"Semaines" de la Francophonie, en Mars 2011

Pour voir toutes les activités:
www.francophonie.org

selon l'ACELF:
http://www.acelf.ca/semaine-nationale-francophonie/description.php

en Belgique:
http://www.lalanguefrancaiseenfete.be/

en Ukraine:
http://lyceeadk.com/adk/?p=579

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en France:
http://www.dismoidixmots.culture.fr/?p=1200#post-1200
http://nathan-cms.customers.artful.net/fdlm-v2/blog/actualites/2011/02/13-20-mars-2011-semaine-de-langue-francaise-et-de-la-francophonie/

EXTRAIT:
Un appel à textes lancé sur le site « OnAimeLesMots »

Pendant la Semaine de la langue française et de la Francophonie, WeLoveWords, premier réseau social des auteurs, prend les couleurs de la France et devient « OnAimeLesMots ».
Un appel à textes est lancé autour des dix mots dans les pays francophones (Belgique, Suisse, Québec, Afrique francophone).
Il s’agit d’écrire une histoire de 5 000 signes dont l’un des dix mots est le héros. Pendant toute la Semaine, les textes sont mis à l’honneur sur la page d’accueil de « OnAimeLesMots »
www.welovewords.com

FIN DE L'EXTRAIT

PS: ici, on est en "FRance" ANGLOMANIAQUE!!! Vraiment dommage: faire des activités de promotion pour LA LANGUE FRANÇAISE, mais en utilisant la langue anglaise à l'occasion... ALLO!!! ALLO la France... il y a quelqu'un QUI ALLUME, il y a quelqu'un, en France, qui possède un QI (quotient intellectuel) de plus de 40 , et qui voit l'incongruité de la situation ???? je blague, bien sûr!!
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à l'Université d'Ottawa:
http://www.viecommunautaire.uottawa.ca/fr/activiteFr.php

dans les États de la Nouvelle-Angleterre, avec une présentation vidéo du consul de France à Boston, et dont le gouvernement du Québec est aussi un des partenaires:
http://www.franco-newengland.org/
Les partenaires, dont plusieurs de la Nouvelle-Angleterre:
http://0327f7c.netsolhost.com/WordPress/?page_id=73
la participation de la délégation du Québec à Boston:
http://www.gouv.qc.ca/portail/quebec/international/usa/accueil/boston/?lang=fr

La vie du Frère André, présenté en salles, au Masss:
http://0327f7c.netsolhost.com/WordPress/?page_id=34

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La Fête de la Langue Française, en Suisse:
http://www.tdg.ch/actu/suisse/quatorze-cantons-vont-faire-fete-francais-2011-03-09
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L'ouverture officielle, hier, en France:
http://www.actualitte.com/affichage-communique/278-ssemaine-langue-francaise-francophonie-rocas.htm
http://www.actualitte.com/actualite/24778-semaine-langue-francaise-francophonie-mitterrand.htm
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La semaine de la Francophonie, à Barcelone:
http://www.lepetitjournal.com/barcelone/actu-barcelone/74493-semaine-de-la-francophonie-barcelone-fete-ses-cinq-qprintempsq.html
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Les Fêtes de la Francophonie, à travers les États-Unis:

http://www.france-amerique.com/articles/2011/03/09/la_francophonie_en_fete_a_travers_les_etats-unis.html?utm_source=Newsletter+France-Am%C3%A9rique+-+NATIONALE&utm_campaign=3ae4835aaa-Newsletter_du_10_mars_2011&utm_medium=email


EXTRAIT:

Les réalisateurs francophones s'affichent à Los Angeles

Jusqu’à vendredi, le Théâtre Raymond Kabbaz à Los Angeles propose une série de films francophones.

Au programme, Welcome du réalisateur français Philippe Lioret, au long-métrage L’enfant prodige, du Québécois Luc Dionne, en passant par Impasse du désir du Suisse Michel Rodde. Toutes les projections débutent à 7 :30 pm et sont gratuites.

Plus d’informations sur www.theatreraymondkabbaz.com ou au 310-286-0553.

Trois films inédits à Chicago

En partenariat avec le Festival du film francophone de Kalamazoo de la Western Michigan University, l’Alliance française de Chicago propose la diffusion de trois longs-métrages en français, sous-titrés en anglais.

A 1:30 pm sera présenté Une femme pas comme les autres du réalisateur burkinabé Abdoulaye Dao qui traite le thème de la polygamie.
A 3:30 pm, Aliker du Français Guy Deslauriers, reviendra sur la vie d’André Aliker, un journaliste martiniquais assassiné en 1934.
Louis Bélanger, le réalisateur canadien de Route 132 présentera son film à 6:30pm.

