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 Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse...

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francoquebecois
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MessageSujet: Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse...   Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse... EmptyJeu 15 Avr 2010, 22:46

...la Caisse de Dépôt et de Placement du Québec:

En effet, la direction de la CDPQ va demander aux déposants eux-mêmes de décider des choix d'investissement et de protection des taux de change!!

QUESTIONS: combien il reste d'employés à la CDPQ ??
À QUOI VONT-ILS SERVIR MAINTENANT, si ce sont les déposants eux-mêmes qui doivent gérer leurs investissements à la CDPQ ????

Commentaires: tout ce que Charest et Sabia peuvent faire pour mettre la CDPQ "À TERRE", ils le font!!!

http://pouliot.argent.canoe.ca/non-classe/le-remue-menage-de-la-caisse/

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COPIE DU TEXTE

Le remue-ménage de la Caisse


15/04/2010 , Canal ARGENT, par François Pouliot


« C’est la faute de la Caisse, c’est la faute de la Caisse… ». Et bien, ça le sera encore, mais moins. Pour le meilleur ou pour le pire, l’institution est en train de transférer une partie de son imputabilité aux déposants.

C’est ce qui se dégage du rapport annuel de la Caisse de dépôt. Le document permet en outre de voir que son mode d’opération est passablement modifié.

Le choix aux déposants
La plus grande surprise vient des transferts de responsabilités qui s’effectuent entre la Caisse et ses déposants (le Régime des rentes, la SAAQ, la CSST, etc.). On n’a jamais trop su jusqu’à quel point dans le passé les déposants voulaient ou ne voulaient pas suivre l’institution dans certaines de ses stratégies.

Ils auront maintenant plus de latitude.
Ainsi, la Caisse ne couvrira plus son risque de change (devises). Ce sera à chacun des déposants de choisir s’il veut se couvrir. On se rappellera qu’en 2008, ces opérations avaient occasionné des pertes de 8,9 G$ ou 5,6% de rendement. Parfois, elles peuvent cependant aussi générer des gains significatifs.

Idem pour la couverture contre l’inflation ou la hausse des taux d’intérêt. Ce sera aux déposants de choisir ce qu’ils veulent.

Même chose enfin pour tous les investissements sur les marchés boursiers internationaux (États-Unis, pays émergents, etc.). Ils auront le choix entre confier leur argent à un gestionnaire de la Caisse qui placera selon une stratégie maison, ou encore simplement y aller en fonction de fonds qui répliqueront des indices.

Fini donc les décisions « unilatérales » de la Caisse dans un certain nombre de sphères. Le succès ou l’échec de ces stratégies reposera sur les épaules des déposants.

Quelques questions se posent évidemment :

- Les déposants ont-ils vraiment tous la capacité de prendre ces décisions?

- Quel sera l’impact de ces changements sur l’effectif de la Caisse? Outre le marché boursier international, trois autres portefeuilles passent à l’indiciel (obligatoire dans ces cas). Or une gestion indicielle demande moins de personnel. Pour l’instant, il ne semble pas y avoir trop d’impact, mais on verra où les déposants enverront leur argent.


Le Québec et l’étranger
Le rapport annuel est aussi fort intéressant sur où aimerait aller la Caisse dans l’avenir.

Très nettement à l’international. Le chapitre de son plan d’action est assez explicite sur le potentiel du Brésil, de la Russie, de l’Inde et de la Chine. Particulièrement pour les secteurs des ressources naturelles, des infrastructures et de l’immobilier, secteurs où l’institution a historiquement bien fait.

Le défi sera de trouver des partenaires permettant d’avoir accès à différentes occasions et à une information stratégique exclusive.

Ce ne sera pas simple. Particulièrement pour une institution qui veut abaisser son risque et qui gère des actifs publics plutôt que privés. Un investisseur privé peut accepter des turbulences sur des marchés en émergence, nos gestionnaires publics sont malheureusement exposés à des frondes politiques qui risquent de fortement handicaper le déploiement des stratégies au moindre soubresaut sur des rendements.

