Charest met l'agriculture québécoise en lambeaux

Charest se sert de l'ASRA pour couper la gorge aux producteurs agricoles du Québec, en disant que les producteurs agricoles sont beaucoup trop subventionnés, par l'intermédiaire des assurances:

http://www.laterre.ca/politique/abitibi-temiscamingue-lasra-en-travers-de-la-gorge/

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Pourtant, au Québec, au Canada, les producteurs agricoles SONT LES MOINS SUBVENTIONNÉS (sauf le Japon) des pays de l'OCDE:
http://www.upa.qc.ca/fra/nos_preoccupations/mondialisation.asp
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À moyen et long terme, les régions vont se vider de plus en plus, AU PROFIT de riches investisseurs étrangers.... SELON LES DÉSIRS ET LES SOUHAITS DE JEAN CHAREST!!
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La canaille Sarkozyste mène exactement la même politique en France.

En faite c'est une lutte mondiale par les multiniationales qui écrase la gueule des peuples sous un talon de fer pour produire toujours plus de milliards

Charest tout comme Sarko le petit nabot ne sont que des clowns grotesques qui servent leur intérêt

Des négociations de la dernière chance:

http://www.laterre.ca/politique/upa-et-fadq-la-guerre-de-chiffres-examinee-par-un-/

COPIE:

UPA et FADQ :
la guerre de chiffres examinée par un nouveau comité


Un nouveau comité composé de représentants de La Financière agricole du Québec (FADQ), de trois ministères et de l’Union des producteurs agricoles (UPA) est mis sur pied afin d’étudier la divergence quant à l’évaluation des besoins futurs de l’assurance stabilisation (ASRA).

le 26 avril 2010, par Thierry Larivière

Le nouveau comité a été annoncé le 23 avril après une demande en ce sens du président de La Financière, M. Jacques Brind’Amour. L’UPA estime que le resserrement global de l’ASRA est tel que des surplus budgétaires sont à prévoir.

L’Union pourra donc maintenant s’expliquer devant les représentants du ministère des Finances, du Conseil du Trésor, du ministère de l’Agriculture et de la FADQ.

Rappelons que la FADQ estime que toutes les mesures de resserrement sont nécessaires et n’auront pas un effet dévastateur dans les régions du Québec.

L’UPA pense au contraire que les dernières mesures de redressement (calcul du coût de production sans les 25 % moins performants) sont inacceptables et remettent en question la viabilité de nombreuses fermes.

« Plus que jamais, nous sommes confiants que l’atteinte des objectifs de redressement au moyen des interventions gouvernementales en matière de gestion des risques agricoles permettra d’améliorer le rendement des entreprises, d’accroître le soutien aux secteurs en émergence et de favoriser la diversification de l’agriculture.

Nous avons pris l’engagement de mettre en place les conditions nécessaires à la prospérité et à la pérennité du secteur agricole et d’accompagner les entreprises dans ces changements. C’est exactement ce que nous faisons », a précisé le ministre de l’Agriculture, Robert Dutil.

Le ministère de l’Agriculture (MAPAQ) rappelle que la FADQ dispose d’un budget de 630 M$ par an. S’ajoute à cette somme un montant de 20 M$ par année dont le MAPAQ dispose pour des mesures d’adaptation visant les entreprises touchées par les changements et des mesures de soutien en faveur de la multifonctionnalité ainsi que la prise en charge du déficit accumulé de la FADQ qui est estimé à 1 milliard de dollars.

FIN DU TEXTE

Commentaires: comme j'ai déjà écrit, JOHN JAMES CHAREST, qui veut se faire passer pour un grand bâtisseur du Québec, sera considéré, AU CONTRAIRE, COMME LE PLUS GRAND DÉMOLISSEUR que le Québec n'ait jamais connu!!! ====réf.: la ville de Montréal défusionnée, la fermeture des régions, la fermeture de l'industrie FORESTIÈRE du Québec, industrie qui n'a reçu qu'environ $100 millions du fédéral, alors que l'Ontario, pour l'industrie automobile, a reçu dans les $10 MILLIARDS, suite à la crise économique, etc.. et des tonnes d'autres exemples, ET CHAREST n'est pas plus capable d'aller chercher des subventions comparables au fédéral, pour mieux aider à passer à travers la crise économique, etc.

