Charest déconnecté du Québec...

Quant à moi, Jean Charest ne comprend pas encore l'identité québécoise. Il ne comprend pas ses besoins. Il ne comprend pas ce qu'est le Québec, tout simplement.

Charest essaie, encore, de faire comme s'il prenait VRAIMENT AU SÉRIEUX les intérêts du Québec.

Son discours d'aujourd'hui ne fait que de donner des bonbons à ceux qui veulent bien les gober, pour leur faire ferme la boîte, tout simplement.

Charest ne dit rien au niveau de la protection de l'environnement, de la Bourse du carbone à Montréal qui pourrait être mise sur pied et pleinement fonctionnelle si les Albertains acceptaient VRAIMENT que leur richesse de pétrole soit partagée aux autres;
Charest ne dit rien au niveau de la culture, de la promotion de la langue française, de l'identité québécoise;
Charest ne dit rien sur les grosses compagnies, qui ont leur siège social au Québec, et qui se vendent comme des petits pains chauds à des intérêts américains actuellement;
Charest ne dit rien au sujet du règlement à apporter sur les mentions des OGMs dans les produits de fruits et de légumes, et même, au contraire, il ne dit rien pour contrer les Conservateurs d'Ottawa qui vont autoriser plus de pesticides et insecticides sur tous ces produits importés et que les Québécois vont continuer de manger;
Charest ne dit rien sur l'industrie manufacturière qui accuse de très grosses pertes d'emploi et des fermetures d'usine;
Charest ne dit rien sur LA PROTECTION DE L'EAU, sur sa vente commerciale, sur les discussions qui ont lieu à ce sujet, actuellement, et que le Québec, où on retrouve la plus grande partie de l'eau ordinaire en Amérique du Nord, n'est pas un participant, à moins qu'il le soit, mais que le Québec, avec Charest, est obligé de brader son eau pour presque rien...;
Charest ne propose rien encore pour contrer les hausses des frais de scolarité pour les étudiants le plus démunis financièrement;
Charest ne voit aucun intérêt à protéger la Bourse de Montréal contre la Bourse de Toronto pour les produits dérivés, dont l'entente se termine dans 1 an environ, la bourse de Montréal devra fermer ensuite...

ON le voit: Charest est là encore juste pour accepter des demandes de Harper pour mettre la province de Québec au service du fédéral, et des autres provinces tout autour, AU DÉTRIMENT de ses propres besoins;
Charest est là pour accepter les demandes de l'Ontario pour faire emmagasiner, dans les vieilles mines, les produits toxiques et dangereux de l'énergie nucléaire que les Ontariens ne veulent pas chez eux;
Charest est là pour faire accepter les nouveaux sites méthaniers, qui vont apporter une forte pollution au Québec,, dans le bas du fleuve, que les autres États aux alentours ne veulent pas chez eux (Ontario, États américains,etc..), surtout quand on sait que ces sites de décharge du méthane ne seront là que pour les autres États et non pour les besoins du Québec;

enfin... Charest ne fait absolument rien pour faire avancer le Québec dans sa définition de Québec moderne et respectueux des droits civils --- quand est-ce qu'on l'a vu VRAIMENT défendre les intérêts du Québec francophone majoritaire face à des enjeux sur fond de religion et autres semblables ??

Il s'en fout carrément.

Actuellement, il ne fait que du maquillage. Il a repris en bonne partie, à son compte, les mesures les plus populaires de l'ADQ, pour se refaire une virginité aux yeux des Québécois. "Ton maquillage coule, Charest, ton masque est trop grand pour ta petite tête...."

Quand est-ce qu'on l'a vu défendre les besoins d'éducation et de formation pour les jeunes étudiants et pour les autres adultes sur le marché du travail ?? C'est ce qui est primordial si on veut être plus capable d'affronter tous les affres de la mondialisation...

Pour Québec 2008, Charest accepte n'importe quoi de Harper.... ça va finir que ça va être la Fête du Canada, le 1er juillet 2008, au lieu du 400ème anniversaire de fondation de la ville de Québec le 3 juillet 2008... Charest ne défend AUCUNEMENT LES FRANCOPHONES DU QUÉBEC ET DU CANADA, Charest ne comprend rien à ces enjeux de société...

C'EN EN FAIT PITIÉ!!!

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VOIR LES LIENS SUIVANTS:
http://info.branchez-vous.com/Nationales/070509/N0509150U.html


COPIE DU TEXTE:

Le gouvernement Charest se fixe huit priorités d'ici la fin de l'année
PAR JOCELYNE RICHER

QUEBEC (PC) - Conscient que pour lui le temps est compté, le premier ministre Jean Charest tentera de remplir l'essentiel de ses engagements électoraux au cours des sept prochains mois, en maintenant le cap contre vents et marées sur les baisses d'impôts.

En réduisant son programme gouvernemental à huit priorités d'actions à réaliser d'ici la fin de l'année, M. Charest prend acte qu'il dirige un gouvernement minoritaire, dont la durée risque d'être très éphémère.

Ainsi, dans le discours inaugural qu'il a présenté mercredi à l'Assemblée nationale, à l'ouverture des travaux parlementaires, il a semblé prêt à reporter à une date indéterminée, voire à renoncer à d'autres engagements électoraux, de même qu'à faire des concessions à l'opposition officielle, augmentant ainsi ses chances de se maintenir en poste plus longtemps.

Au rendez-vous, tel que promis, il faudra donc s'attendre à court terme aux réalisations suivantes: baisses d'impôts, dégel des frais de scolarité, plan d'action sur la malbouffe dans les écoles, implantation d'une redevance de 200 millions $ aux pétrolières pour financer le Fonds vert, tentative de régler le casse-tête des conseils d'agglomération et ouverture des premières cliniques privées affiliées au réseau public de santé, en vue de réduire les listes d'attente en chirurgie.

Un seul projet de loi est inscrit à l'agenda, soit celui sur le contrôle des armes à feu semi-automatiques, qui sera surnommé la "Loi Anastasia", en souvenir de la jeune Anastasia De Sousa, victime de la fusillade au collège Dawson, en septembre dernier, à Montréal. La famille de la jeune fille avait d'ailleurs été invitée et était présente dans les tribunes du parlement.

Parmi les concessions faites par les libéraux aux adéquistes de l'opposition officielle, notons une enquête à venir sur les conditions de vie des personnes âgées - depuis longtemps réclamée par le chef de l'Action démocratique, Mario Dumont -, le retour du bulletin chiffré dès la rentrée scolaire de septembre, de même que la négociation, avec Ottawa, d'une entente en vue de limiter le pouvoir fédéral de dépenser.

"Ce n'est pas au gouvernement fédéral de dire au gouvernement du Québec où et comment investir votre argent", a soutenu M. Charest dans son discours.

Cependant, quoi qu'en dise Mario Dumont, M. Charest a clairement indiqué qu'il n'avait pas l'intention de renoncer à un de ses plus controversés engagements électoraux, soit la réduction substantielle du fardeau fiscal des Québécois.

En fin de campagne électorale, il s'était attiré bien des critiques en s'engageant à utiliser 700 millions $ provenant d'Ottawa en guise de règlement du déséquilibre fiscal pour baisser les impôts, somme qui s'ajoutait aux 250 millions $ déjà annoncés dans le dernier budget de son gouvernement.

Mercredi, dans son discours, M. Charest n'a pas dit de quel ordre seraient les baisses d'impôts - il faudra attendre le budget de la ministre des Finances, d'ici trois semaines - mais il a exhorté l'opposition à partager l'objectif de son gouvernement.

"Je demande à l'opposition de faire comme nous, de prendre le parti de la classe moyenne, et de permettre des baisses d'impôts", a-t-il dit, faisant valoir que c'était là le meilleur moyen de protéger le niveau de vie des Québécois.

Dans le dossier des accommodements raisonnables, cher à Mario Dumont, le premier ministre a dit que son gouvernement allait "renforcer le message livré à chaque immigrant selon lequel nos valeurs fondamentales ne sont pas négociables".

Parmi les engagements électoraux des libéraux qui ne figurent pas au discours inaugural, notons l'embauche de 1500 médecins de plus d'ici 2012, l'embauche de 1000 intervenants de plus pour les élèves en difficulté d'ici 2009 (un investissement de 100 millions $), de même qu'un contrôle plus serré des dépenses gouvernementales et la réduction de la taille de l'Etat.

FIN DE CE TEXTE RECOPIÉ

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AUTRE LIEN:

http://info.branchez-vous.com/Nationales/070509/N0509207U.html

COPIE DU TEXTE:

Les réactions au discours inaugural de Jean Charest sont diverses

MONTREAL (PC) - Le discours inaugural de Jean Charest prononcé mercredi à l'ouverture de la 38e législature de l'Assemblée nationale a provoqué diverses réactions, certaines louant les projets présentés par le premier ministre, d'autres critiquant ce qu'elles estiment être une mauvaise compréhension du message transmis par les électeurs le 26 mars dernier.

Le Conseil du patronat du Québec (CPQ) a appuyé avec énergie les mesures économiques évoquées par M. Charest. "Le premier ministre a dressé un agenda économique ambitieux qui répond à plusieurs attentes des créateurs de richesse du Québec", a estimé le président du CPQ, Michel Kelly-Gagnon.

M. Kelly-Gagnon a salué les diverses promesses de M. Charest, notamment celles de réduire l'impôt des particuliers, de stimuler l'investissement, de pallier aux pénuries de main-d'oeuvre en facilitant la retraite progressive des travailleurs plus âgés et la reconnaissance des compétences des immigrants, et de promouvoir la liberté des échanges entre le Québec et l'Ontario ainsi qu'entre le Canada et l'Europe.

La présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Claudette Carbonneau, s'est pour sa part montrée inquiète de plusieurs des objectifs du gouvernement libéral.

"Le premier ministre a prononcé, certes, un discours sensible à l'égard de la classe moyenne, des immigrants, des femmes, des jeunes et de la famille mais il garde le cap sur les baisses d'impôt", a noté Mme Carbonneau, doutant du fait que les baisses d'impôt entraînent une amélioration du niveau de vie.

Mme Carbonneau a fait valoir que la société n'est pas plus riche lorsque les toits des écoles coulent ou que les malades attendent pour se faire soigner. "Je suis loin d'être certaine que les Québécoises et les Québécois ont voté, lors de la dernière élection, pour des baisses d'impôt", a-t-elle observé.

