Août-sept 1760:prise de l'Île-aux-Noix & capitulation de Mtl

IL Y A 250 ANS:
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28 août 1760: prise de l'Île-aux-Noix, maintenant appelé "Fort Lennox", sur le Richelieu. Le Fort de L'Île-aux-Noix avait été bâti en 1759 par les Français, suite à la prise de la ville de Québec par les Anglais, pour protéger le restant de la colonie de la Nouvelle-France et la ville de Montréal de l'invasion finale des britanniques!!

voir toutes les activités de "reconstitution" ET LES FESTIVITÉS organisées par Parc Canada:

http://www.lejournal2000.com/Le_petit_journal.html

COPIE DU COMMUNIQUÉ:

DÈS LE 16 AOÛT, L’ÎLE AUX NOIX REVIT 250 ANS D’HISTOIRE

Des activités passionnantes et deux fins de semaines mémorables
au lieu historique national du Fort-Lennox

Dès le 16 août, et en particulier les fins de semaine du 21, 22 et du 28, 29 août, le lieu historique national du Fort-Lennox fait revivre un événement marquant de l’histoire de l’île aux Noix : le siège de 1760. Des reconstitutions d’envergure s’emparent de l’île!

Une petite île, une grande histoire
Située au milieu de la rivière Richelieu, l’île aux Noix a joué un rôle important dans la défense de la colonie, qu’elle soit française ou britannique, surtout aux 18e et 19e siècles.

En 1759, après la chute de Québec, les Français contrôlent toujours Montréal et le territoire compris entre Québec et le lac Champlain. Pour ralentir toute pénétration des troupes britanniques par le Richelieu et éviter la chute de Montréal, les Français entreprennent la construction d’un fort sur l’île au Noix, un point stratégique.

Du 16 au 28 août 1760, l’armée britannique affronte à l’île aux Noix les troupes françaises, désormais sous le commandement du fameux Louis-Antoine de Bougainville. Ayant perdu le contrôle de la rivière, les troupes françaises sont défaites et se replient sur Montréal, qui capitule.

Vibrez au son des tambours et des cornemuses!
La période française de l’île aux Noix revit au son des tambours et des cornemuses des soldats et officiers des Compagnies franches de la Marine et des Fraser Highlanders. Ces unités militaires reconstituées, envahissent le champ de parade du fort pour présenter d’imposantes manœuvres militaires et des démonstrations de tirs à poudre noire. Les activités sont présentées la fin de semaine du 21 et 22 août, de 13 h 30 à 16 h 30.

La vie des soldats… comme si vous y étiez!
Une reconstitution de campements français et britanniques du milieu du 18e siècle souligne le 250e anniversaire du siège de l’île aux Noix la fin de semaine du 28 et 29 août. En plus des campements, des parades et des exercices militaires sont offerts toute la journée. Une foule d’activités sont au programme : reconstitutions des tactiques employées sur les champs de bataille, incursion dans la vie des soldats et des familles, apprentissage sur les différents métiers au sein du corps d’armée.

Et en plus, deux semaines d’activités passionnantes
Pour commémorer ce 250e anniversaire du siège de l’île aux Noix, une pléiade d’activités et d’expériences enrichissantes sont proposées en semaine du 16 au 29 août. Imprégnez-vous de l’univers qui entourait la bataille de l’île aux Noix en août 1760. Poudre noire, effervescence et fascination sont au rendez-vous.

Tous les jours, des parcours guidés relatant l’histoire de l’île aux Noix et le mode de vie des habitants du fort, dispensés en français et anglais, sont aussi au programme. Pour plus d’information, contactez l’équipe du Fort-Lennox au 450-291-5700, ou visitez le site Internet au
www.parcscanada.gc.ca/fortlennox

Dans le cadre du Mois de l’archéologie
Les fouilles archéologiques effectuées à l’île aux Noix montrent des traces d’occupation remontant à plusieurs millénaires. Mais le Richelieu au fil du temps à vu de nombreux naufrages, et est jalonné d’épaves. Ne manquez pas, le jeudi 26 août, de participer à l’activité « À la découverte des fonds marins : une expérience subaquatique ». Les croisières Pierre-Lemoyne d’Iberville offrent aux visiteurs de naviguer sur la rivière Richelieu à la recherche de richesses insoupçonnées. Un plongeur découvre en direct, sous vos yeux, les vestiges marins du Richelieu. Pour information, communiquez au 450-348-9744 ou consultez le site Internet :
www.croisieresdiberville.com
Réservation obligatoire.

Encore plus intéressant vue de l’eau
Le dimanche 29 août, les Croisières Richelieu de Saint-Jean-sur-Richelieu et le fort Lennox offrent la possibilité de naviguer sur la rivière Richelieu, et d’observer la valeur stratégique de l’île aux Noix depuis le Richelieu. Pour plus de renseignements, appelez au 514-861-1111 ou au 450-291-5700, ou encore consultez le site internet
www.croisieresrichelieu.ca
Réservation obligatoire.

