Voir le lien:
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/286991/table-ronde-de-l-institut-du-nouveau-monde-les-soupcons-autour-des-liberaux-ebranlent-la-democratie-croit-landry?
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copie du texte à la fin
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PS: quand Jean Charest a fait sa dernière campagne électorale sur "L'ÉCONOMIE", il voulait dire: "élisez-moi pour pour que j'aide mes TINAMIS à mettre plus d'argent dans leurs poches, au détriment des poches des contribuables...!!"
PPS: il me semble qu'on n'entende pas tellement parler de collusion, de corruption et de DÉNI DE DÉMOCRATIE dans les journaux ANGLOPHONES du Québec et du Canada!!! IMAGINEZ: à la dernière élection municipale de Montréal, qui a remis au pouvoir Gérald Tremblay, soit un suppôt de JEAN CHAREST, les journaux ANGLOPHONES de Montréal écrivaient: "ON EST MIEUX DE VOTER POUR GÉRALD TREMBLAY, MÊME S'IL TREMPE DANS LA COLLUSION ET LA CORRUPTION, au lieu d'élire Louise Harel".
CELA EN DIT LONG SUR LA FAÇON DE PENSER DES "FÉDÉRALISTES"!!! Selon moi, tout comme Jean Charest l'est, "ils" n'ont aucune éthique, aucun respect de la personne (juste à penser aux moqueries que des journaux anglais font sur le dos de Jacques Parizeau, hospitalisé au "Jewish Hospital"!!!), et après cela, ces mêmes personnes essaient toujours de nous faire la morale!!!
Si les mêmes événements survenaient au moment d'un gouvernement du Parti Québécois, au Québec, les Québécois auraient sur le dos (façon gentille de parler de "Quebec bashing") tous les éditoriaux et tous les commentaires hargneux des Anglos du Québec et du Canada contre eux (nous)! --- MAIS LÀ, c'est juste le Parti Libéral Provincial, un parti redevenu essentiellement fédéraliste sous Jean Charest, qui nous fait marcher dans sa marde de plus en plus!!!
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COPIE du texte:
NOTE DE FRANCOQ: sous la photo, on voit la phrase suivante:
"L’ancien premier ministre Bernard Landry a déploré hier le discours «catastrophiste» qui prétend que la situation économique du Québec est désastreuse."
Commentaires de FrancoQ: c'est ce que je disais, dans mes écrits....
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COPIE DU TEXTE
Les rumeurs de trafic d'influence qui secouent le gouvernement libéral de Jean Charest alimentent le cynisme de la population au point de mettre la démocratie en péril, estime l'ancien premier ministre Bernard Landry, qui dit souhaiter qu'une enquête soit menée pour aller au fond des choses.
«Quand on perd confiance dans les institutions politiques et judiciaires, une société est profondément ébranlée. Ça ne pousse pas les gens à aller voter ni à respecter le personnel politique, donc ça met la démocratie en péril», a-t-il expliqué hier soir en marge d'une conférence organisée dans le cadre du centenaire du Devoir par l'Institut du Nouveau Monde. L'événement portait sur l'histoire économique du Québec au cours du dernier siècle.
M. Landry ne souhaite toutefois pas présumer de la véracité des allégations de l'ex-ministre libéral Marc Bellemare. Il dit seulement qu'une enquête doit être lancée pour faire la lumière sur toute cette histoire. «Un gouvernement à 70 % d'insatisfaction, quand avez-vous vu cela? J'ai perdu le pouvoir avec un taux de satisfaction de 53 %. Alors l'heure de la réflexion est arrivée», a-t-il laissé tomber.
Surtout que selon lui, le gouvernement Charest a déjà commis une série d'erreurs qui ne font rien pour redorer le blason de la classe politique. «L'affaire Bellemare, le budget... Je n'ai jamais vu le ciel politique aussi déprimant durant toutes les années que j'ai consacrées à la vie publique. Par exemple, la population en entier demande une enquête sur la construction et on n'en fait pas. En fait, on parle d'une série de bourdes culturelles, linguistiques, économiques et sociales. C'est vraiment désolant.»
Celui qui a déjà occupé le poste de ministre des Finances déplore par ailleurs le discours «catastrophiste» qui prétend que la situation économique du Québec est désastreuse. «Je ne dis pas qu'il faut être négligent, mais j'ai toujours dit qu'Hydro-Québec est un contrepoids considérable à notre dette.»
Selon lui, il faut aussi tenir compte de certaines de nos forces, dont «la solidarité sociale, un plus faible écart en riches et pauvres, le haut taux de syndicalisation, le fait que l'économie est diversifiée et tournée vers la technologie, etc.». Qui plus est, il estime que «si le budget avait été mieux adapté, plus solidaire, plus social, il aurait été mieux accueilli et on aurait pu faire passer les aspects de réduction de la dette».
FIN DU TEXTE
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