Équand j’m'ai mis, sur le chemin de la vie, tout seul
Une entreprise bien grave, chargée avec décisions
Ôté d’en bas de l’umbrel parental d’amour, mis à moi-même
En même temps, lié avec la corde d’famille, mais moins amarrée
Une fièvre m’a frappée, oui un élancement dans mon coeur
Ennuyant des charades en Cajun, ma lanque héritée sans requête
J’ai commencer à voir si j’pourrais toujours tordre ma langue
Pour faire sortir de bouche les beaux mots entendu que hier
Mais, asteur, comme si sourde et muette, pas parlé ni attendu
Un élancement s’a enlevé en coeur, une envie très brûlante
Oui un feu allumé, pas possible d’être éteint (éteindu) en moi
Il faut que j’cherche quelque chose à m’aider, comme une bonne brise
Comme cette-là du soir qui rafraîchisse l’air, d’elle on dans grâce
Ah bien, j’ai trouvé l’utile qui peut amoindrir ma fièvre
Commence à jongler, j’m'ai dis, à les causeries du passées
Enfermées en esprit, mais pas perdu, les paroles usées les autrefois
Venez, venez, j’les appelle, un tit peu à la fois, d’esprit au langue
Décourages-toi pas, essayes encore et encore à les émettre
Mets pas la tête dans l’sable comme la vieille authruce, soi-disant
Tes courseurs vont pas t’attraper, eux qui sont après te tourmenter
L’esprit va éclabousser, envoyant au coeur les mots, avant d’en bouche
Là, l’éclat au braises attise un feu, les mots tomberont sur langue
Peut-être au premier, tissées Anglais entre Cajun, talheure éclairsi
Arrêtes donc pas, quand même, le feu, la fièvre, l’élancement
Y vont soutenir au moment et entretenir le progrès jusqu’au but
Hélas, avec un tit brin plus d’actions quotidiennes, une réussite
Aperçu, sera mon objectif, et lissés les efforts, aussi baissée sera ma fièvre
Mais, le mercure toujours prêts pour se lever, jamais aller au bas
L’élancement du coeur assez en vie, sa flamme va jamais s’éteindre
Plusse en plusse, jusqu’a bien courrament les mots vont sortir
Un jour à venir, les voisins diront, mais cher, son but est réalisé
Tous efforts pas gaspillés, joyeux et satisfait, avec temperature réglée
L’élancement un éperon pour encourager çulà, lâches pas ça
Quoi qu’est retrouvé, en valoir la peine, sans aucune doute, ah oui
Si, Cajun, on l’suppose, parles donc, en usant le devoir herité
Mais, tristement, pour un élan, cet heritage été suspendu, pu asteur
Gardez donc voir cette personne en renaissance, ô si complète
Merci la fièvre avec un élancement, aujourd’hui joie qui soutient
Source: Jim Leger’s blog - originellement publié avec la version anglaise des lignes entrelacées