Jan Wong s'est discréditée

Sénateur a écrit:

Lamarche a écrit:

AF a écrit:

Quebec bashing

From Wikipedia, the free encyclopedia

Citation :

This is a controversial topic, which may be under dispute.

http://en.wikipedia.org/wiki/Quebec_bashing

AF

Citation :

1 Themes
2 Examples
2.1 Mordecai Richler
2.2 Esther Delisle
2.3 Richard Lafferty
2.4 Diane Francis
2.5 Howard Galganov
2.6 Howard Stern
2.7 Daniel Sanger
2.8 Lawrence Martin
2.9 David Levine affair
2.10 Late Night controversy
2.11 Barbara Kay
2.12 Jan Wong
2.13.FLOC*
2.14BEN*
*Forumistes célèbres

Ça me surprend de ne pas retrouver dans cette liste The Conan O'Brien Show et son chien Triumph lors de sa visite au Carnaval de Québec.

...et Don Cherry.

Citation :

Le lundi 25 septembre 2006

Jan Wong se dit victime de racisme

Dene Moore

Presse Canadienne

Montréal

La journaliste Jan Wong se dit victime de racisme et de sexisme.

http://www.cyberpresse.ca/article/20060925/CPACTUALITES/60925202/5032/CPACTUALITES

Dring! Dring! On se reveille! C'est ton intelligence qu'on remet en question!!! Ta francophobie s'tie!

Tu ne voulais pas partir un débat!!! Tu voulais juste nous ch%?# dessus!!!

Yé où ti-guy qu'on en jase en profondeur!

AF

Citation :

Jules Richer, directeur de l'information du Devoir, a déclaré n'avoir pas reçu de plainte de la part de Mme Wong. Il a justifié la pertinence de la caricature en disant qu'elle n'était nullement raciste, mais faisait plutôt allusion au restaurant que le père de Mme Wong possède à Montréal. Quant à la description physique de Mme Wong, il a affirmé qu'il y avait exagération «parce qu'il s'agit d'une caricature».

http://www.cyberpresse.ca/article/20060925/CPACTUALITES/60925202/5032/CPACTUALITES

Un p'tit rappel...



AF

Ce texte écrit par Michel C. Auger représente en gros mon point de vue dans cette "affaire".

Source

Citation :

Le vendredi 22 septembre 2006
Mesurer le chemin parcouru


C’est un tout petit bout de phrase, dans le désormais célèbre article de Jan Wong dans le Globe and Mail, qui démontre toute l’ampleur des préjugés qu’il colporte. «Cette ville qui fut jadis cosmopolite», («This once cosmopolitan city»), écrit Mme Wong.
Ce que Mme Wong n’a pas compris – ce qu’elle semble incapable de comprendre, en fait – c’est que cette ville, Montréal, est tout aussi cosmopolite que lorsqu’elle l’a quittée pendant les années 1970. Mais elle est cosmopolite en français.

Pour Mme Wong, et bien des gens comme elle, cosmopolite ne peut s’exprimer qu’en anglais. La langue internationale de la communication, du commerce et du rock-and-roll. Cette langue qui permet de se faire comprendre partout, de Shanghaï à Stockholm.
Pour ces gens, être cosmopolite, en français, ça n’a pas de bon sens. Ça ne se peut pas qu’il y ait, quelque part – et surtout pas en Amérique du nord – une société qui soit multi-culturelle, métissée et moderne et qui ait adopté une autre langue que l’anglais comme langue commune.

Et jusqu’à un certain point, Mme Wong a raison. La transformation qui s’est produite au Québec au cours du dernier quart de siècle est presque incompréhensible. En tout cas, elle est unique au monde et contraire aux tendances lourdes de la mondialisation et de la globalisation. La loi 101 voulait transformer le Québec de façon radicale et, contre toute attente, ça marche.

Et cela nous permet, sans fausse complaisance, de mesurer les progrès accomplis.
À l’époque où Mme Wong a quitté le Québec, la langue commune était celle de la minorité. Ce qui explique facilement qu’elle n’ait jamais senti le besoin d’apprendre le français. À cette époque, les immigrants allaient tout naturellement vers l’école anglaise. Dans une ville à majorité française comme Montréal, même l’affichage commercial était essentiellement en anglais.

Pour plusieurs de ceux qui sont maintenant dans la cinquantaine et plus et qui ont quitté le Québec peu avant ou peu après l’adoption de la loi 101 – pas tous, bien évidemment, mais plusieurs – c’était une situation normale. Et comme c’était normal, il était malsain de vouloir la changer. Ceux qui étaient là à l’époque savent tous les malheurs qu’on a prédit au Québec s’il s’avisait d’adopter la loi 101.

