Nord-Sud. »

Le ministre a également tenu à réaffirmer l'engagement du gouvernement envers la croissance de l'Agence universitaire dela Francophonie, une agence universitaire qui compte maintenant plus de 728 universités membres sur les cinq continents.

Le Nouveau-Brunswick est membre de l'Organisation internationale de la Francophonie depuis 1977 et y participe activement. L'Agence universitaire de la Francophonie est un opérateur direct de la Francophonie, et son siège social est situé à Montréal.

2010-02-15

PERSONNE-RESSOURCE : Brendan Langille, communications, ministère des Affaires intergouvernementales, 506-444-4594.

2010-02-15

FIN DU COMMUNIQUÉ

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Explique "Francophonie du Sud". Je comprends pas.

---Roy---

Roy a écrit:

Explique "Francophonie du Sud". Je comprends pas.

---Roy---

Selon moi (mais je peux me tromper), cela voudrait dire la Louisiane, Haïti, et tous les autres pays de l'Amérique du Sud et du Pacifique où la langue française est utilisée.

Et, selon moi aussi, ce programme de subventions est ouvert aux étudiants Universitaires Acadiens seulement, pas de d'autres pays. Cela reste à vérifier auprès de ces universités.
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Le groupe Acadien Radio Radio à tout le monde en parle ce dimanche soir.

https://www.youtube.com/watch?v=7cRPH4lb8UI

Des armoiries et des liens de généalogie..., dont les Richard

http://letoileshediac.jminforme.ca/article/965105

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EXTRAIT ... POUR LES RICHARD:

MESSAGE DE LA FAMILLE RICHARD
Lors de l'assemblée générale annuelle de 2008, les membres de l'Association des Richard du Nouveau-Brunswick Inc. ont mandaté son Bureau de direction d'entreprendre des démarches en vue d'obtenir des armoiries pour leur association. Quelques membres du Bureau de direction ont alors rencontré monsieur Robert Pichette, Héraut Dauphin Extraordinaire, et grand expert dans le domaine de l'héraldique pour discuter du projet.

Après quelques recherches, M. Pichette leur fit part que le grand patriote acadien, Mgr Marcel-François Richard, avait lui-même obtenu des armoiries vers 1910 et qu'il serait peut-être souhaitable que l'Association des Richard s'inspire de celles-ci. Ses armoiries comprenaient entre autre une goélette avec comme fond le drapeau acadien ainsi qu'une devise en latin Vidimus stellam ejus (Nous avons vu son étoile). On fit quelques autres modifications et on ajouta aussi des fleurs de soucis puisque notre ancêtre, Michel Richard, portait le sobriquet de sans soucis, on ne sait pas trop pourquoi.

Cette ébauche d'armoiries fut soumise à l'Autorité héraldique du Canada à Ottawa et après de nombreux échanges de lettres et de courriels et quelques modifications, on remettait à l'Association en date du 15 juillet 2009 le document officiel de ses armoiries. Le dévoilement eut lieu le 16 août lors de la rencontre des Richard à Néguac dans le cadre du Congrès mondial acadien.

[b]Le président d'honneur de la rencontre, Zachary Richard, en fit le dévoilement en compagnie de la doyenne de l'Association, Vitaline Richard âgée de 96 ans, et du président de l'Association, Alyre Richard de Saint-Ignace.[/b]

Il est possible d'obtenir plus de renseignements et des photos des armoiries en visitant le site Internet de l'ARNB à l'adresse:
www.associationrichard.ca

Jean A. Richard

Secrétaire

Association des Richard du Nouveau-Brunswick Inc

FIN DU TEXTE
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La nouvelle "Image de marque" du "Festival Acadien de Caraquet"

http://www.francomix.com/breve-La_nouvelle_image_du_Festival_acadien_de_Caraquet-1117.html

COPIE:

Le Festival acadien de Caraquet vient de dévoiler sa nouvelle image destinée à renforcer ses objectifs qui sont de présenter la culture acadienne, son ouverture sur le monde et son interaction avec d’autres cultures, particulièrement dans le cadre de la francophonie.

Les thématiques des prochaines éditions du Festival acadien de Caraquet refléteront cette orientation avec en 2010 l’Acadie et la francophonie des Amériques et en 2011 l’Acadie et la francophonie internationale. L’année 2012 soulignera le cinquantième anniversaire du Festival.