Et le Québec direz-vous? Michael Sabia avait dit vouloir y revenir.

À première vue, l’on est porté à croire que l’institution y a augmenté ses investissements. Lorsque que l’on compare l’actif « québécois » 2008 avec celui de 2009, on réalise qu’il est resté le même. Il aurait plutôt dû grimper de quelque chose comme 3 G$ étant donné le rendement global de l’institution de 10% en 2009. La Caisse a donc moins investi au ici en 2009.

Elle semble cependant être plus active du côté des investissements privés et annonce qu’elle se dotera d’une politique d’investissements Québec au cours de 2010.

C’est à suivre.

FIN DU TEXTE
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francoquebecois
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MessageSujet: Re: Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse...   Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse... EmptySam 01 Mai 2010, 21:18

C'EST DES CENTAINES DE MILLE DE FOIS PIRES QUE CE QUE JE PENSAIS!!!!


CHAREST EST EN TRAIN DE METTRE LA CDPQ COMPLÈTEMENT À TERRE, avant que son terme de 3 ans ne soit terminé!!


ÇA, C'EST LA VÉRITÉ!!
http://www.vigile.net/La-Caisse-Alerte-rouge

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==============

Dans le texte précédent, on voulait nous faire croire, à l'avance, que si la Caisse n'atteignait pas des hauts rendements à l'avenir, ce ne serait pas de sa faute!!

FOUTAISE!!! C'EST CHAREST QUI POUSSE LA CAISSE DANS UN TROU.. ÉNORME!!!.

===================================

voir:
https://amerique-francaise.forumactif.com/grands-titres-f27/la-liberte-de-presse-a-encore-recule-dans-le-monde-en-2009-t2814.htm

Commentaires: certains se demandent pourquoi les journalistes ne travaillent pas sur ce cas ?
RÉPONSE: c'est sûr que ce ne seront pas les journalistes de l'empire du seigneur de Sagard qui vont venir cracher sur leur Maître (ils lèchent plutôt ses bottes);
et ce ne sont pas non plus les journalistes de Quebecor, qui sont en lock-out, qui vont faire ce travail. Et, de plus, Quebecor a assez d'ennuis à ce que la CDPQ ne retire pas ses billes de Videotron, -----la CDPQ est maintenant dirigée OFFICIEUSEMENT par le seigneur de Sagard, par l'entremise de Charest et de Sabia---- que PKP ne viendra pas rajouter de l'huile sur le feu qui couve entre ces 2 conglomérats de communications de presse.

ET "LE DEVOIR" ?? je lui donne encore une chance de faire quelque chose...
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francoquebecois
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MessageSujet: Re: Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse...   Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse... EmptyJeu 20 Mai 2010, 20:01

francoquebecois a écrit:
...la Caisse de Dépôt et de Placement du Québec:

En effet, la direction de la CDPQ va demander aux déposants eux-mêmes de décider des choix d'investissement et de protection des taux de change!!

QUESTIONS: combien il reste d'employés à la CDPQ ??
À QUOI VONT-ILS SERVIR MAINTENANT, si ce sont les déposants eux-mêmes qui doivent gérer leurs investissements à la CDPQ ????

Commentaires: tout ce que Charest et la marionnette Sabia peuvent faire pour mettre la CDPQ "À TERRE", ils le font!!!

http://pouliot.argent.canoe.ca/non-classe/le-remue-menage-de-la-caisse/
...
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=========================

DERNIÈRE ACTION DE CONNIVENCE autorisée par JEAN CHAREST auprès de la Caisse de Dépôt et de Placement du Québec, et gérée de l'extérieur par le seigneur du royaume de Sagard ==tout le monde sait que Michael Sabia, le président actuel de la CDPQ, n'est qu'un pion, une marionnette, à qui on demande de poser tels ou tels gestes pour "mettre à terre" graduellement la CDPQ === et que le vrai gestionnaire de la CDPQ est le seigneur du royaume de Sagard;

ET cette action est appuyée la "L'Institut Économique de Montréal"
===qui est la présidente de l'institut économique de Montréal ? voyez vous-mêmes: une très proche parente du seigneur du royaume de Sagard...
http://www.iedm.org/main/authors_fr.php?authors_type=1