FIN DE L'EXTRAIT

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VOIR AUSSI, à Gatineau:

http://www.imperatif-francais.org/bienvenu/articles/2011/journee-internationale-de-la-francophonie-2011.html

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Sur TV5MONDE:

http://es-www.tv5.org/cms/chaine-francophone/lf/Tous-les-dossiers-et-les-publications-LF/Semaine-de-la-langue-francaise-2011/p-14904-TV5MONDE-celebre-la-langue-francaise.htm

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Invitation au Centre Civique, de Mont-St-Hilaire:
http://www.montrealfrancais.info/node/2854


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Quelques activités aux USA:

http://www.france-amerique.com/articles/2011/03/17/la_francophonie_une_jeunesse_en_mouvement.html?


TITRE: La francophonie, une jeunesse en mouvement


À la veille de la journée internationale de la Francophonie, célébrée le 20 mars 2011, le français apparaît comme un outil de promotion sociale, d'épanouissement culturel et d'engagement pour la jeune génération. Enquête sur cette grande famille, synonyme d'identité plurielle, qui, selon la formule consacrée, possède « la langue en partage », aux États-Unis.

La métaphore de la goutte d'eau dans un océan se prête bien à la réalité de la minorité francophone des États-Unis. Alors pourquoi investir autant d'efforts pour continuer à parler français en Louisiane, en Nouvelle-Angleterre, en Floride ou en Californie ? « Il faut motiver la jeune génération. Montrer que le français peut être aussi utile que l'anglais », explique le Dr C. Brian Barnett, ambassadeur de la francophonie 2010 et professeur de français à l'Université d'Eugène, dans l'Oregon. « Il faut faire rayonner ce mouvement [...], aller chercher les communautés avec qui nous ne sommes pas en contact », renchérit Denis Desgagné, nommé à la tête du Centre de la francophonie des Amériques, le 5 janvier dernier.


Inauguré en octobre 2008 par Jean-Pierre Raffarin et le gouvernement québécois à l'occasion des 400 ans du Québec, le Centre de la francophonie des Amériques est chargé de mettre en valeur la langue française et de renforcer les liens entre les différentes communautés francophones des Amériques. Pour cela, son nouveau directeur mise sur la jeunesse et les nouvelles technologies pour assurer la relève du français et briser les frontières géographiques entre francophones. « Aujourd'hui, avec les nouvelles technologies, les jeunes sortent de ces carcans », affirme-t-il.

Des carcans qui enferment pourtant encore la langue française dans de vilains stéréotypes. On l'accuse parfois de n'être qu'une guerre déguisée contre l’anglais ou de véhiculer « un message néo-colonialiste », explique Gabrielle Durana, administratrice du Centre. La langue française souffre d'une image ternie par quelques combats d’arrière-garde pour puristes académiques. « La francophonie, c'est au contraire la jeunesse, la fierté et l'amour de la langue. Le français est une langue dynamique, un outil de mobilité ! », assure Gabrielle Durana. « C'est un engagement en faveur du multilinguisme et de la diversité culturelle ».

Le corps étudiant du département d'études francophones de l'Université de l'Iowa est à l'image de cette diversité. Venus d'Europe, de la Caraïbe, du Québec ou d'Afrique sub-saharienne, ils représentent la préoccupation grandissante, dans les départements de langues des universités américaines, d’un enseignement du français comme langue d'échange internationale, et non plus comme seule manifestation d'une littérature et de l’histoire de la France. « Il faut arrêter de mettre la France sur un piédestal. Elle devrait être au même niveau que la Suisse, la Belgique ou le Québec car elle n'est qu'une partie de la francophonie mondiale », insiste le Dr. C. Brian Barnett.

La créolité, nouveau visage de la francophonie

« Une nouvelle francophonie s'érige avec la diaspora haïtienne », fait justement remarquer Étienne Rivard, géographe à l'origine d'un atlas sur la francophonie en Amérique du Nord*, à paraitre au mois de mars. Avec 2,1 millions de francophones, dont 1,5 million de Créoles, l’émergence de l’axe géographique qui relie Port-au-Prince, Miami, New York, Boston et Montréal semble être une caractéristique de la francophonie contemporaine.

Qu’elle soit canadienne-française, québécoise, acadienne, franco-américaine, créole, cadienne ou métisse, la francophonie des Amériques recoupe des identités multiples, qui marque la fin de la France comme principal foyer de la francité aux États-Unis.

Pour l'ambassadeur C. Brian Barnett, l'un des enjeux majeurs de la francophonie consiste à « relier ces poches isolées et faire de cette variété une vraie richesse ». Car derrière cette apparente fragmentation identitaire se cachent des trajectoires communes et des valeurs partagées. « La francophonie, c'est aussi une façon différente de voir les choses à travers des valeurs précises.

