Des nouvelles des Acadiens du Québec

À la recherche de leurs traditions, de leurs références culturelles plus marquées,,, dans la région de Lanaudière: à St-Jacques-de-Montcalm surtout, mais dans tous les petits villages dans les alentours: Ste-Marie-Salomée, St-Alexis, Sainte-Julienne, St-Liguori, etc..


TITRE: "Le patrimoine vivant des Acadiens --de Lanaudière-- mis en valeur":

http://www.laction.com/article-386737-Le-patrimoine-vivant-des-Acadiens-mis-en-valeur.html

COPIE:

Philippe Jetté, résidant de Saint-Jacques-de-Montcalm, part à la recherche de surnoms dans la Nouvelle-Acadie (Saint-Jacques, Saint-Alexis, Sainte-Marie-Salomé et Saint-Liguori).

Ce projet vise le collectage des surnoms, la recherche de leur origine et la collecte d’anecdotes en lien avec ceux-ci. Cette initiative est rendue possible grâce à la contribution financière de la Caisse Desjardins de la Nouvelle-Acadie, de Kildare et de Montcalm ainsi que la MRC Montcalm et le Centre du patrimoine Vivant de Lanaudière (CPVL).

Le projet touche les surnoms de personnes (exemples : Fanfan, Les Marlais), les surnoms par filiation (exemples : Charles à Gédéon à Féminin), les surnoms de lieux (exemples : la côte du village, le bois «Le Braillard», Les fesses à Ste-Marie) et les surnoms de quêteux (exemples : le quêteux aux deux chapeaux).

Cette recherche est la première étape d’une recherche plus large sur les pratiques culturelles traditionnelles (les coutumes) léguées par nos ancêtres acadiens dans la région de Lanaudière.

Le but de ce travail est de mettre en valeur une caractéristique propre à nos origines, de conserver la mémoire des porteurs de tradition et de démontrer qu’il y a bel et bien une fierté et un héritage culturel acadien présent et vivant sur notre territoire.

Le fruit de cette recherche sera diffusé par le Centre du patrimoine Vivant de Lanaudière (CPVL) dans le cadre d’une exposition sur la présence acadienne dans notre région.

Les résultats de l’enquête seront conservés au Centre régional d’archives de Lanaudière (CRAL) et des articles de journaux et des conférences seront présentés à la fin de la recherche.

Si vous connaissez des surnoms ou des personnes-ressources, n’hésitez surtout pas à contacter
Philippe Jetté au 450-839-2313 ou
philippejette@yahoo.ca

À noter par ailleurs qu’au cours de la dernière année, Philippe Jetté a effectué un travail d’enquête et collecte sur la chanson et la musique traditionnelle de la Nouvelle-Acadie. Les résultats de cette recherche (entrevues, répertoire chanté et instrumental, contes) pourront être consultés cet automne au Centre régional d’archives de Lanaudière (CRAL) à l’Assomption ainsi qu’aux quatre bibliothèques municipales de la Nouvelle-Acadie.

Le but de ce travail est de redonner à la collectivité le riche héritage culturel que nos ancêtres nous ont légué. Il souhaite que la collecte de ce répertoire musical puisse réveiller et consolider la curiosité et encourager la participation des gens à la transmission de celui-ci.

FIN DU TEXTE


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À BÉCANCOUR, un drapeau acadien flottera désormais devant l'hôtel de ville, en compagnie des drapeaux de la ville, du Québec et du Canada:

http://www.lecourriersud.com/article-410300-Cest-notre-histoire-a-nous-Maurice-Richard.html

TITRE DU TEXTE: UN DRAPEAU ACADIEN HISSÉ À BÉCANCOUR:

La Ville de Bécancour ainsi que la Corporation du Vieux Moulin de Saint-Grégoire ont participé à la levée du drapeau acadien face à la mairie de Bécancour. « Pour nous, ça signifie l'aboutissement du travail acharné de tous ceux impliqués au comité et qui veillent à maintenir éveillé le fait acadien dans la mémoire collective de notre région», a souligné le président de la corporation, Jean-Pierre Carignan.

Un quatrième mât s'ajoute donc aux côtés des drapeaux canadien, québécois et bécancourois. Ainsi, le porte-étendard acadien, qui est accompagné d'une plaque explicative, honorera les racines acadiennes de nombreux citoyens de tous les secteurs de la ville et demeurera en permanence sur les terrains de la mairie.

Depuis quelques années, plusieurs manifestations à saveur acadienne ont fait leur apparition sur le territoire centricois, dont, entre autres, l'érection du Vieux Moulin de St-Grégoire, l'attribution de noms acadiens aux rues de St-Grégoire, la mise en place d'un circuit pédestre faisant découvrir les maisons acadiennes du secteur, le Festicadie, ainsi qu'un service de généalogie chapeauté par la Corporation du Vieux Moulin de Saint-Grégoire.

Pour le maire de Bécancour, Maurice Richard, il s'agit d'une étape supplémentaire à la commémoration et à la reconnaissance de l'apport de la communauté acadienne.

«On se rappellera qu'en 1755, lors du Grand Dérangement, près de 5000 Acadiens ont été déportés au Québec. 1500 personnes, dont 303 familles, s'installèrent sur le territoire alors appelé Saint-Grégoire-le-Grand. Lors de l'érection canonique de la paroisse en 1802, celle-ci regroupait la plus importante communauté acadienne établie au Québec», a-t-il expliqué.

M. Richard a aussi souligné l'attrait non seulement historique de la valorisation du fait historique dans la région, mais aussi l'attrait touristique et commercial d'un tel héritage. « Je pense ici à l'éventualité d'un événement à grand déploiement, un peu à l'image de la Fabuleuse, présentée au Saguenay-Lac-Saint-Jean », a-t-il mentionné au passage.

FIN DU TEXTE


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Citation :

On se rappellera qu'en 1755, lors du Grand Dérangement, près de 5000 Acadiens ont été déportés au Québec

Ils ont plutôt fuit l'Acadie pour ne pas être déporté. Je ne crois pas que les Anglais ait déportés des Acadiens vers le Québec.

Belle initiative.