Il y a toujours un litige de $8 milliards entre le fédéral et le Québec, dont près de $3 milliards pour l'harmonisation des taxes (TPS et TVQ). Et Charest n'est même pas capable d'aller chercher 5 CENNES à Ottawa!!! ET CHAREST SE PAVANE toujours devant son CONSEIL DE LA FÉDÉRATION pour montrer que le fédéralisme fonctionne très bien!!

Charest laisse faire l'anglicisation grandissante de Montréal et de tout le Québec, Charest dirige un gouvernement DES PLUS CORROMPUS qu'on n'a pas vu depuis de nombreuses années, etc..

TOUT CE QUE CHAREST PEUT FAIRE POUR ANÉANTIR LE SENTIMENT DE FIERTÉ QUÉBÉCOISE, TOUT CE QU'IL PEUT FAIRE POUR NOUS FAIRE MAL PARAÎTRE, CHAREST LE FAIT!!!

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Charest et sarkozy sont dans un bateau

le bateau coule

qui est sauvé ??


les québécois et les français !

bonjour VictorSerge0,

pourrais-tu m'expliquer ta dernière intervention, j'ai de la misère à comprendre...

"je comprends vite quand on m'explique longtemps" comme on dit par chez nous...

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voir:

http://www.laterre.ca/alimentation/lupa-cadenasse-la-financiere/

EXTRAIT:

L’UPA cadenasse La Financière

« Le cadenas est sur la porte! » Président de l’Union des producteurs agricoles, Christian Lacasse a prononcé ces quelques mots après avoir mis la chaîne et le cadenas à la porte d’entrée du siège social de La Financière agricole du Québec à Lévis.

Venus des quatre coins du Québec, entre 200 et 300 producteurs agricoles, selon les forces de l’ordre, en ont ainsi interdit l’accès au personnel dès 7 h lundi matin.

le 3 mai 2010, par Pierre-Yvon Bégin, "La Terre de Chez Nous"


« Ils veulent fermer les fermes, on n’a plus besoin de La Financière », a ajouté Christian Lacasse. Celui-ci a rappelé que le conseil d’administration de La Financière, malgré la vive opposition de l’UPA, avait adopté une décision « malheureuse et lourde de conséquences » le 31 mars dernier.

Cette décision, ajoute-t-il, soit le retrait de 25 % des fermes les moins performantes dans les enquêtes sur le calcul des coûts de production, va précipiter les entreprises agricoles vers la faillite et l’abandon.

FIN DE L'EXTRAIT

Commentaires: de nombeuses fermes vont faire faillite bientôt!.

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Qui a raison, selon le "Canal Argent" : les producteurs agricoles ou bien le gouvernement Charest ??

COMMENTAIRES: on sait que les producteurs agricoles du Québec SONT LA DEUXIÈME NATION LES MOINS SUBVENTIONNÉS DANS LE MONDE OCCIDENTAL!!! Les producteurs américains sont subventionnnés au moins 3 fois plus!!!

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/05/20100503-155158.html

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Pendant que Charest (premier ministre du Québec) FAIT TOUT EN SON POUVOIR pour faire faire faillite à de nombreux producteurs agricoles du Québec, le gouvernement du CANADA, de son côté, SUBVENTIONNE À GROS PRIX l'industrie porcine en ONTARIO!!!

Pour l'Ontario, les subventions: ils les prennent!!

Et, après ça, dans 5 ans, dans 10 ans, les Ontariens vont pouvoir rajouter à leur longue liste de litanie, au sujet des Québécois: "C'EST NOUS AUTRES (LES ONTARIENS) QUI FONT MANGER, QUI FONT TOUJOURS VIVRE LES QUÉBÉCOIS" quand il n'y aura plus assez de producteurs agricoles pour nourrir le Québec, quand le Québec sera encore moins AUTO-SUFFISANT!!

http://biz.branchez-vous.com/communiques/detail/communiques_142595.html

LE 1 MAI 2010 - 01:47:12 PM

Le Plan d'action économique du Canada renforce l'industrie porcine de l'Ontario

MITCHELL, ONTARIO--(Marketwire - 1 mai 2010) - Le Plan d'action économique du Canada produit des résultats concrets pour les éleveurs de porcs et l'industrie de la transformation des viandes de l'Ontario. Le ministre de l'Agriculture Gerry Ritz et le député Gary Schellenberger (Perth-Wellington) ont annoncé que le gouvernement investira près de 4,5 millions de dollars pour aider l'entreprise Great Lakes Specialty Meats of Canada Inc. à moderniser et à élargir son établissement, ce qui lui permettra de partir à la conquête de marchés à créneaux.