En 2003 par exemple, lors de l'invasion de l'Iraq par les Américains, les francophones se sont tournés vers TV 5 ou Radio Canada pour trouver un autre point de vue que celui des Américains », explique Richard Marcoux, directeur de l'Observatoire démographique et statistique de l'espace francophone.

Outre la chaîne TV 5 Monde, associée à des partenaires canadien, suisse et belge, la chaîne d'information générale France 24, lancée en 2006, ou le service international de la radio publique française RFI, sont accessibles sur l'ensemble du territoire américain. Sur internet, les réseaux sociaux tels que le site Portland French Connection, le groupe des Bretons de Californie ou le forum de Texas in French rassemblent des locuteurs français, créoles, Belges ou Suisses.

A l'image des Tunisiens de New York qui ont suivi, sur Twitter et Facebook, les avancées de la révolution du Jasmin en temps réel, les réseaux sociaux en ligne - sites, blogs, forums, - représentent un moyen facile, rapide et interactif pour s'informer et échanger en français.

Autre relai de la francophonie, les Alliances Françaises irriguent le réseau francophone à travers tous les États-Unis, en même temps qu'elles participent de la politique d’influence de la France. Premier partenaire de la diplomatie culturelle de la France aux États-Unis, elles ne bénéficient pourtant que du soutien moral de l'État français. « Ce qui pèche, c'est lorsque les gouvernements coupent des postes dans les ambassades », regrette Richard Marcoux, à un moment où les crédits en matière de diplomatie culturelle ne cessent de chuter. Les Alliances Françaises de l'étranger doivent donc pourvoir elles-mêmes à leur financement. Elles possèdent cette vertu non négligeable de s’autofinancer à plus de 75%, grâce aux cours de langue française et au mécénat local.

Cruciale, la question du financement économique reste sensible. Si l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), avec ses 80 millions d'euros de budget, mène des actions multiformes, qui vont de la défense du français dans les institutions francophones jusqu'à l'aide à l'édition de livres en français sur le territoire, les acteurs locaux rêvent d'une francophonie plus offensive.

«Que font les politiques pour aider cette francophonie ? Est-ce que la francophonie est une priorité de l'agenda politique ?», s'interroge le géographe Étienne Rivard, coordinateur du centre interuniversitaire d'études québécoises à l'Université de Laval, au Québec. « Il n'existe pas non plus d'associations panaméricaines vouées à la promotion de la francophonie », observe le géographe Étienne Rivard. Quid d'un lobby francophone américain ? Si la francophonie a atteint ses premiers objectifs, il lui faut maintenant se donner les moyens de tenir ses promesses d'avenir.



* La francophonie nord-américaine, par Yves Frenette, Étienne Rivard et Marc St-Hilaire. Québec, Presses de l’Université Laval (coll. «Atlas historique du Québec»), à paraître en mars 2011.

FIN DU TEXTE

Commentaires: que les autres pays ou États francophones, malgré la France, deviennent des joueurs plus importants dans la Francophonie: TANT MIEUX!!!! Mais que la FRance laisse tomber son rôle de LEADER FRANCOPHONE, FOI DE SARKO L'AMÉRICAIN, je trouve cela vraiment déplorable!
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La SUISSE fête la Francophonie, DANS TOUT SON PAYS, même dans les régions où la langue française n'est pas parlée, en ce 20 mars 2011!! La SUISSE possède 4 LANGUES OFFICIELLES

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http://fr.wikipedia.org/wiki/Suisse
La Suisse ou la Confédération suisse, en forme longue, est un pays d'Europe de l'Ouest sans accès à la mer. Elle est entourée par l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Autriche et le Liechtenstein. Le pays est plus précisément un État fédéral, depuis 1848, formé de 26 cantons[7]. Sa capitale est Berne. La Suisse reconnaît 4 variantes culturelles[7] basées sur les 4 langues nationales : l'allemand, le français, l'italien et le romanche. Ces langues sont toutes officielles[n 4]. Le pays a une longue tradition de neutralité politique et militaire et abrite de nombreuses organisations internationales.
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http://www.eda.admin.ch/eda/fr/home/recent/media/single.html?id=38173

Communiqué de presse

TITRE: Fête de la Francophonie 2011 célébrée en Suisse et dans le monde

17.03.2011

Autour du 20 mars la Suisse célèbre la Fête de la Francophonie 2011 en Suisse et dans le monde. La fête commémore l’adoption, en 1970 au Niger, de la Convention de Niamey, considérée comme l’acte fondateur de la Francophonie. Ayant accueilli à Montreux, du 22 au 24 octobre 2010, le XIIIe Sommet de la Francophonie, la Suisse exerce la présidence du Sommet jusqu’en 2012.


