"J'ai mal à ma ville": "Montréal, la risée du monde"!!

Deux références de texte pour un seul fil!! Cela veut tout dire

"J'ai mal à ma ville":
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/328773/j-ai-mal-a-ma-ville
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Montréal, la risée du monde (surtout du ROC):
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/08/20110805-061507.html

http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/national/archives/2011/08/20110805-061907.html

Il fallait s'y attendre: Montréal est devenue en quelque sorte la risée dans les médias du Canana anglais suite à l'effondrement dans le tunnel Viger.

Le meilleur exemple provient du quotidien The National Post, dans son édition du 2 août, qui n'y va pas de main morte dans un texte d'analyse intitulé «That's the way the city crumbles » (Voici comment la ville s'écroule).

L'auteur Graeme Hamilton voit dans l'accident «un rappel de l'état dangereux des infrastructures majeures de la Ville».

«Le sombre héritage de la construction à Montréal rattrape la Ville en ce moment», explique-t-il.

L'analyse souligne que ce nouvel incident est survenu alors même que la région métropolitaine était aux prises avec des fermetures d'urgence sur le pont Mercier et des travaux visant à garder le pont Champlain debout.

Liste noire

L'article se lit comme une longue liste de plusieurs incidents malheureux par le passé: L'effondrement d'une poutre de béton de 55 tonnes du Stade olympique. L'effondrement mortel du viaduc du Souvenir, en 2000. La tragédie du viaduc de la Concorde, qui avait fait cinq morts, en 2006.

Sont aussi évoqués l'effondrement d'un stationnement sous-terrain, en 2008, qui avait fait une victime, et la mort tragique d'une femme sous un bloc de béton tombé de la façade d'un hôtel de la rue Peel, un an plus tard.

Personne au cabinet du maire de Montréal n'a rappelé le Journal, hier, pour commenter la réputation de la Ville sur la scène nationale.

Mais dans un communiqué, le maire Tremblay a soutenu que «cet incident entraîne de sérieuses conséquences économiques et sociales pour la région montréalaise».

FIN DU TEXTE

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Commentaires: ce n'est pas la première fois que j'écris la même chose, ici, sur la ville de Montréal. La décrépitude de Montréal a commencé surtout avec l'arrivée de Gérald Tremblay, comme maire de Montréal, et, ENCORE PLUS, avec les défusions organisées par JOHN JAMES CHAREST!!! (Jean Charest, le premier ministre --fédéraliste-- actuel de la province de Québec).

Pour Jean Charest, Montréal est une ville à écraser, à angliciser, au profit de Toronto, de l'Ontario et de l'Alberta. Et Gérald Tremblay, l'actuel maire de Montréal, ancien ministre du gouvernement libéral précédent, RÉAGIT seulement comme s'il était encore un ministre du gouvernement, mais un ministre régional de Jean Charest... Gérald Tremblay n'a aucune vision, n'a aucun projet, et ne demande rien aux gouvernements provincial et fédéral pour l'aider à maintenir en vie une ville comme Montréal. Gérald Tremblay a géré la défusion de sa ville, en 2003, SANS ROUSPÉTER, SANS DIRE UN MOT PLUS HAUT QUE L'AUTRE!!!
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Ailleurs, toutes les villes fusionnées en 2000 ou 2001, au Québec, sont devenues ENCORE DE MEILLEURES VILLES ET MIEUX ADMINISTRÉES... et même celles qui s'étaient défusionnées, lors du référendum en 2003, SE SONT REFUSIONNÉES PAR LA SUITE, comme ce qui s'est passé pour la grande ville de Québec!! Mais ici, à Montréal, c'est chose IMPOSSIBLE, surtout avec un maire qui est plus REPOUSSANT QU'ATTRACTIF, tout le contraire du maire Labaume, à la ville de Québec.
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Il y a beaucoup de monde à Montréal qui votent pour n'importe quoi sauf une séparatiste, c'est ça que ça donne. Il y a beaucoup de monde au Québec qui votent pour n'importe quoi sauf un parti séparatiste, c'est ça que ça donne.

On aime mieux être dans la merde maintenant, (une merde qu'on connait, la corruption pour les ti-namis) que d'être peut-être dans la merde avec des séparatistes, ( merde hypothétique), car pour plusieurs, on serait dans la merde dans un Québec pays.