"Les agriculteurs canadiens produisent d'excellents aliments et la demande mondiale de ces produits est en pleine croissance, a déclaré le ministre Ritz. Voilà pourquoi le gouvernement continue de faire des investissements clés pour stimuler l'innovation qui créera de nouveaux débouchés pour nos producteurs et nos transformateurs de viandes."

L'aide financière octroyée à l'entreprise Great Lakes Specialty Meats of Canada Inc. servira à accroître la capacité de l'usine de produire des aliments à valeur ajoutée de qualité supérieure au moyen de la technologie et d'équipements modernes et efficaces tels que les systèmes de traçabilité de premier rang visant une salubrité des aliments accrue. Grâce à ces améliorations, Great Lakes Specialty Meats of Canada Inc. sera en mesure d'augmenter ses ventes de produits de porc canadiens de grande qualité et d'être concurrentielle sur le marché. Ce projet permettra de créer d'autres emplois dans la région de Mitchell et de garder les usines de transformation du porc dans le sud de l'Ontario.

"L'investissement annoncé permettra à Great Lakes Specialty Meats of Canada Inc. de saisir des marchés à créneaux et aux agriculteurs du comté de Perth-Wellington et de la région environnante de tirer profit des marchés élargis, a affirmé le député Schellenberger. Investir dans un secteur canadien de la transformation et du conditionnement des viandes plus solide est avantageux pour l'ensemble de la chaîne de valeur."

"Nous félicitons le gouvernement du Canada d'avoir reconnu l'importance d'accroître la capacité de transformation des viandes au Canada et d'avoir créé le Programme d'amélioration de l'abattage, a dit David Schwartz, président de l'entreprise Great Lakes Specialty Meats of Canada Inc. Améliorer et accroître la capacité de Great Lakes Specialty Meats nous aidera à répondre à la demande croissante de produits du porc à valeur ajoutée, tant au Canada qu'à l'étranger. En fin de compte, cela se traduira par davantage d'emplois dans la région de Mitchell."

Le Programme d'amélioration de l'abattage, une initiative de 50 millions de dollars qui fait partie du Plan d'action économique du Canada, offre des prêts du gouvernement fédéral pour faciliter l'élaboration de solides plans d'entreprise qui aideront à réduire les coûts, à accroître les revenus et à améliorer les opérations des établissements de conditionnement des viandes rouges au Canada. Des crédits supplémentaires de 10 millions de dollars ont été affectés au programme dans le Budget fédéral de 2010.

L'industrie des viandes rouges, dont les ventes atteignent plus de 20 milliards de dollars, est le plus gros employeur de l'industrie de l'alimentation au Canada.

L'aide financière ne sera accordée que si le projet répond à tous les critères d'admissibilité et qu'un accord de contribution est signé.

Pour de plus amples renseignements sur le Programme, veuillez visiter le site
www.agr.gc.ca/abattoir


Pour de plus amples renseignements sur le Plan d'action économique du Canada, veuillez visiter le site
www.plandaction.gc.ca


POUR PLUS D'INFORMATIONS, COMMUNIQUEZ AVEC:


Agriculture et Agroalimentaire Canada
Ottawa, Ontario
Relations avec les médias
Téléphone : 613-773-7972
1-866-345-7972


Communiqué provenant de CCN

FIN DU COMMUNIQUÉ
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Et le gouvernement du Canada subventionne à GROS PRIX les producteurs agricoles du Nouveau-Brunswick:

Sur le fil de presse de Radio-Canada:

AIDE ACCRUE AUX AGRICULTEURS DU NOUVEAU-BRUNSWICK

Une aide de 7,7 millions de dollars a été accordée aux agriculteurs du Nouveau-Brunswick de la part des gouvernements fédéral et provincial.

Le ministre de l'Agriculture de la province, Ronald Ouellette, a indiqué que les agriculteurs pourront ainsi entreprendre de nouvelles cultures, améliorer leurs technologies de production et diminuer leurs coûts d'exploitation. L'objectif est de rendre les exploitations agricoles plus performantes.

Le ministre fédéral de l'Agriculture, Gerry Ritz, a souligné que les sommes allouées sont destinées à accroître la rentabilité et la prospérité de ce secteur d'activités. L'investissement vise aussi à mettre l'accent sur de nouveaux produits destinés notamment à protéger la santé.