La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) - anciennement la Fédération des infirmières et infirmiers du Québec - a pour sa part vu dans le discours de M. Charest la mise en place d'un réel système de santé à deux vitesses.

"Nous avons la preuve que le gouvernement du Québec ne voulait pas uniquement, comme il le laissait entendre, se conformer à un jugement de la Cour suprême en adoptant le projet de loi 33 (sur la place du privé dans les soins de santé) mais bel et bien à ouvrir la porte, le plus grand que possible, à la privatisation du système de santé", a dénoncé la présidente de la FIQ, Lina Bonamie.

La FIQ déplore notamment le fait que le nombre de chirurgies permises au privé semble en voie de ne plus être limité à trois. "Les professionnelles en soins sont dans une situation de pénurie importante et cela risque de s'aggraver parce que le secteur privé drainera les ressources du public", a indiqué Mme Bonamie.

Par ailleurs, la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) a constaté que le premier ministre n'a qu'un seul projet pour les universités: celui de dégeler les droits de scolarité.

"En plus d'attaquer de front l'accessibilité aux études avec son dégel, Jean Charest ne propose rien pour régler le sous-financement des universités", a souligné le président de la fédération, Jean-Patrick Brady.

M. Brady rappelle que selon la FEUQ et le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études, les réformes nécessaires au régime d'aide financière coûteraient au moins 100 millions $ à l'Etat chaque année, soit plus d'argent que n'en rapportera dans cinq ans le dégel des droits proposé par les libéraux.

Outre la place du privé en santé et le dégel des droits de scolarité, le parti Québec solidaire a regretté que le discours de M. Charest ne fasse pas mention de la lutte à la pauvreté ou d'une réforme du mode de scrutin.

"Le gouvernement Charest s'entête à défendre une vision du Québec qui ne résout en rien les inégalités sociales et qui, au contraire, sans résoudre les problèmes d'accessibilité au système de santé pour la majorité de la population, risque de créer une médecine parallèle privée", a estimé la porte-parole du parti, Françoise David.

Les Manufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ) ont pour leur part réagi "très favorablement" aux intentions du gouvernement du Québec.

"Dans la conjoncture mondiale actuelle et des mutations qui touchent le secteur manufacturier, il est important que le gouvernement participe de façon plus active à développer la compétitivité des entreprises manufacturières et exportatrices du Québec sur le marché international", a déclaré le président-directeur général des MEQ, Jean-Luc Trahan.

Finalement, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain s'est félicité de l'engagement de M. Charest d'appuyer la métropole québécoise.

"En ayant accès à des revenus diversifiés qui reflèteront la croissance économique qu'elle génère sur son territoire, nous sommes convaincus que Montréal pourra contribuer encore plus activement à la réalisation des ambitions du Québec et à sa croissance", a déclaré la présidente et chef de la direction de la Chambre, Isabelle Hudon.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

Tiens.... Josée Legautl reprend à sa façon à peu près les mêmes idées...

http://www.voir.ca/actualite/actualite.aspx?iIDArticle=51297

et elle intitule son texte: LA RÉGRESSION TRANQUILLE

COPIE DU TEXTE:

10 mai 2007
Josée Legault

DANS LE JOURNAL "VOIR":

Je suis assise devant mon ordinateur, il fait un soleil magnifique, c'est le printemps, André Boisclair s'apprête à partir, enfin, et je préférerais tellement, tellement ne pas avoir à écrire sur ce qui m'inquiète, sur ce qui me fait jongler, comme disait ma mère.
J'aimerais tellement mieux me préoccuper du dernier Spider-Man ou du passage de Pierre Brassard à Flash. Tenez, même les niaiseries de Justin Trudeau, au moins, me feraient rigoler.

J'espère néanmoins que vous me pardonnerez d'être un peu plus sérieuse car -sans faire trop dramatique- je crois vraiment que nous sommes arrivés à un moment charnière au Québec.

Cette année, près d'un demi-siècle après le début de la mythique Révolution tranquille, on sent que le Québec entre de plus en plus dans une ère que je qualifierais de "régression tranquille". C'est comme si une partie de ce que nous avons construit, ce que nous nous sommes donné pour nous renforcer comme peuple et comme individus, nous glissait lentement mais sûrement des mains.

Et je ne verse pas ici dans la nostalgie bébête. Les choses changent, c'est normal. La question est plutôt: changent-elles pour le mieux? Je suis loin d'en être certaine.

LA PETITE VIE

Moins insulaire que jamais, le Québec semble être emporté par l'air du temps qui souffle sur plusieurs pays occidentaux depuis un bout de temps. On clame un peu partout la "fin des idéologies", la fin des grands rêves collectifs, aujourd'hui balayés par la dictature de la quotidienneté, de la petite vie.

Pas que la vie quotidienne soit sans importance. Elle en a. Ce qui m'inquiète, c'est de voir la quotidienneté en voie de devenir un projet politique en soi et prendre la place de ce qui, normalement, s'élève au-dessus de chacun, unit et transcende. Ce qui s'appelle se projeter dans l'avenir comme groupe, comme collectivité ou comme "nation", si vous préférez.

La quasi-victoire de l'Action démocratique, le 26 mars, en est une manifestation parmi d'autres. La classe moyenne veut qu'on s'occupe d'elle, les femmes désirant rester à la maison avec leurs enfants veulent leurs allocations, ceux capables de "se payer" une résonance magnétique ou un médecin au privé veulent avoir le droit de le faire, etc.

Pendant ce temps, la classe moyenne oublie les pauvres, à leur tour ridiculisés par un nouveau ministre de la "Solidarité sociale" (!), lequel, en disant que "les BS ont tout", n'a fait que dire tout haut ce que bien des élus, incluant des chefs de parti, pensent tout bas. Croyez-moi.

Si l'ADQ prend le pouvoir un jour et applique son programme d'un milliard de dollars d'allocations directes pour la garde des enfants, il en restera fort peu pour créer de nouvelles places en garderie publique, mais who cares?

Pour ce qui est du système de santé public, il a tellement été massacré depuis dix ans qu'il en est presque gênant de reprocher à quelqu'un de se précipiter au privé. Mais qui songe encore aux conséquences à long terme du retour d'un système dont l'accès aux soins est basé sur le revenu du malade et non sur son état?

Moi, je l'ai connu ce système-là, avec une famille pauvre et une soeur handicapée. C'était vraiment dégueulasse. Et on y retourne tranquillement...

Que dire aussi de l'irresponsabilité crasse du ministère de la Santé qui, à chaque reportage sur l'accroissement du privé, fait semblant de ne rien savoir et, surtout, de ne pas pouvoir intervenir? Qui ne dit mot consent, n'est-ce pas?

GROSSE FATIGUE

Et puis, il y a la question nationale qui semble fatiguer. Pauvre Québec. Fatigué après moins de 50 ans d'éveil politique... Sans égalité ni indépendance, gros Jean comme devant.

Essoufflés par le rêve de l'indépendance qui ne s'est toujours pas réalisé, et en partie écoeurés, avec raison, de voir le PQ obnubilé par le pouvoir depuis dix ans -sa rétention ou sa perte- au lieu de s'occuper de son option, on parle maintenant de la disparition possible de ce parti comme on parle de la température.

On confond le projet avec le roman-savon pathétique d'un chef incompétent qui n'en finissait plus de s'accrocher. On dit que ce n'est peut-être que "le parti d'une génération", que l'Union nationale, elle aussi, a disparu sans que ça fasse de drame. On dit que les Québécois ne veulent plus en entendre parler, qu'ils sont "ailleurs".

Eh oui. On dit bien des choses. Et à force de les répéter de manière mécanique, avec une touche de cynisme de circonstance, le danger est qu'on pourrait finir par les croire.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

Y en-a-tu un qui a une vision d'un Québec moderne, très évolué, et qui s'occupe de tous ses gens (aînés, en chômage, sur le BES, les enfants à la garderie, etc..) ??

et qui s'occuperait de défendre les intérêts du Québec EN PREMIER ??

C'est à croire que tout le monde est endormi et qui ne pense qu'à se regarder le nombril....!!!!

C'est ben beau le "cocooning" en régions...... le temps... de reprendre ses esprits, mais après, il y a les gens autour de soi, les amis, la société, les besoins de vie civile et culturelle....

Et Charest, de continuer à couper la laine sur le dos des Québécois, des Montréalais:

en effet, suite à son projet de loi 22, loi qui instaurerait un "secrétarait aux villes de l'Île de Montréal", surtout à la Ville de Montréal, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, A EU COMME UN SOUBRESAUT de prise de conscience qui lui a permis de voir que cette loi serait très néfaste pour la Ville de Montréal, car les autres villes de l'ouest de l'île ne représentent que 13% de la population, mais auraient presque un veto sur les décisions de la ville de Montréal....

en effet, après les défusions des villes de l'ouest de l'Île de Montréal, Montréal s'est retrouvée handicapée face aux expansions possibles, face aux investissements nécessaires, etc... TOUT LE CONTRAIRE DU GRAND TORONTO, maintenant, qui, suite aux fusions de toutes ses villes, avance à très grande vitesse dans son expansion, dans ses investissements, dans ses organisations pour la culture en général, pour ses festivals, etc..

Et, là, EN PLUS, la ville de Montréal veut refiler la facture de police aux différentes activités CULTURELLES, sauf pour les organismes communautaires, mais Gilbert Rozon, président du "Festival Juste pour Rire" serait prêt à se saborder, à fermer Montréal, et à aller développer Toronto et ailleurs, même si lui-même n'est pas visé par ces nouvelles charges de police.
JE VOUS DIS,,,, QUAND ÇA VA MAL.....

Y a-tu quelqu'un, à quelque part, qui peut avoir une vision d'avenir pour la culture et les festivals de Montréal ?? Et qui peut être assez pesant pour faire COMPRENDRE LE BON SENS à Charest, à Gérald Tremblay,,, enfin à tous les décideurs pour pouvoir aller plus d'avant, à Montréal ??

