Eric Fondateur du FAF
Nombre de messages : 512 Localisation : Heureusement, ici c'est différent! Date d'inscription : 26/11/2004
| Sujet: Écoles francophones ontariennes voulant se faire connaître Sam 05 Nov 2005, 14:06 | |
| - Citation :
- Ontario
Radio-Canada.ca Mise à jour le samedi 5 novembre 2005 à 12 h 27
Écoles francophones Les écoles en milieu minoritaire veulent se faire connaître de leur clientèle
Les écoles francophones en milieu minoritaire tenteront de se faire davantage connaître de leur clientèle. Lors d'une rencontre récente à Ottawa, les membres de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) ont discuté de la promotion de l'école française et de son importance pour attirer de nouveaux étudiants.
La présidente de la FNCSF, Madeleine Chevalier, explique l'importance de faire la promotion des écoles francophones: « Ils ont vraiment un avantage à se faire voir et à se faire entendre, parce que, dans certains endroits, je suis certaines qu'on ne sait pas qu'il y a des écoles francophones qui existent. »
Le nombre d'étudiants est en baisse dans bien des écoles francophones de l'Ontario. Toutefois, ce n'est pas le cas au Conseil des écoles publiques de l'est de la province, comme l'explique le directeur de l'éducation, Denis Chartrand: « Depuis 1998, nos taux moyens annuels d'augmentation sont de 3 à 5 [%], alors qu'ils sont à zéro dans le reste de la province. »
Le conseil mise sur la promotion de ses écoles, ce qui expliquerait, en partie, son succès. « Se faire connaître, c'est fondamental. Il faut que les gens savent qu'un service existe avant de choisir », explique M. Chartrand.
Plan d'action national
Cet été, des représentants de conseils scolaires, des services de garde et des défenseurs des droits des francophones vivant en milieu minoritaire ont adopté un plan d'action de 10 ans qui vise à rendre l'éducation offerte dans la langue de la minorité équivalente à celle offerte dans la langue de la majorité.
Le plan prévoit, entre autres, des mesures pour recruter les élèves, mais vise surtout les « ayants-droits », ces jeunes qui ont droit à l'éducation en français, mais qui ont l'intention ou fréquentent déjà des écoles de langue anglaise. | |
|