La refonte de l’image du Festival acadien de Caraquet marque aussi le lancement d’un campagne promotionnelle qui s’étalera des Maritimes à la scène internationale en passant par le Québec et les États-Unis.

Un nouveau slogan, un nouveau logo...:
Avec son nouveau slogan « Une culture en fête » et son nouveau logo, le Festival acadien de Caraquet met l’’accent sur l’aspect festif de cet événement.

... et un nouveau site Internet 2.0
Le 16 mars prochain, le Festival acadien de Caraquet ouvrira son nouveau site, plus participatif et communautaire.

« Avec ce saut dans le Web 2.0, le Festival acadien entre dans l’ère des médias sociaux, souligne Daniel Thériault, directeur général du Festival acadien de Caraquet. On est conscient que notre événement prend des proportions de plus en plus internationales et il est de mise de maintenir un contact plus interactif avec les festivaliers d’ici et d’ailleurs ainsi qu’avec ceux qui désirent visiter l’Acadie. »

http://www.festivalacadien.ca/

FIN DU TEXTE
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Place au chiac, dans le cadre de la Semaine de la Francophonie:

http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2010/03/18/008-NB-chiac.shtml

EXTRAIT:

La fierté du chiac


L'école Abbey-Landry, à Memramcook au Nouveau-Brunswick, fait une place au chiac, un parler acadien, dans le cadre de la Semaine provinciale de la fierté française.

Les cours ont été mis de côté le temps d'une matinée. L'école a accueilli l'un de ses anciens élèves, le cinéaste Chris LeBlanc, un défenseur du chiac.

Des fois, on peut percevoir que c'est un désavantage, mais à vrai dire, c'est un avantage.

— Chris LeBlanc, cinéaste

Chris LeBlanc a donné aux élèves les grandes lignes de son parcours en plaçant l'accent sur son identité. Le cinéaste a souligné aux jeunes que même pendant ses voyages outremer, il ne s'est jamais écarté de son parler propre au sud-est du Nouveau-Brunswick.

Selon M. LeBlanc, la maîtrise du chiac est un atout. « On comprend tous les accents du monde anglophone, tous les accents du monde francophone. En plus, nous autres, on parle une langue que personne d'autre, ou pas beaucoup d'autre monde comprennent, apparemment », dit-il.

Un parler à la portée limitée

Les jeunes de l'école Abbey-Landry expriment des réserves. Ils sont fiers de parler le chiac entre eux, mais ils tiennent à se faire comprendre par les francophones d'ailleurs.

Disons que je parlerais devant du monde qui ne viendrait pas de Memramcook et qui ne comprendrait pas le chiac, il faudrait que je parle d'une manière qu'eux me comprendraient.

— Mélanie Auffrey, élève en sixième année

« Quand je suis autour de Québécois, je vais essayer de me retenir parce qu'eux parlent beaucoup, comme, français », indique Brandon Duff, élève en sixième année.

Des accents indissociables

Est-il ironique de parler du chiac dans le cadre de la Semaine provinciale de la fierté française? Le lien est bien logique, selon le personnel scolaire.

« Le chiac, c'est de vieux mots français. Alors, ce sont de vrais mots. Ce sont des mots qu'on utilise depuis des décennies », affirme Julie Bélanger, agente de développement communautaire à l'école Abbey-Landry.

FIN DE L'EXTRAIT

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BRAVO!!
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EN DIRECT du blogue de Madame Carol Doucet:

http://carol-doucet.blogspot.com/2010/04/lancement-de-longueur-dondes-davril.html

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Commentaires: FABULEUX!! Merci, très chère Dame, d'être là, et de nous communiquer tous vos projets, toutes vos informations!!


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Un village ACADIEN, de la Nouvelle-Écosse, qui voudrait remettre la langue française dans la vie courante de tous les jours:

http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2010/06/25/001-NE-francisation.shtml

TITRE DU TEXTE: LUTTE CONTRE L'ASSIMILATION, UN RETOUR AUX SOURCES:



Des descendants d'Acadiens à Chezzetcook, sur la côte est de la Nouvelle-Écosse, veulent que leurs enfants réapprennent la langue et la culture de leurs ancêtres..