+++ET QUELLE EST CETTE ACTION DE CONNIVENCE ?? après avoir poussé la CDPQ dans le gouffre financier (autorisée par Jean Charest, avec l'aide des suppôts du seigneur de Sagard) avec une perte record de $40 MILLIARDS, l'an passé (le quart du porte-feuilles), l'institut économique de Montréal vient demander aux députés de l'Assemblée Nationale, réunis en Commission Parlementaire pour l'analyse des articles de lois qui viendront modifier le "Régime de Rentes du Québec", DE METTRE FIN À CE RÉGIME DES RENTES DU QUÉBEC, tel que l'on le connaît actuellement, parce que, dans 30 ans, IL N'Y AURA PLUS DE FONDS pour payer les pensions de retraite pour ceux qui payent actuellement leurs cotisations à la RRQ sur leurs payes.

DONC, EN RÉSUMÉ, on fait faire un trou énorme de la CDPQ dans les fonds détenus, comme la RRQ, et, APRÈS, on envoie un émissaire venir dire: mettez fin à ce régime, de toutes façons, il ne restera plus d'argent dans 30 ans!!

ET QUI SERAIT AVANTAGÉ SI CELA ARRIVE ?? : les employeurs uniquement, car ils n'auraient plus à payer la part de l'employeur de la "Régie des Rentes du Québec". ET les employés auraient à payer 2 à 3 fois leurs primes actuelles, s'ils veulent continuer à s'offrir au moins un même programme minimum de retraite.

DE PLUS, tel que mentionné dans les premiers texte de ce fil, les fonds investis de la RRQ ne seront plus gérés afin d'obtenir le meilleur bénéfice tout en minimisant les risques. AU CONTRAIRE!!!

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/05/20100520-060909.html
.

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Faut-il privatiser la "Régie des Rentes du Québec ?"
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réponse de Francoq: NON
===============
http://duhamel.argent.canoe.ca/non-classe/faut-il-privatiser-la-regie-des-rentes/

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MessageSujet: Re: Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse...   Ce ne sera plus la --FAUTE-- de la Caisse... EmptyLun 24 Mai 2010, 09:36

Et, pendant ce temps-là, il ne semble pas y avoir de tentatives de "mettre à terre" le bureau de l'"Office d'investissement du RPC", soit l'organisme qui gère les fonds du "Régime de Pension du Canada", soit le pendant du "Régime de Rentes du Québec", dans le ROC.

Et même qu'on parle toujours avec des prévisions sur plusieurs exercices (années) et même sur une durée de 75 ans... (voir plus bas).

Pour les non-initiés: la Régie des Rentes du Québec (RRQ) a été mise sur pied en 1966, tout comme le RPC. Au Québec, tout le monde (ou presque, sauf les moins de 18 ans) paye des cotisations de la RRQ sur sa paye. Ces fonds sont ensuite remis à la CDPQ (Caisse de Dépôt et de Placement du Québec). La CDPQ gère, pour le gouvernement du Québec, toutes sortes de fonds qui proviennent du public: les fonds de la SAAQ (Société d'Assurance-Automobile du Québec), les fonds de la CSST, etc.. un peu moins d'une centaine de fonds...

Pour toutes les autres provinces, les cotisations du RPC (Régime de Pension du Canada) sont gérés par l'office fédéral du "Fond d'investissement du RPC". ET, généralement, les 2 administrations (du RPC et de la RRQ) se mettent d'accord ensemble pour statuer sur les différentes sortes de prestations possibles et pour quels montants: prestation consécutive au décès, prestation au conjoint survivant, prestation d'orphelin, prestation d'enfant de parent invalide, prestation de retraite de la RRQ à 70% du montant à 60 ans ou bien à 100% à 65 ans.