C'est à se demander s'il y a encore du monde qui se soucie de voir le maintien et l'expansion de la langue et de la culture et des GRANDS FESTIVALS À MONTRÉAL....!!!!! ????

voir les liens suivants pour tous les différents détails que je parle:

http://www.ledevoir.com/2007/07/07/149651.html

voir le texte de Gilbert Rozon: "C'est quoi le plan, M. Le Maire..?"
http://www.cyberpresse.ca/article/20070707/CPOPINIONS/70707012/6737/CPACTUALITES

EXTRAIT DU TEXTE:

« Quand le maire de Toronto a dit l’hiver dernier qu’il voulait devenir la grande ville des festivals au Canada d’ici 10 ans, le maire Tremblay a dit qu’il fallait collaborer ! Hey, il vient de te donner une claque en pleine face ! C’est Montréal, la ville des festivals. Est-ce qu’on va se laisser faire ?

« Pourquoi pensez-vous que le maire de Toronto veut ça ? Il a vu ce que ça rapporte à Montréal. Mais ici, c’est sans cesse le parcours du combattant. Mais je ne vais pas passer deux autres années avec l’eau sur le bord du nez. S’ils veulent un festival rapetissé, ils vont en avoir un. »

Rozon implante d’ailleurs Just for Laughs à Toronto cet été. Va-t-il y déménager son volet anglophone ? Silence. Puis il dit qu’il veut occuper le terrain là-bas, mais faire grandir Montréal encore.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

Commentaire: très très très très inquiétant....

Charest est un traitre à 100% et il ne s'en cache même pas ce violeur de la loi référendaire québecoise et ce voleur de référendum . C'est en prison que ce bandit devrait être et pas premier ministre du Québec.
Nous confions 100% de nos taxes , impôts et fonds publics à des anti québecois notoires .
Trouve moi une nation plus bête que cela ?

ET GILBERT ROZON, D'EN REMETTRE:


http://www.ledevoir.com/2007/07/11/150069.html?fe=1478&fp=210901&fr=30301

COPIE DU TEXTE:

Après le maire de Montréal, accusé de manquer de leadership, c'est au tour du Québec au grand complet de subir les foudres du président fondateur du festival Juste pour rire, Gilbert Rozon.

Paralysé par la peur, par l'«aplaventrisme» des élus, des décideurs et par la chape moralisante qui est tombée sur la société «dans les 20 dernières années», ce Québec se trouverait aujourd'hui dans un vide inquiétant et avancerait doucement vers une crise majeure, selon lui. Et il compte à l'avenir engager une partie de son empire du rire pour forcer les gens à réfléchir et à se questionner sur leur avenir. En rigolant un peu.

«Aujourd'hui, nous ne faisons plus rien, nous sommes collectivement bloqués et le contexte devient insoutenable pour tout le monde, lance-t-il, assis sur la grande terrasse de son bureau du centre ville de Montréal où Le Devoir l'a rencontré il y a quelques jours.

Le Québec est devenu trop consensuel, trop effrayé aussi par les nouveaux projets politiques, économiques et sociaux. Si l'on ne donne pas un coup de barre rapidement, c'est la crise qui nous attend. On peut continuer à se fermer les yeux, mais à ce rythme-là, cette crise ne pourra pas être évitée.»

À la tête d'une multinationale de l'humour, Rozon, qui vient tout juste de lâcher ses clowns en ville pour la 25e édition de son célèbre festival, n'a plus beaucoup le goût de rire. «Je suis dans l'antichambre de l'amertume, dit-il, mais j'ai aussi la chance, comme personnalité publique, de pouvoir sonner l'alarme. Et si je le fais, c'est pour, entre autres, m'assurer de laisser à mes enfants un Québec plus audacieux que celui que l'on connaît maintenant.»

Récemment chauffé par l'intransigeance de la ministre fédérale du Patrimoine, Bev Oda -- elle a refusé de devancer la mise en place d'un programme de soutien aux festivals -- ainsi que par le manque de coopération des fonctionnaires de la Ville de Montréal, Gilbert Rozon semble finalement en avoir bien plus sur le coeur. «Je voyage beaucoup et cela force la comparaison, dit-il.

Or, je déplore l'inertie qui prévaut au Québec. Au lieu d'entreprendre, nous avons choisi depuis quelques années le statu quo. Le problème, c'est que le statu quo nous fait reculer, alors que tout le monde autour de nous avance.»

Pris en otage

En scrutant ce vide idéologique qui l'agace, Rozon montre d'ailleurs du doigt les groupes sociaux et autres représentants communautaires qui auraient pris le contrôle des débats publics et du même coup, la société en otage. «C'est fascinant: de plus en plus, la minorité parle pour la majorité et la majorité ne répond pas», dit-il.

L'échec, au cours des derniers mois, de la construction d'un nouveau casino à Montréal en collaboration avec le Cirque du Soleil est d'ailleurs un signe révélateur de cette équation, délétère à moyen et à long terme pour le Québec, selon l'homme d'affaires. «C'est un grand actif touristique qui nous est passé sous le nez, résume Rozon. Guy Laliberté a été envoyé promener pour un projet qu'il va pouvoir réaliser n'importe où ailleurs dans le monde. C'est triste. C'est comme si on avait refusé de faire le Mont-Tremblant. Et au final, les gens vont continuer de jouer au casino, mais dans un endroit moins grandiose qui ne va pas attirer l'élite internationale.»

L'idée de construire, de créer de la richesse et de réformer des structures afin de les inscrire dans l'air du temps n'est de toute évidence pas à l'ordre du jour politique et social, déplore d'ailleurs le grand manitou de l'humour dont l'empire rayonne un peu partout sur la planète.

Avec «40 % de la population qui ne paient pas d'impôts, que voulez-vous faire, demande-t-il? Dans ce contexte, notre démocratie se retrouve affaiblie, c'est sûr. Nous avons besoin de réformes, mais nous ne pouvons pas demander à ces gens-là de changer un système comme celui-là qui est à leur avantage. En même temps, tout le monde va devoir faire des sacrifices. Mais encore une fois, on ne peut pas demander à ces 40 % de personnes d'en faire puisqu'elles ne sont pas habituées à ça.»

Dettes publiques en hausse, «infrastructures décrépites», système de santé par endroit «à la limite tiers-mondiste», système scolaire sclérosé, les corollaires sont faciles à contempler un peu partout au Québec, estime Rozon. Ils devraient aussi forcer la réflexion et imposer la remise en question d'un «modèle de société qui pendant longtemps a fait école», mais qui peine aussi à se renouveler, poursuit-il. «En même temps, la montée du conservatisme vient révéler un peu cette peur du questionnement. C'est comme si on était en train de construire un mur pour se protéger, pour ne pas regarder ce qui se fait ailleurs, pour ne pas se comparer.»

Rire et réfléchir

Ce conservatisme, le patron des clowns espère s'en tenir loin et inciter du même coup les comiques de son écurie à en faire autant. «Juste pour rire n'est pas un parti politique, dit-il. Mais comme citoyen, j'ai des opinions et aussi une responsabilité sociale» qui le placerait désormais dans de bonnes dispositions pour faire émerger un type d'humour plus réflectif, plus revendicateur et pourquoi pas plus engagé, histoire de passer par le rire pour brasser la cage.

«La programmation du 25e anniversaire [du festival Juste pour rire] n'a pas été faite en ce sens, avoue-t-il tout en coupant pour la énième fois le sifflet à son téléphone cellulaire qui n'arrête pas de sonner. Mais en même temps je considère, dans l'apathie ambiante, qu'Yvon Deschamps [dont les monologues seront présentés pour une dernière fois sur scène lors des galas] est un service essentiel. Il va pouvoir réveiller le monde et, un peu comme une boussole, donner le nord.»

D'autres gagneraient aussi à emboîter le pas au patriarche de l'humour, dit Rozon, qui reconnaît que, sous la pression d'un discours moralisant excessif alimenté par certains groupes de pression, certaines institutions et certains médias, l'humour s'est un peu «empantouflé» «dans des formes et des trucs» consensuels pas toujours sains. «Depuis 20 ans, il y a une forme d'"aplaventrisme" généralisé qui fait que ceux qui parlent plus fort deviennent plus mielleux pour plaire à tout le monde et surtout pour ne pas déplaire à quelques prélats qui ont décidé ce qui était bon pour nous», résume-t-il.

«La peur de déranger fait que l'on devient un peu lisse et l'on finit par passer entre le mur et la tapisserie.» Un drame dans un monde, celui de l'humour, qui devrait normalement «regarder les choses autrement, casser les dogmes, repousser les frontières et surtout ne pas avoir peur de dire tout haut ce que plusieurs pensent tout bas», poursuit Rozon.

L'homme donne d'ailleurs le ton et l'exemple en n'hésitant plus à ruer publiquement dans les brancards pour dénoncer les travers d'un Québec où «l'arbre que j'ai planté a ses racines», dit-il. «Je ne peux pas d'un côté dénoncer la langue de bois et user de cette langue de bois», résume-t-il. «Je m'attends à payer le prix pour mes prises de position, mais j'espère aussi que d'autres [personnalités publiques de sa trempe, mais aussi des notables moins médiatiques], pas juste dans le domaine de la culture, vont faire le même genre de sortie. Le temps est arrivé de mettre enfin les pendules à l'heure.»

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

La nation québecoise est en stagnation et je prédis que cette accumulation d'insatisfaction va provoquer la pire explosion de notre histoire . Le Québec est depuis 1995 en dépression.

http://info.branchez-vous.com/Nationales/070713/N071398U.html

C'EN EST TRÈS INQUIÉTANT....

QUI VA S'EN OCCUPER ?

Sûrement pas Charest qui fait déjà à peu près tout pour aliéner toutes les possessions du Québec (quand est-ce qu'on l'a entendu se prononcer sur la vente d'Alcan, de BCE, etc...??), pour détruire tout le bon tissu social, qui laisse les gens se monter, s'engueuler les uns les autres sur des sujets semblables, où il faudrait VRAIMENT une vision d'avenir, UNE MAIN DE FER POUR METTRE DES MESURES PROVINCIALES EN PLACE, pour s'assurer de BIEN ARRÊTER LA PROLIFÉRATION DES ALGUES BLEUES.....

COPIE DU TEXTE:

Algue bleue: l'opposition accuse Québec de se traîner les pieds

QUEBEC (PC) - L'Action démocratique et le Parti québécois accusent le gouvernement Charest de laisser la situation des lacs du Québec se détériorer.

Les deux partis d'opposition réclament un plan d'intervention plus musclé contre les algues bleues, qui ont déjà contaminé 51 lacs jusqu'ici, cette saison.