Malgré les tricolores étoilés qui flottent dans le village, les noms français de ces habitants et la présence d'un musée acadien, ce coin de pays pittoresque n'est plus français comme il l'était au 18e siècle.

Les racines acadiennes de Bernadette Robichaud, une résidente, sont profondes. Elle constate tristement que les enfants et parfois les parents parlent seulement anglais. Déplorant la perte de sa langue et de sa culture, Mme Robichaud a formé un comité.

Ce comité demande au gouvernement provincial et au Conseil scolaire acadien provincial (CSAP) de refranciser la communauté en commençant par les enfants de 4 ans.

Une réunion tenue récemment à Chezzetcook a convaincu le directeur général du CSAP, Darrell Samson, que la population du village appuie le projet.

« Ah, c'était exceptionnel. Il y avait 72 parents, élèves qui étaient présents, peut-être trois ou quatre jeunes et le reste étaient de 18 ans à 80. Il n'y a pas de question que cette communauté veut reprendre sa langue et la culture », explique M. Samson. ---NOTE DE FRANCO: pour que ce soit clair, il faut comprendre, dans ce dernier paragraphe, que tous les gens SONT D'ACCORD sur ce principe de reprendre graduellement la langue française dans leur milieu. En tout cas, c'est de même que je comprends ce texte.

Bernadette et son comité ont déjà suggéré un endroit où loger le programme de refrancisation. S'ils obtiennent ce programme, ils ont l'intention de demander une école française pour continuer l'éducation en français.

FIN DU TEXTE

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28 juillet. C'était jour de commération de la déportation.

Un résumé de la commémoration de 2009.

Citation :

Plusieurs collectivités un peu partout en Acadie se recueillent mardi, jour de commémoration de la déportation des Acadiens.

Depuis 2005, la journée nationale de reconnaissance du Grand Dérangement est le 28 juillet. C'est ce jour-là, en 1755, qu'un gouverneur britannique a signé l'ordre officiel de déporter la population francophone et catholique de l'Acadie.

Cette déportation s'est poursuivie sur plusieurs années. On estime que de 7000 à 10 000 personnes ont été déplacées. Lorsque les autorités britanniques ont ensuite permis aux Acadiens de rentrer chez eux, nombreux sont ceux qui ont vu leurs terres occupées par des colons anglais. De nombreux expropriés ont donc dû s'installer ailleurs.

Le temps s'est arrêté à 15 h au Village historique acadien de Caraquet, au Nouveau-Brunswick. Les membres du personnel et les centaines de personnes qui visitaient le site se sont rassemblés pour commémorer la tragédie de 1755.

Des descendants de survivants de la Déportation se sont recueillis à Grand-Pré, en Nouvelle-Écosse. Les premières déportations ont eu lieu dans ce village, qui a ensuite été rasé. Les gens ont déposé des fleurs au pied de la croix qui rappelle ces événements. Une cérémonie religieuse et une procession ont aussi été organisées.

À Bouctouche, au Nouveau-Brunswick, la commémoration coïncide avec le passage de la caravane de l'Étoile. Il s'agit d'un groupe de voyageurs qui ont quitté la Nouvelle-Écosse la semaine dernière à destination de la Péninsule acadienne, où se déroulera bientôt le Congrès mondial acadien.

Du 7 au 23 août, ce congrès mondial sera l'occasion de célébrer une Acadie bien vivante.

http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/07/28/007-MRT-deportation.shtml

Pour certains, entre autres Sénateur, c'est une date anniversaire qui ne rime à rien et qui fut imposée par la GG au lieu d'excuses officielles de Bebette d'Angleterre et pour d'autres c'est l'occasion de mousser l'achalandage de leur activité mercantile.

Un anniversaire fétiche que même le réseau national de nouvelles de Radio Canada a passé sous silence.

La date officielle de l'existence et la survie du peuple acadien est le 15 août . Le 28 juillet n'est qu'une date pour semer la diversion et évacuer l'éventuel «trop plein acadien.»

Vive l'Acadie et la

Haaaa! Vu de l'extérieur ça semblait chouette.

On connait ça ici aussi les bonbons pour nous faire prétendument plaisir. Rien de mieux pour nous mettre encore plus en beau joual vert.