Le lieu historique national du Fort-Lennox fait partie du réseau des lieux historiques nationaux de Parcs Canada qui célèbre cette année le 125e anniversaire du parc national de Banff, premier parc naturel au Canada. En 2011, Parcs Canada fête son centenaire à titre de premier service de parcs nationaux au monde.
Soyez de la fête!

Source : Monique Tairraz & Cie pour Parcs Canada
Contact médias : Valerie Grig 514-759-0494
Parcs Canada : Carine Lévesque 514-475-7751

FIN DU COMMUNIQUÉ

PS: "Soyez de la Fête" si vous êtes un "colon ben colonisé"!!!! En passant, ce communiqué de Parcs Canada peut être lu AUSSI dans la Chronique "vacances-voyage" d'aujourd'hui du journal francophone fédéraliste de la ville de Montréal!


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En résumé, la Conquête de la ville de Québec, en 1759, c'était juste pour la VILLE DE QUÉBEC.

La vraie capitulation pratique de la NOUVELLE-FRANCE a été faite le 8 septembre 1760 par Vaudreuil, et officialisée en 1763 par le TRAITÉ DE PARIS.

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IL Y A 250 ANS, LE 8 SEPTEMBRE 1760,
LA NOUVELLE-FRANCE CAPITULAIT

http://fr.wikipedia.org/wiki/Articles_de_capitulation_de_Montr%C3%A9al

EXTRAIT:

Les articles de capitulation de Montréal, négociés entre le Gouverneur-Général de la Nouvelle-France, Pierre de Cavagnal, Marquis de Vaudreuil, et le Major-General Jeffrey Amherst au nom des couronnes française et britannique, consacrent la reddition de la ville de Montréal au cours de la Guerre de Sept ans.

La signature du document, qui est rédigé en français, a lieu le 8 septembre, 1760 sous la tente du camp britannique devant la ville de Montréal qui accepte de capituler[1]. La conséquence immédiate de cette signature est la retraite de l'armée française et l'instauration d'un régime militaire britannique sur le pays, qui se prolonge jusqu'en février 1763, alors que le roi de France cède définitivement au roi de Grande-Bretagne le « Canada avec toutes ses dépendances[2] » via le Traité de Paris de 1763.

Les 55 articles sont presque tous accordés par Amherst, sauf ceux qui font référence aux Acadiens. Les demandes françaises comportaient un large éventail de garantie quant à la protection des habitants de la Nouvelle-France : les Français, les Canadiens, les Acadiens et les Sauvages ( les Amérindiens). Vaudreuil demande essentiellement que tous les habitants se voient reconnaître les mêmes droits et privilèges que les autres sujets de la couronne britannique.

La prise de Montréal
À la fin de l'été 1760, la Guerre de Sept ans en Amérique tire à sa fin. Les forces américano-britanniques regroupées en trois armées et totalisant 17,000 hommes convergent vers Montréal. Une armée dirigée par Amherst remonte le fleuve Saint-Laurent à partir de Québec. Une autre descend du lac Ontario à partir du Fort Frontenac (aujourd'hui Kingston) et finalement, la dernière venant du Fort Ticonderoga (anciennement Fort Carillon) remonte le Richelieu en ayant auparavant prit le Fort Chambly.

James Murray, gouverneur militaire du district de Québec depuis septembre 1759, ordonne aux armées britanniques de brûler tout sur leur passage, fermes, maison, etc., pour empêcher les miliciens canadiens de rejoindre l'armée française. En même temps en août, les Sept Nations du Canada, les alliés autochtones des Français, pactisent avec les Britanniques à Oswigatchie.

Le 6 septembre 1760, le Major-General Amherst arrive à Lachine. Le gouverneur Vaudreuil convoque un conseil de guerre le même jour. Débutent alors les négociations de la capitulation de Montréal et par le même coup de la Nouvelle-France.

Les honneurs de la guerre refusés
Les trois premiers articles de la capitulation refusent les honneurs de la guerre à l'armée française. François Gaston de Lévis, qui commande l'armée française depuis la mort du lieutenant-général Louis-Joseph de Montcalm, est fort en colère et ordonne que ses régiments brûlent leurs drapeaux sur l'île Sainte-Hélène, pour ne pas les rendre à l'ennemi.

Ces régiments étaient le Régiment Béarn, le Régiment du Berry, le Régiment du Languedoc (qui rentre en France en 1761), le Régiment de La Reine, le Régiment de La Sarre et le Régiment du Royal Roussillon, qui rentreront en France après la capitulation de Montréal[réf. souhaitée].

FIN DES EXTRAITS

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La Ville de Montréal, sur wikipedia:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Montr%C3%A9al

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