Le porte-parole de l'opposition officielle en matière d'environnement, Simon-Pierre Diamond, qualifie d'inacceptable le comportement de la ministre Line Beauchamp, lui reprochant de rester les bras croisés devant un nombre croissant de cours d'eau atteint de cynobactéries.

Selon lui, les mesures volontaires présentées par le gouvernement Charest, en début de saison, sont insuffisantes et inefficaces.

Il affirme que Mme Beauchamp ne peut ignorer la grogne des citoyens choqués par son manque de leadership.

Le député péquiste, Stéphane Bergeron, croit aussi que Québec n'a pas pris au sérieux la menace des algues bleues, qui avaient pourtant fait des ravages l'été dernier.

Il déplore l'attitude de la ministre, qui a repoussé une nouvelle intervention dans le dossier à son retour de vacances.

M. Bergeron indique que les causes de la contamination son connues, citant notamment les installations sceptiques inadéquates, l'utilisation de moteurs à deux temps, le recours aux engrais et aux pesticides, ainsi que l'érosion des berges due à l'absence de végétation.

Le député de Verchères soutient que Québec ne doit pas seulement demander aux municipalités de prendre les mesures qui s'imposent, mais leur donner les moyens financiers et législatifs pour apporter des correctifs à court terme.

Il affirme que la gravité de la situation exige des décisions contraignantes pour tout le monde, ajoutant que la bonne volonté ne suffit plus.

© La Presse Canadienne, 2007 Publié le 2007-07-13

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

Commentaire: voir plus haut

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Certaines solutions pour éliminer les algues bleues:

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/07/20070712-093046.html

......mais le gouvernement du Québec ne semble pas prêt à collaborer....

Il est en train de livrer les richesses du Québec pour un plat de lentille à ses amis anglosaxons tout en bloquant la moindre possession de la part des français ou des amis du Québec
Cest ce qu'il fit concernant le contrat du métro de Montréal contre la France

Il n'y a même plus d'abattoirs pour les bovins au Québec:

http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/11/20071119-213613.html


CHAREST A LAISSÉ FAIRE, CHAREST N'A ABSOLUMENT RIEN FAIT pour essayer de régler les problèmes, suite à la fermeture des frontières de la viande de boeuf, suite aux maladies de ces animaux qui ont eu lieu en premier en Alberta.

Là, les Américains viennent tout juste de réouvrir la frontière pour les bovins, ILS ONT RÉUSSI, DE CONNIVENCE AVEC CHAREST, À METTRE À TERRE LA PRODUCTION ET L'ABATTAGE DE BOVINS!!! PATHÉTIQUE!!

EXTRAIT:
Il n'y a plus de transformation au Québec

Le syndicat et la banque se mobilisent pour relancer l'abattoir de Saint-Louis-de-Gonzague

Mise en ligne 20/11/2007 04h00 -- par Yvon Laprade -- Le Journal de Montréal

Les éleveurs divisés sur le rôle de la Fédération

Chaque semaine, depuis trois mois, environ un millier de bouvillons du Québec prennent la route des États-Unis pour aller terminer leurs jours dans un abattoir de l’Illinois.

Quelques centaines d’autres sont dirigés vers un abattoir situé près de Guelph, en Ontario, où ils subissent le même sort.

Les bouvillons (de moins de 30 mois) sont ainsi transformés dans des usines américaines et ontariennes.

Les consommateurs québécois qui achètent de la bavette, un rôti ou de la viande de qualité ne mangent donc plus aucun produit «transformé au Québec».

C’est qu’il n’y a plus aucun abattoir de bouvillons au Québec depuis la fermeture d’Abattoirs Billette début août, à Saint-Louis-de-Gonzague, près de Valleyfield.

Cet abattoir employait 285 travailleurs au moment de sa fermeture pour des raisons financières causées par les conditions difficiles du marché et la concurrence livrée par les entreprises de transformation américaines.

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SUITE ET FIN DES TEXTES AU LIEN INTERNET

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voir le texte suivant aussi:

la situation des producteurs de porc du Québec n'est pas mieux non plus:

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/11/20071120-094407.html

EXTRAIT: 8 M$ de dettes -- Viandes Kamouraska en faillite -- Le Journal de Québec -- 20/11/2007 09h44

L'abattoir de porcs Viandes Kamouraska, le plus important employeur de Saint-Pascal-de-Kamouraska, est sous la protection de la Loi sur la faillite et est actuellement prise en charge par le syndic Lemieux Nolet.

Les travaux de rénovation de l'usine amorcés en septembre sont suspendus. La direction a déposé un avis d'intention de faire une proposition à ses créanciers, mais elle n'a pu le faire dans le délai requis de 10 jours, ce qui fait que l'entreprise est officiellement en faillite.


8 M$ de dettes
Il y aurait plus de 200 créanciers, dont Promutuel, Investissements Québec et La Financière agricole, pour des dettes de 8 M$. Aucun investisseur ne s'est manifesté pour l'instant et le syndic ne s'est toujours pas arrêté sur un processus de vente.

SUITE ET FIN DU TEXTE AU LIEN INTERNET

Dans le journal "Les Affaires", du 17 au 23 nov. 2007, p. 4:

titre:

NE PAS SE LAISSER ENDORMIR PAR LES STATISTIQUES RONFLANTES...

Note de Franco: on veut parler des statistiques sur le taux de chômage au Québec et au Canada, qui en est un des plus bas depuis une trentaine d'années......

VOICI UN EXTRAIT DU TEXTE:

"C'est devenu automatique. Chaque fois que Statistique Canada dévoile ses étonnants rapports sur la force du marché de l'emploi au pays, le Congrès du Travail du Canada joue les rabat-joie et publie un communiqué pour indiquer que le SECTEUR MANUFACTURIER, lui, continue de saigner.

On serai tenté, à première vue, de négliger ces remarques puisque le bilan global est positif. Les bonnes statistiques sur l'emploi sont d'ailleurs en partie resonsables de l'appréciation du huard, car le reste du monde y voit les signes d'une économie vigoureuse.

MAIS une analyse de L'Institut C.D. Howe (NOTE DE FRANCO: que personne n'a vue retranscrite dans les journaux ici au Québec) vient de montrer que le portrait n'est pas aussi rose qu'il y paraît.

Essentiellement, le rapport dit ceci: la croissance de l'emploi au pays PROVIENT EN GRANDE PARTIE DE L'ÉTAT. D'octobre 2006 à octobre 2007, l'augmentation globale du nombre d'emplois s'est établie à 2.5%. MAIS DANS LE SECTEUR PRIVÉ, ELLE N'A ÉTÉ QUE DE 0.9% , comparativement à 4.9% dans le secteur public.

AU QUÉBEC ET EN ONTARIO, LE NOMBRE D'EMPLOYÉS DU SECTEUR PRIVÉ A DIMINUÉ. N'EÛT ÉTÉ UNE NETTE AUGMENTATION DE L'EFFECTIF DU SECTEUR PUBLIC (4.7% AU QUÉBEC, 6% EN ONTARIO), LE SOLDE AURAIT ÉTÉ NÉGATIF.

..........................

SUITE ET FIN DU TEXTE DANS LES PAGES DU JOURNAL.

Commentaires: ce que je veux démontrer, c'est que Charest se fait de la publicité avec un taux de chômage au Québec parmi les plus bas depuis plus de 30 ans.

MAIS Charest n'a absolument rien fait pour aider les entreprises à prospérer, Charest laisse aller tous les secteurs dans les régions: les producteurs agricoles, les producteurs forestiers, les mines
--------À LEBEL-SUR-QUÉVILLON, avec la bénédiction du fédéral (Harper) et de Charest, ***avec permis de travail spéciaux et tout***, on va importer près de 50 travailleurs SANS AUCUNE EXPÉRIENCE DE TRAVAIL d'un pays de l'Extrême-Orient pour travailler dans les mines, alors qu'il existe de nombreux chômeurs de productions forestières, suite aux fermetures de 15 des 16 scieries dans la région des Hautes-Laurentides--------- ******C'EST CE QUE LA NOUVELLE COMPAGNIE ANGLOPHONE qui va exploiter les mines DEMANDE À CHAREST.*******
et, malgré tout, le taux de chômage baisse. On sait que plusieurs québécois, qui proviennent de ces régions, se sont exilés en Alberta. (voir Journal des Affaires de la semaine précédente).

En bout de ligne: C'EST DÉGUEULASSE CE QUE CHAREST FAIT (OU NE FAIT PAS....)

VOIR L'AUTRE TEXTE PRÉCÉDENT, ÉCRIT CE MÊME JOUR

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dans le journal "Les Affaires", page 84 --indiqué en erreur 90, mais c'est 84--, semaine du 17 au 23 novembre 2007

TITRE:
L'INDUSTRIE PORCINE À LA RECHERCHE DE SOLUTIONS POUR S'EN SORTIR

"Des éleveurs de porcs qui ne parviennent pas à respecter leurs obligations financières. Des entreprises de transformation qui signent des bilans financiers à l'encre rouge. Et des travailleurs dont les conditions de travail ont subi des reculs.

Non, l'industrie porcine ne va pas bien (NOTE DE FRANCO: et Charest N'A ABSOLUMENT RIEN FAIT pour les aider, comme donner des subventions pour se moderniser, pour acheter des équipements plus modernes pour que le coût de production soit plus bas, etc....) Mais plutôt que de s'apitoyer, tous les intervenants cherchent des solutions pour ce secteur de l'économie qui emploie 28000 personnes et génère des revenus annuels de trois milliards de dollars
(NOTE DE FRANCO: quand je vous disais que l'ensemble des producteurs agricoles gèrent des entreprises valant dans les millions de dollars....)

À l'instar des manufacturiers exportateurs, les producteurs et les transformateurs de porcs doivent composer avec un dollar canadien devenu particulièremtnt fringant au cours des derniers mois. Cette donnée nuit à la compétitivité des entreprises, concède le président de la Fédération des producteurs de porcs du Québec (FPPQ), Jean-Guy Vincent.

Le Québec exporte la moitié des porcs qu'il produit, principalement aux États-unis (NOTE DE FRANCO: quand les frontières ne sont pas fermées aux producteurs du Québec). Et qui dit parité avec la devise américaine dit revenus d'exportation à la baisse.