FIN DU COMMUNIQUÉ

Commentaires: Au lieu de nuire à leurs producteurs agricoles, l'Ontario et le Nouveau-Brunswcik obtiennent des subventions du fédéral pour les aider à mieux les appuyer dans toutes leurs entreprises, AU LIEU DE LES POUSSER À FAIRE FAILLITE, comme fait JOHN JAMES CHAREST, le premier démolisseur (ministre) du Québec, au Québec!!
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CRISE DE LA LISTÉRIOSE À L'AUTOMNE 2008:

Un an plus tard, un article dans la revue "Québec inc" (octobre 2009):

http://www.quebecinc.ca/archives/2009/0910050501.asp

"EN UNE JOURNÉE, LE MINISTÈRE --le Mapaq-- A RUINÉ 15 ANS D'EFFORTS!"

EXTRAIT:

En quelques heures à peine, des efforts de commercialisation des fromages fins soutenus pendant des années ont été anéantis. Selon le rapport d’enquête sur la crise de la listériose, rendu public le 2 juin dernier par le Protecteur du citoyen du Québec, de nombreuses lacunes ont été notées dans la manière dont le MAPAQ a géré la crise, notamment en matière de communication et d’inspection des usines.

Deux fromageries ont ainsi été ciblées de manière erronée lors des procédures de rappel, alors qu’elles n’étaient aucunement responsables de l’éclosion de listériose.

Selon Raymonde Saint-Germain, protectrice du citoyen, il aurait été impensable que le MAPAQ conserve les fromages le temps de les analyser. Il aurait fallu que le ministère analyse simultanément 4 500 échantillons, soit une quinzaine par détaillant, sans pour autant être certain que la bactérie n’était pas présente chez les détaillants.

Autre lacune. Les procédures d’enquête ne sont pas appliquées partout de la même manière. Un exemple ? Les inspecteurs du ministère qui prélevaient les échantillons de fromages pour analyse négligeaient parfois les meules intactes dans les comptoirs des détaillants.

En n’analysant que les portions de meules, on ne peut pas savoir si le fromage a été contaminé chez le fabricant ou lors de la manipulation chez le détaillant. Les cas de contamination croisée chez les détaillants sont fréquents lorsque les conditions d’hygiène et de manipulation des aliments ne sont pas respectées.

Impacts de la crise
Sur les 43 usines où l’on transforme du lait non pasteurisé (cru ou thermisé), 32 ont été visitées par le MAPAQ et ont été déclarées conformes, neuf ont interrompu la mise en marché le temps que l’enquête soit complétée et deux, la Fromagerie Médard et Les Fromagiers de la Table ronde, ont dû complètement nettoyer et désinfecter leurs installations de même que jeter leur stock. Aujourd’hui, la production a redémarré aux deux endroits.

Le 19 septembre 2008, une autre usine utilisant du lait pasteurisé a été l’objet d’un rappel par la Santé publique du Québec, ce qui a forcé le MAPAQ à revoir toutes ses méthodes d’inspection touchant aussi les usines de cette catégorie.

Depuis la crise de l’automne 2008, Martin Guilbault utilise le procédé de thermisation, soit le chauffage du lait sans toutefois le pasteuriser, dans la fabrication de ces fromages dont la période d’affinage est plus courte. Il a toutefois maintenu l’utilisation du lait cru pour les fromages affinés durant 90 jours et plus, comme la version « réserve » de son produit vedette, le « Victor et Berthold ».

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Toujours actif dans sa ferme, M. Proulx affirme avoir reçu depuis le début de 2009, « à chaque trois semaines le swat team » du MAPAQ… Il trouve dommage qu’on ne s’inspire pas des pratiques historiques du terroir en France. Outre-mer, l’État fait de l’accompagnement plutôt que de la coercition auprès des producteurs pour la mise à niveau des installations et des procédures, dit-il.

Un exemple : le transport des meules de fromage dans des boîtes de bois. « En France, on le fait ainsi depuis des centaines d’années, mais ici le MAPAQ exige que tout soit emballé dans des plastiques sous vide. »

Louis Arsenault rappelle que les membres de l’AFAQ sont en affaires depuis sept à huit ans en moyenne et que leur taux d’endettement est très élevé, car le démarrage de cette production coûte cher. Chaque fois que le MAPAQ ou le MDDEP impose une nouvelle norme, les producteurs doivent acheter de l’équipement coûteux. « Je ne peux pas suivre les gros transformateurs sur ce terrain », explique-t-il en parlant de l’appareillage requis pour traiter les eaux usées, par exemple.