On se souvient aussi du ton qu’on employait à l’époque. Les comparaisons avec les Nazis n’étaient pas rares. On demandait au Premier ministre du Canada d’utiliser le pouvoir de désaveu que lui confère la constitution pour abolir la loi 101, purement et simplement.
Qu’aujourd’hui, un Premier ministre du Canada – venant d’Alberta, de surcroît – écrive au Globe and Mail pour défendre le Québec français contre les préjugés, permet aussi de mesurer les progrès qui ont été accomplis.

M. Harper y est arrivé sur le tard, mais il a fini par comprendre que les mesures législatives pour faire du français la langue commune au Québec ne constituaient pas de la discrimination contre les autres langues.

Il comprend aussi, sans nul doute, que la loi 101 est devenue le meilleur allié des fédéralistes au Québec. Elle aura donné à beaucoup de Québécois francophones un sentiment de sécurité culturelle qui a rendu la souveraineté politique beaucoup moins urgente. On pourrait dire que c’est le grand paradoxe des années de pouvoir du Parti québécois.

Mais c’est quelque chose qu’on a plus de mal à comprendre quand on est parti il y a 30 ans et qu’on ne revient à Montréal que pour visiter grand-papa et manger un smoked meat chez Schwartz.

Mais là où l’intervention de Mme Wong permet le plus de mesurer le chemin parcouru, c’est lorsqu’on pense que, si ses parents immigraient au Québec aujourd’hui, elle irait à l’école française et deviendrait un de ces «enfants de la Loi 101» qui fréquentent nos écoles.

Non seulement elle apprendrait le français, mais elle constaterait aussi que, chez ces jeunes, il n’y a ni plus, ni moins de gens marginalisés qu’ailleurs. Elle verrait aussi que n’être pas un «pure laine» – une expression qui est tellement rendue folklorique qu’elle est le titre d’un téléroman – n’est pas de nature à créer des meurtriers en série.

Elle constaterait surtout que, contrairement à ce qu’elle affirmait avec une belle assurance, on ne parle guère de pureté raciale dans les cours d’école du Québec, pas plus que dans le reste de la société.

Mme Wong est une vieille habituée des grandes théories sociologiques pour masquer de bons vieux préjugés. Mais il est intéressant de constater qu’au Canada anglais, ces mêmes préjugés trouvent de moins en moins d’audience.

Que ce soit dans les lettres au Globe and Mail, sur le site web du journal ou sur internet en général, il y a eu infiniment plus de gens pour se dissocier des propos de Mme Wong que pour y souscrire.

Ça aussi, ça permet de mesurer le chemin parcouru.

Pour une fois que je suis en accord avec Michel C. Auger!

Citation :

En tout cas, elle est unique au monde et contraire aux tendances lourdes de la mondialisation et de la globalisation. La loi 101 voulait transformer le Québec de façon radicale et, contre toute attente,ça marche.

Je n'étais pas au courant.... et je viens de tomber là-dessus:

«Pétition francophone internationale contre la propagande canadienne anti-québécoise»

http://www.voxlatina.com/petition3.php3

Bonne journée!

AF

C'est encore en ligne. J'ai signé ça il y a 4 ans.

Bah la propagande des fois,on disait que Bon cop bad cop était de la propagande.Le monde ne sont pas tous des imbéciles qui gobent tout sans discernement.L'info est variée de plus en plus maintenant.On n'en est pas à un media d'état unique des anciens régimes communistes.

Mais ça c'est le thème de la propagande en générale,le mot ''propagande'' appliqué à toutes les sauces.De toute façon,ça se fait des deux côtés,des fédéralistes parlent de propagande souverainiste chaque fois qu'on ouvre la bouche.Ici c'était une pétition contre les commandites.À l'époque ou la pétition avait été lancée,même le calme Bernard avait sauté sa coche avec les chiffons rouges.Comme souvent,la propagande abusive c'est retournée contre les auteurs qui en ont payé le prix politique.

Citation :

Mme Wong est une vieille habituée des grandes théories sociologiques pour masquer de bons vieux préjugés. Mais il est intéressant de constater qu’au Canada anglais,ces mêmes préjugés trouvent de moins en moins d’audience.

Que ce soit dans les lettres au Globe and Mail, sur le site web du journal ou sur internet en général, il y a eu infiniment plus de gens pour se dissocier des propos de Mme Wong que pour y souscrire.

Ça aussi, ça permet de mesurer le chemin parcouru.(Auger)