Le premier effet se fait sentir lorsqu'on compare les coûts de la main-d'oeuvre québécoise à celle américaine. "Les coûts sont beaucoup plus élevés ici qu'au sud de la frontière. Par exemple, on sait que plusieurs entreprises américaines recourent aux services d'employés à faible coût, généralement issus de l'immigration illégale. Or, ici, les coûts sont plus élevés, pas seulement les salaires, mais aussi l'ensemble des charges sociales. Le taux de change ne fait qu'aggraver la situation" soutient M. Vincent

(suggestion de Franco: pourquoi le provincial ne prévoierait pas de ramasser seulement la moitié des charges sociales, quand le dollar canadien est plus haut que l'américain, au lieu d'avoir DU MONDE EN CHÔMAGE ?)

.........SUITE ET FIN DU TEXTE DANS LE JOURNAL

Commentaires:
ON poursuit avec le cas d'Olymel, où ce grand joueur n'a pas fait que des heureux.........

Comme à St-Esprit, où les gens se sont battus contre cette compagnie, pour ne pas que l'entreprise locale ferme, mais l'entreprise a fermé une première fois en 1992, après s'être fait acheter par Olymel. Manifestations, contestations devant les bureaux de députés, recherches de partenaires...., et l'entreprise locale rouvre ses portes au bout de 2-3 ans.... avec un partenaire.... mais là, c'est le partenaire qui vient (4-5 ans plus tard) de se faire acheter par Olymel.... RETOUR À LA CASE DÉPART ?? Toujours à recommencer ?? C'est le bordel dans cette industrie depuis que l'encan électronique existe, depuis 1990.... QUOI FAIRE ?? Revenir aux petits producteurs ?? Tout un dilemne!!!! J'en connais plusieurs qui se grattent la tête....

ET CHAREST QUI NE FAIT ABSOLUMENT RIEN POUR ALLÉGER LEURS FARDEAUX!!!!

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Commentaires suite au programme de "rattrappage" de CHAREST:

http://biz.branchez-vous.com/ActualiteAffaires/071123/F1123103AU.html

EXTRAIT:

L'aide aux manufacturiers est jugée insuffisante par le PQ et l'ADQ

LA PRESSE CANADIENNE -- 23 novembre 2007


QUÉBEC - Le plan d'aide au secteur manufacturier présenté vendredi par le premier ministre Jean Charest n'est qu'une "réponse mineure à un problème majeur", soutient l'Action démocratique du Québec.

Le porte-parole de l'opposition officielle en matière de finances, Gilles Taillon, estime que le plan reprend les mêmes mesures qui se sont avérées inefficaces au fil du temps pour juguler la crise.

Pour l'essentiel, M. Taillon juge que le programme "d'achat chez nous" adopté par le gouvernement Charest ne va pas assez loin.

Pour soigner l'anémie du secteur manufacturier, le gouvernement aurait dû, a-t-il dit vendredi en point de presse, se doter d'une politique beaucoup plus vaste, incluant non seulement l'achat chez nous mais aussi la "fabrication et la transformation chez nous".

Le plan d'aide néglige aussi la formation et le recyclage du personnel mis à pied, croit M. Taillon.

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Commentaires: Charest préfère que les Québécois en chômage s'exilent en Alberta pour avoir du travail, ALORS QUE LE QUÉBEC VA MANQUER DE PLUS EN PLUS DE MAIN-D'OEUVRE DANS TOUTES SORTES D'EMPLOIS SPÉCIALISÉS, comme l'industrie spatiale, l'informatique, etc, ....

Alors, le Québec va être obligé de recourir à plus de main-d'oeuvre extérieure, plus d'immigration pour combler les postes en manque... Charest fait la même chose que dans les années 1880-1900 où près au moins de la moitié des Québécois se sont exilés dans les États de la Nouvelle-Angleterre, alors que le pays du Canada faisait venir gratuitement, par navires bondés, des néo-canadiens pour aller peupler surtout les provinces de l'ouest.

D'ailleurs, on le voit, le pays du Canada paye gratuitement le déplacement de près de 50 personnes de l'extérieur du pays pour venir travailler dans les mines, qui sont sans expérience dans ce domaine, sans aucune expérience du Grand Nord Québécois, avec formation gratuite, ALORS QU'IL Y A PLEIN D'ANCIENS TRAVAILLEURS FORESTIERS DANS CETTE RÉGION DES HAUTES-LAURENTIDES, à Lebel-sur-Quévillon, qui voudraient avoir ces postes. Mais non, ces Québécois n'auront pas ces emplois dans les mines, dans leur propre village. Ils sont obligés de s'exiler en Alberta pour gagner leur vie.
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Quant aux crédits d'impôt mis à la disposition des entreprises, le député fait remarquer, avec une pointe d'ironie, que cette mesure n'améliorera pas le sort des nombreuses entreprises manufacturières qui ont dû fermer leurs portes ces dernières années.

Du côté du Parti québécois, à Montréal, la chef Pauline Marois juge que le gouvernement s'est adonné à "un saupoudrage de mesurettes absolument insuffisantes après des mois d'attente et cinq années de crise".

Aux yeux de Mme Marois et de François Legault, porte-parole en matière de développement économique et de finances, le gouvernement aurait dû réduire, voire éliminer la taxe sur le capital, sauf dans le cas des banques et des pétrolières.

"On nous parle de 50 millions $ par année, sur cinq ans. Or la réduction de la taxe sur le capital représente 1 milliard $ disponible pour faire face à la crise", a fait valoir Mme Marois.

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Deux porte-parole syndicaux ont applaudi l'initiative du gouvernement Charest, la qualifiant de pas dans la bonne direction. Cependant, Pierre Patry, trésorier de la CSN, et René Roy, secrétaire général de la FTQ, reprochent au plan de demeurer insuffisant et de ne pas avoir de cible claire.

D'autre part, MM.Patry et Roy ont réclamé du gouvernement du Canada qu'il intervienne lui aussi pour soutenir l'industrie manufacturière qui est en crise au Québec.

La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a quant à elle accueilli favorablement l'initiative de Québec, se réjouissant particulièrement de l'introduction de diverses mesures touchant la formation et l'éducation. Comme la CSN et la FTQ, la CSQ se demande ce que le gouvernement fédéral attend pour agir.

La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante a fait valoir que, si les dirigeants de PME manufacturières québécoises apprécieront sûrement certaines mesures proposées par Québec, "les entreprises manufacturières auraient souhaité l'élimination de la taxe sur le capital, une mesure qui aurait aidé toutes les entreprises manufacturières", selon le vice-président pour le Québec, Simon Prévost.


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Texte complet au lien internet

Lien internet lors de la fermeture de l'usine Domtar à Lebel-sur-Quévillon:
http://www.radio-canada.ca/radio/maisonneuve/25112005/66784.shtml

VOIR: "COLÈRE À LEBEL-SUR-QUÉVILLON où la nouvelle usine minière recrute à l'étranger":
http://www.cyberpresse.ca/article/20071021/CPACTUALITES/71021031/1019/CPACTUALITES
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BONNE NOUVELLE POUR LEBEL-SUR-QUÉVILLON:

Finalement, il y a des dirigeants politiques "qui ont allumé" OU ENCORE ça veut dire que des dirigeants municipaux et syndicaux de cette ville ONT LE PIED PESANT.... donc, on va s'organiser pour donner de la formation aux chômeurs forestiers SUR PLACE pour devenir mineurs.





http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/11/20071127-230404.html

EXTRAIT:

Première victoire pour les chômeurs forestiers de Lebel-sur-Quévillon: Un groupe pourra entreprendre une formation à la mine Langlois

Mise en ligne 28/11/2007 04h00 -- Yvon Laprade -- Le Journal de Montréal

Les chômeurs forestiers de Lebel-sur-Quévillon qui s’opposent à la venue de mineurs tunisiens viennent de remporter une première victoire. La bataille « régionale » menée par les travailleurs et le maire de la ville, Gérald Lemoyne, vient de se traduire par un déblocage.

À compter de janvier, un groupe de chômeurs de la forêt pourra entreprendre une formation pour éventuellement travailler à la mine Langlois, propriété du géant Breakwater.

«C’est une très bonne nouvelle qui donne espoir à nos chômeurs», a confié hier au Journal de Montréal le maire Lemoyne.

Il dit avoir reçu 123 demandes de travailleurs désireux de suivre une formation intensive.

«Tout ça en une semaine seulement! Ça démontre qu’il y a chez nous des travailleurs qui ne veulent pas se retrouver sur l’aide sociale», affirme-t-il.

Il n’est toutefois pas encore acquis que le dossier touchant les 47 mineurs tunisiens, qui doivent normalement débarquer à Lebel-sur-Quévillon au plus tard à la mi-janvier, soit fermé définitivement.

«On ne sait pas encore si les mineurs de là-bas vont tous venir ici, et pour combien de temps», précise le maire.

Il faut savoir que Breakwater avait suscité un vent de colère dans cette ville aux limites de l’Abitibi lorsqu’elle avait annoncé son intention de faire appel à cette main-d’oeuvre étrangère pour combler des postes de mineur.

La minière avait invoqué une pénurie de mineurs formés au Québec. Le président de la FTQ, Henri Massé, avait questionné le manque de rigueur du gouvernement dans ce dossier et la lenteur à mettre en place des programmes de formation.

Avantage

La formation pour les mineurs abitibiens sera assumée par le gouvernement du Québec, dans le cadre de programmes destinés aux travailleurs qui veulent se réorienter dans un autre secteur d’activités.

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SUITE ET FIN DU TEXTE AU LIEN INTERNET

UNE AUTRE ACTION QUE CHAREST A FAITE DEPUIS 2003, ET QUI DÉSAVANTAGE TOUJOURS LE QUÉBEC:

l'annulation des différentes subventions pour les entreprises en informatique en plein coeur de Montréal

DANS L'EXTRAIT, on dit que chaque emploi non comblé en informatique coûte dans les $120,000 au gouvernement et aux entreprises, alors que les subventions que Québec donnait aux entreprises, du temps du Parti Québécois avec Bernard Landry, étaient de l'ordre de $30 à $40,000 , même si c'étaient des emplois, parfois, qui auraient été payés de toutes façons. Mais cela aurait amené d'autres développements, d'autres entreprises seraient plus intervenus dans ce domaine.......

http://biz.branchez-vous.com/ActualiteAffaires/071204/F1204102AU.html

EXTRAIT:

Des entreprises ont de la difficulté à recruter des spécialistes des TI

LA PRESSE CANADIENNE -- 4 décembre 2007


MONTRÉAL - Le recrutement de personnel qualifié dans le secteur des technologies de l'information (TI) devient de plus en plus difficile, voire même problématique, pour les entreprises canadiennes, indique un rapport préliminaire du Conference Board commandé par une coalition de sociétés.