Comme par le passé, un grand nombre d’ambassades suisses participeront, le 20 mars, à la Fête de la Francophonie, célébrée dans de nombreuses capitales du monde entier. L’événement étant une excellente occasion pour tout pays membre de la Francophonie de faire valoir sa diversité culturelle, la priorité des ambassades suisses ira cette année, durant laquelle la Suisse exerce la présidence du Sommet de la Francophonie, à promouvoir les valeurs de la Francophonie ainsi que l’œuvre de l’écrivain Jacques Chessex (1934 – 2009).

En Suisse, la Fête de la Francophonie 2011 sera célébrée sous forme de la Semaine de la langue française et de la francophonie du 11 au 20 mars.

Dans ce cadre, pas moins de 90 manifestations, coordonnées par la Délégation à la langue française, commission permanente de la Conférence intercantonale de l’instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (CIIP), se dérouleront à travers toute la Suisse, dans une trentaine de villes romandes, alémaniques et tessinoises. Cette Semaine sera parrainée par le chanteur suisse Nicolas Fraissinet, lauréat du Prix des Jeux de la Francophonie 2009.

A Berne, le DFAE ainsi que plusieurs ambassades de pays membres de la Francophonie se sont associés comme par le passé pour proposer au public un programme mettant entre autres cinéma et musique à l’honneur. Le programme complet de la 16e édition de la Semaine de la langue française et de la francophonie en Suisse est à découvrir sur : www.slff.ch

La Suisse est membre à part entière de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) depuis son adhésion en 1989 au Sommet des Chefs d’Etats et de gouvernements des pays ayant le français en partage (« Sommet de la Francophonie »). Quatrième principal bailleur de fonds derrière la France, le Canada et la Communauté française de Belgique, la Suisse occupe une position influente au sein de l’Organisation. Ayant accueilli à Montreux, du 22 au 24 octobre 2010, le XIIIe Sommet de la Francophonie, la Suisse exerce la présidence du Sommet jusqu’en 2012.

FIN DU COMMUNIQUÉ

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Le Cégep de Beauce-Appalaches célèbre LA LANGUE FRANÇAISE!!

Commentaires: Faut-il en rire, faut-il en pleurer ?? Les Anglos n'ont pas à célébrer l'Anglophonie une semaine dans l'année..... Toutes ces activités, est-ce pour le meilleur ?? ou bien un signe que la langue française se retrouve maintenant de plus en plus comme dans une petite boite qu'on ressort UNE FOIS PAR ANNÉE, comme ancien jouet de Noël avec lequel on a eu beaucoup de plaisir, mais qui ne sert plus à rien maintenant ???

OU EST-CE, au contraire, une façon de sonner l'alarme pour faire comprende aux gens de l'entourage la fragilité de l'existence de la LANGUE FRANÇAISE en Amérique du Nord, mais une alarme que l'ensemble des Québécois entendent de moins en moins ou ne veulent porter attention ??

http://www.editionbeauce.com/nouvelles/actualites/13122/le-cegep-beauce-appalaches-celebre-la-francofete.php

TITRE: Le Cégep Beauce-Appalaches célèbre la Francofête

Par Éric Gagnon Poulin ce 26 mars 2011 à 07h08

Pour ceux qui ne le savent pas, le mois de mars est le mois de la Francophonie. Le Cégep Beauce-Appalaches a donc profité de l'occasion pour célébrer la langue de Molière en organisant une semaine dédiée au français, la Francofête, du 21 au 25 mars.

Isabelle Drouin, professeure de français, responsable du Centre d'aide en français et co-organisatrice de la Francofête explique le but de l'exercice. « On veut valoriser le français à l'intérieur de notre établissement, donc on a organisé des activités en lien avec le français. Cette semaine on a fait des quiz linguistiques à la cafétéria, des matchs d'improvisation et une dictée de la Francofête », a-t-elle mentionné. Chaque fois, il y avait des prix à gagner, toujours en lien avec la langue, comme des dictionnaires, des livres et des CD de musique francophone.

Les efforts de soutien en français du Cégep Beauce-Appalaches ont définitivement porté fruit. L'établissement s'est positionné deuxième au Québec lors de l'épreuve uniforme de français 2009-2010. Le Centre d'aide en français est d'ailleurs visité par plus de 200 jeunes par année.

Le Mois de la Francophonie et des événements comme la Francofête ont bien leur place, surtout au Québec. Selon l'Office québécois de la langue française, les statistiques ne sont pas très rayonnantes, chose dont on a moins conscience en région. En effet, en 2006, quatre Québécois sur cinq avaient le français comme langue maternelle. Toutefois, entre 1991 et 2006, le poids de ce groupe est passé pour la première fois sous les 80 % à l'échelle provinciale et sous les 50 % sur l'île de Montréal. Il faut donc continuer à protéger ardemment notre langue en transmettant notre passion pour elle aux jeunes générations, comme le fait la Francofête.

FIN DU TEXTE

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