Comme je voulais l'exprimer, j'en déduisais que le journal "Le Devoir" faisait une nouvelle, "La Une", avec des inquiétudes d'un député..., pour mieux ÉCRASER LE PARTI QUÉBÉCOIS. Ça, c'était samedi, puisque, sûrement, une bonne nouvelle au sujet du PQ allait bientôt sortir. Mais cette bonne nouvelle allait être un peu occultée par la sortie de Bernard Drainville qui craint de disparaître!!
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DE FAIT, depuis hier, dimanche, dans le "Journal de Montréal", on apprend, dans un sondage, que les 3 principaux partis politiques "la CAQ", le "PLQ" et le "PQ" sont presque nez à nez dans les intentions de vote. La CAQ de Legault a baissé de 4-5 points, le PQ et le PLQ ont remonté dans les intentions de vote.
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Et selon la distribution des votes qui leur sont en faveur, la CAQ (le fief de l'ADQ, l'ADQ qui s'est joint à la CAQ) est très populaire dans la ville de Québec, le PLQ de Jean Charest est très populaire dans l'ouest de la ville de Montréal (mais à seulement 17% des intentions de vote chez les francophones de tout le Québec), et le PQ est à 2 points de la CAQ dans l'ensemble du Québec, mais le PQ remonte dans les intentions de vote. DONC, si les élections avaient lieu aujourd'hui, ce serait un gouvernement minoritaire, soit de la CAQ ou du PQ, probablement pas du PLQ.
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DONC, LE PQ n'est pas appelé à disparaître, du moins, pas selon les intentions de vote des Québécois en date d'aujourd'hui, et même, les intentions de vote en faveur du PQ augmentent.
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TOUT ÇA POUR DIRE, COMME JEAN LAPIERRE le disait, le commentateur politique au réseau de TV de TVA, il faut croire que Bernard Drainville est en DÉPRESSION POLITIQUE, et que le journal "LE DEVOIR" en profite pour continuer de piétiner et d'écraser le PQ dans ce même élan!!
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http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2012/01/20120115-050031.html
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EXTRAIT:
TITRE: Sondage : La CAQ recule, le PQ et le PLQ remontent
par Geneviève Lajoie, le 15 janvier 2012, AGENCE QMI
QUÉBEC - Pour la première fois depuis son entrée dans l'arène politique, la Coalition Avenir Québec (CAQ) recule dans les intentions de vote, alors que le Parti québécois et le Parti libéral gagnent du terrain.
Officiellement sur la glace depuis novembre, M. Legault est désormais l'homme à battre. Pour la première fois depuis un an, il perd des plumes auprès des électeurs Québécois, passant de 37 à 33 % dans les intentions de vote, révèle un sondage de l'Agence QMI réalisé par la firme Léger Marketing.
« Non seulement la CAQ perd des points, mais en même temps, son vote est extrêmement fragile, constate le président de Léger Marketing, Jean-Marc Léger. La majorité des gens qui votent pour la Coalition disent qu'ils peuvent encore changer d'idée. »
Jean Charest et Pauline Marois reprennent tous deux du galon, ce qui fait dire aux sondeurs qu'une véritable lutte à trois se dessine en vue des prochaines élections.
Québec-Montréal
La rivalité Québec-Montréal semble prendre forme dans les intentions de vote des Québécois. François Legault s'empare de la région de Québec, fief adéquiste. À Montréal, les libéraux dominent, notamment à cause de ses appuis chez les électeurs anglophones et les immigrants.
À l'extérieur de ces deux villes, c'est une lutte à deux entre la CAQ et le PQ. Les troupes de François Legault n'ont que 2 % d'avance sur celles de Pauline Marois.
Charest n'a pas dit son dernier mot
En hausse de cinq points de pourcentage dans les intentions de vote, le premier ministre démontre qu'il est toujours un adversaire coriace et qu'il ne sera pas facile à déloger. « La nouvelle, c'est qu'il ne faut pas prendre pour acquis que Jean Charest va perdre les élections, il est encore là », illustre M. Léger.
Enfin une lueur d'espoir pour Pauline Marois. Après avoir atteint les bas-fonds il y a trois mois, le Parti québécois récolte le quart des intentions de vote. Il grimpe à 31 % dans l'électorat francophone, là où se font et se défont les gouvernements. À l'inverse, le PLQ de Jean Charest n'obtient que 17 % d'appuis chez les Québécois francophones. Le coup de sonde révèle que la majorité des électeurs désertent le PQ parce qu'ils considèrent que la souveraineté du Québec n'est plus un enjeu important. La performance de la chef n'est qu'au troisième rang des raisons invoquées par ceux qui boudent le PQ.
FIN DE L'EXTRAIT
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PS: les journalistes du journal "Le Devoir" savaient parfaitement les résultats du sondage à venir de lundi.
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En soirée, aux Nouvelles, l'instigateur du sondage, M. Léger, disait, cependant, que 50% des Québécois pouvaient encore changer d'idée. Donc, tout peut encore arriver. Mais, pour le moment, le PQ remonte, il ne descend pas!! Tout dépend de Pauline (le PQ).... elle a encore des chances...
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