Selon le document, la principale raison est la baisse des inscriptions dans les programmes de TI dans les universités canadiennes, particulièrement au Québec et dans les provinces maritimes.

Le rapport préliminaire a été dévoilé mardi dans le cadre de l'annonce de la formation d'une coalition d'entreprises pour assurer une relève technologique au pays.

"En créant cette grande coalition, nous souhaitons freiner cette érosion du talent technologique et redynamiser le secteur des TI au Canada", a affirmé dans un communiqué Stéphane Boisvert, président du groupe grandes entreprises de Bell Canada, qui est à l'origine de cette initiative.

Le Conference Board a reçu le mandat de dresser un portrait exhaustif du secteur des technologies de l'information au Canada.

Selon M. Boisvert, si aucune mesure n'est prise pour accroître le bassin de travailleurs en technologies de l'information, l'économie du pays en fera les frais.

"En calculant que chaque poste en TI non comblé coûte en moyenne 119 000 $ annuellement à l'économie canadienne, le Conference Board a évalué que si nous ne parvenons pas à combler les quelque 89 000 emplois qui seront disponibles d'ici les trois à cinq prochaines années, les pertes dépasseront les 10 milliards $, a-t-il dit. Et il s'agit là d'une estimation."

........................

TEXTE COMPLET AU LIEN INTERNET

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Commentaires: Il me semble que le Québec ne peut se permettre de perdre, PAR IDÉOLOGIE CONSERVATRICE OU ENCORE PAR PURE INCONSCIENCE, des dizaines de millliards de dollars dans le domaine de l'informatique. Charest aurait pu conserver au moins la moitié des subventions, depuis 2003, aux différentes entreprises en informatique, et le problème ne se poserait même plus.

C'ÉTAIT SÛR QUE L'INFORMATIQUE, C'ÉTAIT APPELÉ À SE DÉVELOPPER ENCORE PLUS DANS UN PROCHE AVENIR!!! ÇA NE PRENAIT PAS UN VOYANT OU UNE VOYANTE pour annoncer cela.

Il y a des coups de pieds au cul qui se perdent. Mais, c'est vrai, Charest, C'EST LE SAUVEUR DES FRANCOPHONES DU CANADA. J'allais l'oublier....., il ne faut pas que je lui tape trop sur la tête.........

J'AI UN "SCOOP" POUR LA FCFA ET LES FRANCOS DU CANADA: CHAREST FAIT TOUT EN SON POUVOIR, ET ENCORE PLUS, POUR FAIRE ANGLICISER LES FRANCOPHONES DU QUÉBEC................. MAIS LES FRANCOS DU CANADA LUI BAISENT LES PIEDS COMME S'IL ÉTAIT LEUR SAUVEUR!!!!

JAMAIS CHAREST N'INTERPELLE LA COMMUNAUTÉ ANGLOPHONE OU BIEN LES ALLOPHONES POUR LES INVITER À PARLER DE PLUS EN PLUS EN FRANÇAIS...... ça ne s'est jamais vu DEPUIS DES CENTAINES D'ANNÉES!!!!!!

Tous les premiers ministres du Parti Québécois invitaient les gens à parler la langue française, et tous les premiers ministres du parti libéral appelaient les gens à parler la langue française: Bourassa faisait pareil comme les gens du PQ, Jean Lesage faisait pareil, Duplessis faisait pareil, Adélard Godbout faisait pareil...... là, on est rendu vers la fin des années 1930.......


MAIS QU'EST-CE QUE CHAREST FAIT ENCORE COMME PREMIER MINISTRE DU QUÉBEC ????? ABSOLUMENT INCOMPRÉHENSIBLE!!!!

"Arrive en ville" comme dirait l'ancien président d'Alliance-Québec devant la commission BT (en anglais, il a dit: "grow up"....). Cela voulait dire: "heilll,,, allumez un peu...... c'est l'anglais qui est majoritaire maintenant, et ON A L'APPUI DU PREMIER MINISTER CHAREST..........."""

VOIR LES STATISTIQUES SUR LA BAISSE DE LA PROPORTION DES FRANCOPHONES AU QUÉBEC ET AU CANADA dans un autre "post".........

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PARDON, mais je parle français!!


http://www.ledevoir.com/2008/01/18/172221.html?fe=2926&fp=210901&fr=62609

EXTRAIT:

Difficulté à se faire servir en français dans l'ouest de l'île de Montréal, affichage de plus en plus bilingue ou tout simplement unilingue anglais, progression des modes d'emploi en anglais seulement, ambiance musicale anglaise dans plusieurs boutiques ou grands magasins de Montréal, importance accrue de la chanson anglaise à la plupart des chaînes radio du Grand Montréal, recrudescence des noms de commerce à consonance anglaise, etc.

Oui, le français est en nette progression à Montréal et ailleurs, selon quelques chroniqueurs chevronnés. Et dire qu'il y en a parmi eux qui osent affirmer que la loi 101 ne doit pas être retouchée! Mais peuvent-ils me dire ce qu'il nous reste de cette charte de la langue française du 26 août 1977? Quand donc les Québécois cesseront-ils de s'excuser de vivre en français au Québec? Quand donc les Québécois cesseront-ils de s'excuser de simplement d'exister?

FIN DU TEXTE

Commentaires: j'appuie ce texte à 100%!!
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francoquebecois a écrit:

UNE AUTRE ACTION QUE CHAREST A FAITE DEPUIS 2003, ET QUI DÉSAVANTAGE TOUJOURS LE QUÉBEC:

l'annulation des différentes subventions pour les entreprises en informatique en plein coeur de Montréal

DANS L'EXTRAIT, on dit que chaque emploi non comblé en informatique coûte dans les $120,000 au gouvernement et aux entreprises, alors que les subventions que Québec donnait aux entreprises, du temps du Parti Québécois avec Bernard Landry, étaient de l'ordre de $30 à $40,000 , même si c'étaient des emplois, parfois, qui auraient été payés de toutes façons. Mais cela aurait amené d'autres développements, d'autres entreprises seraient plus intervenus dans ce domaine.......

http://biz.branchez-vous.com/ActualiteAffaires/071204/F1204102AU.html

EXTRAIT:

Des entreprises ont de la difficulté à recruter des spécialistes des TI

LA PRESSE CANADIENNE -- 4 décembre 2007


MONTRÉAL - Le recrutement de personnel qualifié dans le secteur des technologies de l'information (TI) devient de plus en plus difficile, voire même problématique, pour les entreprises canadiennes, indique un rapport préliminaire du Conference Board commandé par une coalition de sociétés.

Selon le document, la principale raison est la baisse des inscriptions dans les programmes de TI dans les universités canadiennes, particulièrement au Québec et dans les provinces maritimes.

Le rapport préliminaire a été dévoilé mardi dans le cadre de l'annonce de la formation d'une coalition d'entreprises pour assurer une relève technologique au pays.

"En créant cette grande coalition, nous souhaitons freiner cette érosion du talent technologique et redynamiser le secteur des TI au Canada", a affirmé dans un communiqué Stéphane Boisvert, président du groupe grandes entreprises de Bell Canada, qui est à l'origine de cette initiative.

Le Conference Board a reçu le mandat de dresser un portrait exhaustif du secteur des technologies de l'information au Canada.

Selon M. Boisvert, si aucune mesure n'est prise pour accroître le bassin de travailleurs en technologies de l'information, l'économie du pays en fera les frais.

"En calculant que chaque poste en TI non comblé coûte en moyenne 119 000 $ annuellement à l'économie canadienne, le Conference Board a évalué que si nous ne parvenons pas à combler les quelque 89 000 emplois qui seront disponibles d'ici les trois à cinq prochaines années, les pertes dépasseront les 10 milliards $, a-t-il dit. Et il s'agit là d'une estimation."

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TEXTE COMPLET AU LIEN INTERNET

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Commentaires: Il me semble que le Québec ne peut se permettre de perdre, PAR IDÉOLOGIE CONSERVATRICE OU ENCORE PAR PURE INCONSCIENCE, des dizaines de millliards de dollars dans le domaine de l'informatique. Charest aurait pu conserver au moins la moitié des subventions, depuis 2003, aux différentes entreprises en informatique, et le problème ne se poserait même plus.

C'ÉTAIT SÛR QUE L'INFORMATIQUE, C'ÉTAIT APPELÉ À SE DÉVELOPPER ENCORE PLUS DANS UN PROCHE AVENIR!!! ÇA NE PRENAIT PAS UN VOYANT OU UNE VOYANTE pour annoncer cela.

Il y a des coups de pieds au cul qui se perdent. Mais, c'est vrai, Charest, C'EST LE SAUVEUR DES FRANCOPHONES DU CANADA. J'allais l'oublier....., il ne faut pas que je lui tape trop sur la tête.........

J'AI UN "SCOOP" POUR LA FCFA ET LES FRANCOS DU CANADA: CHAREST FAIT TOUT EN SON POUVOIR, ET ENCORE PLUS, POUR FAIRE ANGLICISER LES FRANCOPHONES DU QUÉBEC................. MAIS LES FRANCOS DU CANADA LUI BAISENT LES PIEDS COMME S'IL ÉTAIT LEUR SAUVEUR!!!!

JAMAIS CHAREST N'INTERPELLE LA COMMUNAUTÉ ANGLOPHONE OU BIEN LES ALLOPHONES POUR LES INVITER À PARLER DE PLUS EN PLUS EN FRANÇAIS...... ça ne s'est jamais vu DEPUIS DES CENTAINES D'ANNÉES!!!!!!

Tous les premiers ministres du Parti Québécois invitaient les gens à parler la langue française, et tous les premiers ministres du parti libéral appelaient les gens à parler la langue française: Bourassa faisait pareil comme les gens du PQ, Jean Lesage faisait pareil, Duplessis faisait pareil, Adélard Godbout faisait pareil...... là, on est rendu vers la fin des années 1930.......