Mais là, si l'Institut Économique de Montréal, avec l'aide de la CDPQ, dont le président est la marionnette de vous savez qui, s'ils réussissent à démolir le fond de la RRQ, à engloutir la RRQ dans des pertes encore énormes, cela va être la fin de ce régime public de retraite au Québec. Et là, le fédéral va pouvoir mettre son emprise sur le Québec pour obliger les Québécois à cotiser au RPC. ET les fonds du Québec vont servir encore plus à des investissements dans le pétrole de l'Alberta ou dans l'industrie automobile de l'Ontario, alors que, maintenant, la CDPQ, avec l'aide de ses différents fonds, pouvaient faire des investissements majeurs au Québec pour aider au maintien et même à la mise sur pied de grosses entreprises au Québec.

La CDPQ, la RRQ, etc.. sont toutes des organismes para-publiques mises sur pied au début des années 1960 au Québec, surtout après la 2ème élection de Jean Lesage en juin 1962. Et qui est derrière la mise sur pied de ces organismes para-gouvernementales: Jacques Parizeau, qui était le super grand fonctionnaire de l'État du Québec, à cette époque. Et ces administrations ont su passer à travers toutes les épreuves, jusqu'ici, et ont grandement montré leur utilité pour le Québec! La "Révolution tranquille", au Québec, dans les années 1960, c'était ça aussi!!!


http://biz.branchez-vous.com/communiques/detail/communiques_143017.html

EXTRAIT:

LE 20 MAI 2010 - 02:01:41 PM

La caisse du RPC totalise 127,6 milliards de dollars à la fin de l'exercice 2010

TORONTO, ONTARIO--(Marketwire - 20 mai 2010) - La caisse du RPC a clôturé son exercice le 31 mars 2010 avec un actif net de 127,6 milliards de dollars, en hausse de 22,1 milliards de dollars par rapport à l'exercice précédent. Cette hausse de l'actif signifie que la caisse a essentiellement retrouvé son niveau antérieur le plus élevé qu'elle avait enregistré au 30 juin 2008, avant le début de la crise financière.

L'augmentation de la caisse est attribuable à un accroissement de 16,2 milliards de dollars du revenu de placement ainsi qu'à une hausse de 6,1 milliards de dollars des cotisations au RPC, déduction faite des charges d'exploitation.

Le portefeuille a généré un rendement de 14,9 pour cent pour l'exercice 2010 comparativement à une baisse de 18,6 pour cent enregistrée à l'exercice précédent.

"La caisse du RPC a enregistré un de ses meilleurs rendements annuels, en grande partie grâce à la vigueur des marchés boursiers", a déclaré M. David Denison, président et chef de la direction de l'Office d'investissement du RPC.

Pour l'exercice 2010, un des objectifs de l'Office était de profiter des occasions de placement qui se présenteraient au lendemain de la crise financière. Tout au long de l'exercice, nous avons été en mesure de tirer profit de nos avantages comparatifs à titre d'investisseur afin d'acquérir des actions et titres de créance de sociétés fermées, des biens immobiliers et des infrastructures. Notre horizon à long terme, notre approche distinctive en matière de placement, nos fonds disponibles et notre expertise spécialisée en placement nous ont permis, au cours du dernier exercice, d'effectuer des placements importants hors de la portée de bon nombre d'investisseurs.

"Nous avons l'avantage de pouvoir viser au-delà des cycles du marché à court terme, et de mieux composer avec la volatilité que la majorité des participants du marché", a affirmé M. Denison. "Contrairement à beaucoup d'autres investisseurs, nous n'avons pas été soumis à des contraintes de capitaux et de liquidités l'an dernier. En fait, nos équipes de placement chevronnées ont réalisé plusieurs opérations importantes au cours de l'exercice."

Notamment, nous avons fait l'acquisition de Macquarie Communications Infrastructure Group et conclu des partenariats avec d'autres investisseurs en vue d'acquérir IMS Health et Skype, des placements qui devraient générer de solides rendements à long terme.

Rendements sur cinq et dix exercices
Pour la période de cinq exercices terminée le 31 mars 2010, la caisse du RPC a généré un taux de rendement annualisé de 4,0 pour cent, soit un revenu de placement cumulatif de 18,5 milliards de dollars. Pour la période de dix exercices, la caisse a affiché un taux de rendement annualisé de 5,5 pour cent, soit un revenu de placement cumulatif de 39,3 milliards de dollars.

