Un article du Globe&Mail nous apprend qu'à la suite de problèmes de représentation de ses membres autochtones, une réforme des instances démocratiques des Premières Nations permettrait à ses membres de voter pour leur porte-parole au niveau de l'Etat. Les 633 chefs n'éliraient plus le chef de l'Assembly of First Nations (AFN) et le vote serait universel. Des mesures seraient prises pour amméliorer la reddition des comptes.
Essayerait-on de briser la solitude des "porte-parole"? Si le cheminement des Premières Nations peut servir de guide à celui des "deuxièmes", pouvons-nous nous attendre à des réformes similaires parmi la francophonie "canayenne"? Et peut-être qu'entre temps nous pourrions reprendre le contrôle de nos médias...