MAIS QU'EST-CE QUE CHAREST FAIT ENCORE COMME PREMIER MINISTRE DU QUÉBEC ????? ABSOLUMENT INCOMPRÉHENSIBLE!!!!

"Arrive en ville" comme dirait l'ancien président d'Alliance-Québec devant la commission BT (en anglais, il a dit: "grow up"....). Cela voulait dire: "heilll,,, allumez un peu...... c'est l'anglais qui est majoritaire maintenant, et ON A L'APPUI DU PREMIER MINISTER CHAREST..........."""

VOIR LES STATISTIQUES SUR LA BAISSE DE LA PROPORTION DES FRANCOPHONES AU QUÉBEC ET AU CANADA dans un autre "post".........

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CHAREST VIENT DE DÉCIDER de donner des subventions (finalement, qu'on serait prêt à dire) à une grosse compagnie qui travaillent en INFORMATIQUE: à "Morgan Stanley"...... MAIS C'EST COMME UN COUP D'ÉPÉE DANS L'EAU, et même pire, parce qu'il y a beaucoup d'argent qui tombe dans le fond de l'eau, sans que cela serve..... PITOYABLE!!!

Je ne sais pas s'il y a magouille derrière tout ça, MAIS C'EST BEAUCOUP PLUS SÉRIEUX QU'ON LE PENSE....

voir le texte suivant:

http://quebectech.branchez-vous.com/2008/05/quelquun_peutil_reveiller_jean.html#comments

EXTRAIT:
Je pense qu'il est temps d'envoyer un message clair au gouvernement de Jean Charest: RÉVEILLE! Car s'il était tout fier de refiler un chandail du Canadien de Montréal au représentant de Morgan Stanley, c'est que cette dépense n'était rien à côté de la subvention colossale qu'il leur octroie du même coup.

Surtout que ces fameux 200, 300 ou 500 emplois auraient pu être ceux d'une PME 100 % québécoise, dont le rôle aurait été de développer les logiciels que le gouvernement emploie dans ses opérations quotidiennes. Vous savez, ces logiciels que Québec achète à gros prix directement de Microsoft, sans se demander si cet argent serait mieux investi dans des entreprises de chez nous?

FIN DE L'EXTRAIT
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NOTE: APRÈS DES SUBVENTIONS EN "TI" (Télécommunications en Informatique) que Charest vient de donner à une grosse COMPAGNIE AMÉRICAINE, au lieu de faire faire du développement à des compagnies québécoises, CHAREST VIENT DE DONNER TOUS LES APPELS D'OFFRE pour l'ÉNERGIE ÉOLIENNE à des GROSSES COMPAGNIES DE L'EUROPE, DE LA FRANCE...., au lieu de donner cela à des compagnies québécoises, coopératives et municipalités qui étaient tout autant prêtes à faire ces contrats.....

Après ça, AUSSI, la province de Québec se retrouve LA SEULE PROVINCE, en avril 2008, À AVOIR PERDU DES EMPLOIS AU CANADA, et la province de Québec va se retrouver, dans 2-3 ans, en 9ème ou 10ème position sur 10 provinces quant aux besoins de subventions pour la peréquation, tel que le décrivait un excellent journaliste de LA PRESSE, il y a quelques jours.
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Pour ceux qui n'ont pas encore compris, CHAREST vend toutes les possibilités de faire de l'argent à des compagnies étrangères, au lieu de compagnies québécoises, ET, ENSUITE, la province de Québec va se retrouver la plus grande bénéficiaire des subventions de peréquation AU CANADA, dans 2-3 ans.... si ça continue comme ça.

Et là, ensuite, Charest va pouvoir dire: "VOUS VOYEZ, HEUREUSEMENT QUE LE QUÉBEC EST DANS LE CANADA POUR POUVOIR PROFITER DE LA RICHESSE DES AUTRES PROVINCES...."..
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NOTE: texte lu sur le site d'Impératif Français:
http://www.imperatif-francais.org/bienvenu/

Merci à IF.
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Charest et Sarkozy...., de bourde en bourde

voir le très éloquent texte suivant:

http://www.respublicanova.fr/spip.php?article396


EXTRAIT:

La conclusion est simple : la difficulté de l’espérance de la souveraineté ne signifie pas que l’espérance est vaine ; la légitimité de Charest ne sera jamais qu’une légimité de gestionnaire économique en attendant d’autres ambitions politiques. Penser que le Québec s’accomplit dans le PLQ, ---(NOTE: avec Jean Charest, s'il faut préciser)--- c’est prendre les Québécois pour des idiots et des Canadiens comme les autres.

FIN DE L'EXTRAIT
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La politique "d'achat chez nous" lancé par Jean Charest, une publicité faite par une compagnie de marketing de l'ONTARIO
----Non, mais, faut le faire!!!!!

http://www.ledevoir.com/2008/06/05/192745.html

EXTRAIT:

«Comment le gouvernement peut-il nous dire sérieusement que c'est important, l'achat local pour les consommateurs, alors qu'à la première occasion de donner l'exemple, le gouvernement se retourne encore une fois vers une entreprise ontarienne pour le contrat de publicité?», a demandé M. De Martin lors de la période des questions à l'Assemblée nationale.

FIN DE L'EXTRAIT

FOI DE CHAREST: faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.....

Quand je vous dis que Charest est le premier ministre du Québec LE PLUS DÉCONNECTÉ et LE PLUS GRAND FOSSOYEUR de l'identité sociale québécoise et des fondements de l'État du Québec!!!

Mes yeux ont peine à croire ce que je lis.

En passant, quand le ministre de l'agriculture du Québec défend le choix de Charest en disant que plusieurs québécois ont travaillé sur cette publicité, c'est peut-être vrai.

Mais ce qu'il ne comprend pas --- et là, il faudrait lui repasser des dizaines et des dizaines de fois leur publicité --- la politique "d'achat chez nous" fait faire des BÉNÉFICES, des profits pour la compagnie d'ici, du Québec. Et cela, peu importe qui ont été les employés. Et avec plein de bénéfices et de profits, la compagnie grossit, grossit....., et fait d'autres bénéfices pour le bénéfice des Québécois au complet.
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ET Charest qui tente de se positionner, ces jours-ci, comme le plus grand défenseur de l'identité québécoise, MAIS, DANS LES FAITS, QUI ENTRAÎNE LE QUÉBEC ET LES QUÉBÉCOIS DANS DES PIRES CHOSES AU SUJET DE L'ENVIRONNEMENT:
=la réfection de la centrale nucléaire Gentilly II
=RABASKA, en face de la ville de Québec
=l'harnachement de la rivière LA ROMAINE, sur la Côte Nord, pour produire encore plus d'électricité, alors que Hydro-Québec ne fait presqu'aucun effort, presqu'aucune publicité pour l'économie d'énergie
=le projet "Trailbreaker" qui permettrait au "pétrole sal" de l'Alberta
d'être raffiné au Québec -- texte au bas

Voir le texte CONTRE LA RÉFECTION DE LA CENTRALE GENTILLY II:

http://blogues.greenpeace.ca/2008/09/26/gentilly-2-le-quebec-467-fois-moins-strict-que-la-californie/

Titre du texte:
GENTILLY II: le Québec 466 fois moins strict que la Californie:



Philippe Giroul, un citoyen de Trois-Rivières m’a fait parvenir une excellente lettre d’opinion (voir ci-dessous) sur le projet d’Hydro-Québec de rénover la centrale nucléaire Gentilly-2 au coût de 1,5 milliard de dollars.

Dans cette lettre on nous rappelle que les taux d’émissions de radiation (tritium) considérées comme acceptables au Québec sont 466 fois plus élevés que celles en vigueur en Californie.

Avez-vous besoin d’une autre raison pour fermer Gentilly-2 et investir l’argent dans de vraies solutions écologiques? En attendant, allez signer la pétition. ---voir plus bas----

Lettre d’opinion – 22 septembre 2008.

Normes californiennes à Gentilly ?

Applaudissons le Premier ministre Jean Charest qui vient d’appuyer les 4 provinces et 6 états américains voisins du Québec dans une résolution qui tend vers l’adoption des normes californiennes dans la lutte aux gaz à effet de serre visant les véhicules automobiles.

Si M. Charest est conséquent avec lui-même et non avec le lobby nucléaire, il devrait aussi défendre ces normes californiennes dans le cas du pollueur Gentilly-2.

En effet, un des produits relâchés par celui-ci est le tritium, un isotope radioactif de l’hydrogène. Il est émis dans l’air sous la forme de vapeur d’eau, et dans le fleuve sous la forme d’eau tritiée radioactive. Quand on respire cette vapeur, un fort pourcentage de ce tritium est absorbé par le corps humain. Une fois à l’intérieur du corps, le tritium peut causer un cancer et des mutations génétiques. Chez les femmes enceintes, le tritium est absorbé par le fœtus.

Chaque année, le réacteur Gentilly-2 relâche plus de 100 trillions de becquerels de tritium dans l’atmosphère, et beaucoup plus dans l’eau. (Un becquerel, unité de radioactivité, correspond à une désintégration par seconde.)

« Ces chiffres montrent que l’énergie nucléaire n’est pas une forme d’énergie propre, affirme André Bélisle », président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique.

« Dans son rapport de 2006, le Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE) révélait que les émissions routinières de tritium sont tellement élevées à Gentilly que la radioactivité dans l’eau potable des communautés avoisinantes serait illégale en Californie, État où les normes sont plus strictes. »

Au Canada, on permet un niveau de radioactivité pour le tritium dans l’eau de 7 000 becquerels par litre (Bq/L). En Californie, un niveau de seulement 15 Bq/L est permis.

Michel Duguay, PhD. en physique nucléaire, nous donne l’explication suivante pour le 7 000 Bq/litre :

‘’La signification de la norme canadienne de 7 000 Bq/litre est qu’une personne consommant de l’eau et des aliments ayant cette concentration de tritium, finirait par avoir dans chaque litre de son corps, donc dans chaque kilogramme de son corps, 7 000 désintégrations d’atomes de tritium par seconde. En se désintégrant le tritium émet un électron dont l’énergie est en moyenne environ 6 000 électrons-volts. Du point de vue de la biologie, cette énergie est considérable puisqu’il suffit de six électrons-volts pour effectuer une mutation sur l’ADN de nos gènes.