L'actuaire en chef du Canada a estimé qu'un taux de rendement réel annualisé de 4,2 pour cent, ou un taux nominal équivalent d'environ 6,2 pour cent sur les dix derniers exercices, était nécessaire pour assurer la viabilité du RPC compte tenu de son taux de cotisation actuel.

Ce taux de rendement réel de 4,2 pour cent est une moyenne annuelle calculée sur une période de 75 ans aux fins des prévisions à l'égard du RPC, et bien que les rendements risquent de varier d'un exercice à l'autre, l'Office a confiance en sa capacité à générer et même à excéder ce taux de rendement sur de longues périodes.

"Nos résultats sur cinq et dix exercices doivent être évalués par rapport au rendement des principaux marchés des capitaux mondiaux sur la même période. Nos activités de placement des dix derniers exercices s'inscrivent dans la pire décennie de rendement que les marchés boursiers ont connue dans les presque 200 ans d'histoire de la Bourse", a souligné M. Denison.

"En analysant les 25 derniers exercices, on constate que le portefeuille de référence du RPC, qui sert d'indice de référence du marché pour la caisse du RPC, a affiché un rendement largement supérieur au taux de rendement réel de 4,2 pour cent sur toutes les périodes de dix exercices consécutifs, si on exclut les années 2008 et 2009. Nous sommes convaincus qu'avec la composition actuelle du portefeuille de la caisse et des taux de rendement raisonnables des marchés financiers, nous serons en mesure de générer les rendements nécessaires pour assurer la viabilité du RPC à long terme, compte tenu du taux de cotisation actuel."

Rendement par rapport aux indices de référence
Comme il a été mentionné précédemment, l'Office évalue le rendement par rapport à un indice de référence du marché, le portefeuille de référence du RPC. L'Office cherche à générer des rendements à valeur ajoutée supérieurs aux rendements de l'indice de référence à long terme. Aux fins de la reddition de comptes, l'Office analyse le rendement sur des périodes de quatre exercices consécutifs.

Bien que les rendements absolus aient été élevés pour l'exercice 2010, le rendement à valeur ajouté pour la période de quatre exercices terminée le 31 mars 2010 a été inférieur au rendement de l'indice de référence. Pour la période de quatre exercices terminée le 31 mars 2010, le rendement annuel du portefeuille global a été inférieur de 0,34 pour cent au rendement affiché par le portefeuille de référence du RPC. Pour l'exercice 2010, le rendement annuel du portefeuille global a été de 5,87 pour cent inférieur à celui du portefeuille de référence du RPC, ce qui contrebalance le rendement à valeur ajoutée généré au cours des trois exercices antérieurs.

"En raison de la nature de tels placements, la valeur des placements privés de la caisse dans les biens immobiliers, les infrastructures, ainsi que les titres de créance et les actions de sociétés fermées, affiche habituellement un retard par rapport à la valeur des titres compris dans les indices des marchés publics qui composent le portefeuille de référence du RPC", a précisé M. Denison. "Les évaluations des placements privés mettent plus de temps à rattraper les niveaux des marchés publics, et ce, particulièrement durant une période où les marchés boursiers mondiaux ont connu une hausse aussi rapide qu'au cours des 12 derniers mois."

"Les rendements des placements privés devraient être considérés à long terme, et ne peuvent être appréciés à l'intérieur d'une période aussi courte que 12 mois. Par exemple, nous sommes persuadés que nos placements immobiliers et en infrastructures présentent une valeur intrinsèque considérable qui sera réalisée avec le temps", a ajouté M. Denison.

Le rendement du portefeuille par catégorie d'actifs est présenté dans le tableau ci-après. Une répartition plus détaillée du rendement par service de placement figure dans le rapport annuel de l'Office pour l'exercice 2010, accessible à l'adresse
www.oirpc.ca

FIN DE L'EXTRAIT
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