C'est très logique.


Pendant ce temps, le PQ avait la prise du pouvoir dans sa poche. Mais oups, le PQ se vide par les deux bouts. Legault rallie ceux qui venlent prendre un break du pays. Ceux qui veulent y aller vite trouvent que Pauline marche pas assez vite et sacagent la démarche actuelle qui était centrale sur l'échiquier radical-modéré. Résultat, on ira nul part.

C'est vrai que Pauline n'est pas capable de défendre son point de vue autant que Jean Charest peut le faire, Pauline n'est pas aussi articulée, et Pauline n'est pas capable de faire voir le bon côté des choses... comme, quand elle dit qu'il y aura du "brasse-camarades" pendant les 5 premières années suite à l'indépendance d'un Québec pays!!!
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EN FAIT, en pratico-pratique, ces 5 premières années d'un pays naissant SERONT LES MEILLEURES ANNÉES POUR QUE LES QUÉBÉCOIS SE PRENNENT EN MAINS, pour que les Québécois deviennent propriétaires de leurs pays, de leurs entreprises... c'est vrai, sans doute, qu'il va y avoir des entreprises ou des sociétés anglophones ou internationales qui pourraient fermer, MAIS AVEC L'AIDE DE L'ÉTAT, tout comme Parizeau l'avait fait en 1983-1985 avec son plan d'Épargne-Actions, les Québécois ont investi différentes entreprises, et là, maintenant, tout le monde est bien content des grandes réussites des Jean Coutu, Bombardier, Cirque du Soleil, etc...
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DONC, CE SERA UNE OCCASION EN OR de reprendre les guides d'un Québec pays..!!!
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MAIS ÇA, PAULINE, n'est pas capable d'y penser, et encore moins de véhiculer ce projet!!
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Un argument pour la souveraineté du Québec (ou du Canada ) via un commentaire http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/08/06/001-note-americaine-reactions.shtml

Citation :

Un autre avertissement que l'économie de notre société qui repose essentiellement sur la consommation et la "croissance du PIB" ne tient pas la route à long terme. Le citoyen qui s'endette en achetant une Mercedes pour afficher un statut social, les États-Unis qui dépensent des milliards pour jouer les boy-scouts sur la scène internationale... Les deux empruntent pour des motifs douteux.
D'autre part, satisfaire un besoin n'est pas synonyme de satisfaire un désir; il y a quelque chose de fondamentalement artificiel à vouloir soutenir l'emploi (un besoin) en créant des besoins matériels illusoires qui font consommer les gens au dessus de leurs moyens (un désir).
J'aimerais que quelqu'un m'explique si cette fameuse "croissance du PIB" avec laquelle on mesure la santé économique d'un pays peut continuer indéfiniment; si oui, alors j'aimerais qu'on m'explique où on va trouver des ressources inépuisables sur la planète. Si non, alors il est temps d'élire des dirigeants capables de remettre en question notre modèle de développement économique.
En accord (21)
En désaccord (2)

Ni Legault, ni Pauline en sont capables. Amir Khadir p-e?

Intéressant Gaulois. Oui, ça pourrait être un argument. La seule affaire dans l'état atuelle des choses dans mon esprit, c'est qu'on dirait qu'on a trois millions d'arguments ou de façons, une par souverainiste.

Chaque souverainiste sur les blogues et sur la tribune publique et même dans le ou les partis politiques, pense avoir la meilleure idée depuis l'invention du bouton à 4 trous pour arriver au pays. On s'éclate un peu trop je trouve, et pas dans le sens d'amusant.

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Autrement dit: UNE QUESTION DE LEADERSHIP ???


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Bon point, c'est l'autre côté de la médaille qui est bien réel. Pour l'instant j'avais plus songé au manque de solidarité indépendantiste et l'incessante remise en question d'une démarche mise en place.

D'un autre côté, si on avait un appui de la population à l'indépendance comparable au sud-soudan, on aurait le meilleur leader qui soit. Qu'une façon: en avant toute.

Actuellement 40% pour le OUI, dont un bon 10% qui ne fait rien pour s'y rendre. Qui votera OUI comme quand on va chez le dentiste se faire arracher une dent pourrie.