Les mutations de gènes causent le cancer et les malformations congénitales. Notre seule protection contre ces effets provient des statistiques, c’est-à-dire de la probabilité qu’une cellule de notre corps qui a déjà subi trois ou quatre mutations pouvant mener à un cancer en reçoive une autre qui lui donne son coup de grâce. D’où l’intérêt de mettre les statistiques de notre côté en réduisant de façon drastique l’exposition au tritium de 7 000 à 15 Bq/litre.’’

Monsieur Charest pourra-t-il exiger d’Hydro-Québec qu’il respecte ces normes californiennes à Gentilly-2 pour le respect de l’environnement et des citoyens affectés par ces émissions ?


Comme il semble ouvert à des révisions de position, il est encore temps pour son gouvernement de revoir son décret de juin 2007 sur le projet de modification des installations de stockage des déchets radioactifs et réfection de Gentilly-2.

Alors, le Québec sera un exemple pour le reste du Canada !

Philippe Giroul

FIN DU TEXTE RECOPIÉ
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Commentaires: des informations QUI NOUS DONNENT FROID DANS LE DOS.... br....br...br....

PROJET DE STOCKAGE: comme c'est indiqué, et comme je l'ai déjà écrit, parce que j'avais lu cela à quelque part dans un endroit CONFIDENTIEL: la centrale de GENTILLY II va servir AUSSI de centre de stockage de DÉCHETS NUCLÉAIRES pour de nombreuses autres centrales HORS QUÉBEC.
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Lire le texte de la résolution, et signer la pétition:
http://action.greenpeace.ca/resolution-gentilly/

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Projet "Trailbreaker" de la société Endbridge:
http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/jean-lemire/200809/28/01-24291-du-sable-dans-lengrenage.php

EXTRAIT:
Le Québec figure aussi sur l'échiquier des plus grands pollueurs de la planète. Si les gouvernements fédéral et québécois acceptent de donner l'aval au projet «Trailbreaker», qui vise à transporter 240 000 barils de pétrole de l'Alberta jusque dans le Maine et le Texas, Montréal accueillera près du tiers de cette cargaison d'or noir. Or, ce pétrole est jusqu'à trois fois plus polluant que celui que nous importons de la Norvège et de l'Algérie!

FIN DE L'EXTRAIT

COMMENTAIRES: ça, c'est du Charest qui appuie HARPER dans le développement du "PÉTROLE SAL" DE L'ALBERTA.
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VOIR LE TEXTE PRÉCÉDENT, ET voir ce qui suit:

http://communiques.gouv.qc.ca:80/gouvqc/communiques/GPQF/Mars2009/20/c2933.html


COPIE DU COMMUNIQUÉ:

Plus de 6 milliards $ de contentieux avec Ottawa
JEAN CHAREST NE DÉFEND PAS LES INTÉRÊTS DU QUÉBEC À OTTAWA

QUÉBEC, le 20 mars /CNW Telbec/ - Le député de Lac-Saint-Jean et porte-parole de l'opposition officielle en matière d'affaires intergouvernementales canadiennes, Alexandre Cloutier, a accusé Jean Charest de ne pas savoir défendre les intérêts du Québec à Ottawa.

«Pendant toute la campagne électorale, Jean Charest a préféré garder un ton mielleux envers le fédéral. Le Québec écope aujourd'hui du fédéralisme prédateur habituel, avec la complicité de Jean Charest, avec 1 milliard $ en moins, seulement au chapitre de la péréquation. Les Québécois sont actuellement dirigés par un premier ministre le plus fédéraliste de toute l'histoire du Québec et ils en paient fortement le prix aujourd'hui, particulièrement au lendemain d'un budget difficile pour les contribuables québécois», a déclaré Alexandre Cloutier.

Au cours d'une interpellation tenue ce matin à l'Assemblée Nationale, M. Cloutier a fait état de divers contentieux pour plus de 6 milliards $ avec Ottawa :

<<
- 1 G$ pour la péréquation;
- 2 G$ pour le programme Chantiers Canada;
- 800 M$ pour le financement postsecondaire;
- 500 M$ pour le Transfert canadien en matière de programmes sociaux (aide sociale);
- 60 M$ pour le Transfert canadien pour la santé;
- 460 M$ pour les infrastructures de recherche;
- 173 M$ pour la Fondation canadienne pour l'innovation;
- 421 M$ pour la crise du verglas;
- 127 M$ pour le programme de stabilisation des revenus;
- 116 M$ pour l'entente sur la main-d'oeuvre;
- 250 M$ pour une correction à la péréquation pour les revenus d'Hydro-Québec. >>

«Jean Charest peut bien se targuer d'avoir obtenu un strapontin à L'UNESCO, il n'en demeure pas moins qu'il y a pour plus de 6 milliards $ de contentieux avec Ottawa, 6 milliards $ qui seraient pourtant bienvenus dans l'économie du Québec présentement, a insisté Alexandre Cloutier. Il faut aussi noter la surprise dévoilée hier dans le budget de Monique Jérôme-Forget; pour le gouvernement Charest, on ne parle plus de déséquilibre fiscal mais plutôt d'une meilleure gouvernance du fédéralisme fiscal canadien. De bien beaux mots pour cacher que le fédéral doit encore aux Québécois beaucoup d'argent», a poursuivi Alexandre Cloutier.

Il a rappelé que c'est toujours l'impasse avec le programme Chantiers Canada. Conséquence : le retard pour la mise en chantier des projets coûtera plus cher aux contribuables. «Nous en aurons moins pour notre argent pour des raisons toujours obscures. Pourtant, nous avons cruellement besoin de ces projets d'infrastructures pour stimuler notre économie mais le gouvernement fédéral nous met des bâtons dans les roues et le gouvernement Charest ne bronche pas», a dénoncé Alexandre Cloutier.

ÉDUCATION POSTSECONDAIRE : CHAREST A BAISSE LES BRAS

Le député de Lac-Saint-Jean a aussi dénoncé le fait que le gouvernement Charest ait baissé les bras pour obtenir les 800 millions $ pour l'éducation postsecondaire. «Au lendemain d'un budget fort décevant dans ses investissements en éducation, cet argent aurait pourtant fait le plus grand bien et est nécessaire pour former notre jeunesse et développer une économie du savoir. Dans cet enjeu bien précis, Jean Charest est fidèle à sa philosophie : dans l'intérêt national canadien, c'est normal qu'Ottawa ne le fasse pas en cette période difficile», a dénoncé M. Cloutier.


«Lors de la campagne électorale fédérale en septembre 2008, Jean Charest avait écrit aux chefs des partis fédéraux avec une série de 14 demandes. Cela fait plus de six mois et le résultat aujourd'hui est nul, probablement parce que Jean Charest n'a plus l'écoute d'Ottawa», a conclu Alexandre Cloutier.
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FIN DU COMMUNIQUÉ

Commentaires: tout simplement ABOMINABLE!!!
Charest fait reculer le Québec de 50 ans, ET MÊME IL EN PROFITE POUR METTRE LE QUÉBEC ENCORE PLUS DANS LE TROU, de sorte que le Québec devra encore plus vivre au crochet du fédéral dans les années à venir!!

Et c'est ce CHAREST-LÀ que SARKO L'AMÉRICAIN A TRÈS CORDIALEMENT HONORÉ DE SA MÉDAILLE, il y a tout juste quelques semaines, en FRANCE!!!.

Il faut dire que cela est toute une machination, tout un plan mis en place et suivi par DESMARAIS, CHAREST..., et SARKO qui appuie tout cela, ET QUI MET LE QUÉBEC DANS LE TROU, lui aussi, en enlevant tout appui de la France, au moins dans l'aspect de la FRANCOPHONIE en Amérique et dans le monde!!!

PS: est-ce que quelqu'un aurait entendu un message du Président de la FRANCE dans le cadre de la JOURNÉE MONDIALE DE LA FRANCOPHONIE, LE 20 MARS 2009 ??
Si oui, j'aimerais bien le connaître...., mais je croirais que c'est non..
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Jean Charest n'est pas simplement déconnecté du Québec, MAIS, AU CONTRAIRE, il fait profiter ses petits amis LIBÉRAUX de grandes largesses économiques que le Québec peut donner:

PLEIN de mauvaises décisions, à tout le moins, qu'on peut qualifier, pour plusieurs, de SCANDALES!!!

Jean Charest, et les conflits d'intérêt:
NOTE: où il ouvre encore plus la porte à tous ces genres
de conflits d'intérêt:
http://www.ledevoir.com/2009/04/30/248116.html?fe=6746&fp=210901&fr=145844

Des fonds publics détournés:
http://www.vigile.net/Des-fonds-publics-detournes-au
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Même le journal anglophone "The Gazette" de Montréal, qui appuie généralement Charest et son parti libéral LES YEUX FERMÉS, commencent à se demander si Charest ne doit pas plutôt démissionner ("ils ne veulent pas ENCORE POUR 3 ANS que des choses arrivent comme il vient d'en arriver").

http://www.vigile.net/Charest-is-beginning-to-look-like

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charest c'est un petit sarkozy ? le pognon c'est bon ! miam miam !!! et surtout pour les copains !!!!

L'élection partielle dans Rivière-du-Loup sera l'occasion pour la population de signifier à Charest qu'elle n'accepte pas ce genre de comportement disgracieux.

Quand les ministres libéraux ont des activités douteuses qui contreviennent au code d'éthique, Charest modifie le code d'éthique..... c'est incroyable. C'est presque de la corruption institutionnalisé.

Rivière-du-Loup n'a pas voter PQ depuis 1981 (en partie à cause de Mario Dumont qui était là depuis 1994), espérons que ça change!

est ce que le PQ a un chef charismatique et énergique à présenter ? où se trouve t-il dans la même situation que le parti socialiste français plongé et paralysé par d'innombrables batailles de petits chefs qui veulent tous être chef ?

Pour un parti d'opposition c'est très important d'avoir un porte parole qui en impose car le système lui est à la base absolument pas favorable !!!

Victorserge
je ne pense que Charest est aussi imbu de lui-même que Sarko mais je crois qu'il est plus ''boulchiteux'' (d'aucun dirait un fin stratège politique, d'autres diraient qu'il a l'art de manier les demi-vérités en souproudrant le tout de promesses non-tenues)
Alain56