Il est, selon lui, faux de prétendre que les exigences du Québec imitent celles imposées aux producteurs européens. « C’est plus contraignant ici. Cela favorise l’utilisation du lait pasteurisé et aseptisé, donc les producteurs industriels. »

Les fromageries artisanales représentent environ 5 % du marché des fromages fins au Québec. Les trois plus gros producteurs mettent en marché de 30 à 35 produits chacun, dont plusieurs sont fabriqués avec de la poudre de lait. Et ce sont ces fromages fins industriels qui occupent les comptoirs des grandes épiceries.


FIN DE L'EXTRAIT
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MAPAQ: Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec:


http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Transformation/Qualitedesaliments/Hygienesalubrite/Hygienesalubrite

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Charest et Béchard disent à l'UPA et aux producteurs agricoles: "attention, ça va faire mal un peu, on vous coupe la tête!!"

C'EST PRESQUE ÇA!!

http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/06/20100621-144943.html

EXTRAIT:

Si l’on allait plus loin, le président de l’UPA craint que l’agriculture se «déstructure». Cela se traduirait par la fermeture ou l’abandon de milliers de fermes, notamment en région.

«S’il y a un mouvement de masse, dit-il, il faut savoir qu’il y a six emplois qui dépendent de chaque ferme au Québec, dans chacune des régions. Ça aura des impacts très importants.»

FIN DE L'EXTRAIT

Commentaires: quand on sait que les autres pays subventionnent leurs producteurs agricoles 5 à 10 fois PLUS qu'au Québec, qu'au Canada, (voir les statistiques sur le site internet de l'UPA), CELA FAIT MAL AU COEUR de voir que CHAREST va détruire une grande partie de la production agricole du Québec, alors que c'était devenu un "fleuron québécois" jusqu'à il y a quelques années seulement.

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Un autre article qui dénonce les subventions aux agriculteurs, par un journaliste QUI NE SAIT PAS DE QUOI IL PARLE!!! Il mélange les 2 sortes de subventions aux agriculteurs (assurance-récolte et assurance-stabilisation), et essaie de nous présenter son image très enfantine d'un agriculteur d'il y a 100 ans environ!!!

Et c'est du monde comme ça qui se mêle de ce qui ne les regarde pas!! Ou encore, je lui dirais: va vivre pendant un an chez différents agriculteurs, comme homme à tout faire, et tu vas voir que l'argent est très chèrement gagnée!!


http://duhamel.argent.canoe.ca/non-classe/bisbille-rurale/

EXTRAIT

L’image, qui remonte à la nuit des temps, est fortement imprégnée dans l’imaginaire collectif. C’est celle du brave agriculteur qui, à la sueur de son front, assure notre subsistance. Ajoutez à cela un brin de collectivisme irrésistible pour une certaine gauche urbaine, le fantasme d’une autarcie alimentaire chère à certains milieux nationalistes et la surreprésentation des circonscriptions rurales dans les deux parlements et vous avez tous les ingrédients d’une politique agricole qui trait les consommateurs et qui plume les contribuables.

Le conflit autour du programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles géré par la Financière agricole illustre bien le non-sens des politiques agricoles. On comprend tous la pertinence d’un programme d’assurance. Il est légitime qu’un agriculteur veuille s’assurer contre des pertes attribuables aux conditions climatiques. Le programme de la Financière agricole va beaucoup plus loin car il comble l’écart entre les coûts de production des agriculteurs et les prix du marché.

FIN DE L'EXTRAIT
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Commentaires: si les producteurs agricoles n'avaient que 10% EN SUBVENTIONS AGRICOLES DES SUBVENTIONS QUE LES GOUVERNEMENTS fédéral et provincial DONNENT AUX COMPAGNIES PÉTROLIÈRES, alors que ces dernières roulent sur l'or...noir!!!
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Est-ce qu'on entend ce journaliste décrier les subventions et autres crédits fiscaux donnés à ces pollueurs ?? NON, JAMAIS!!!
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Mine de rien, JEAN CHAREST continue son travail de fermer des régions aux prises avec des problèmes de relèves agricoles et autres: ----

QUAND EST-CE QU'ON L'ENTEND PARLER DES BIENFAITS SOCIAUX, ÉCONOMIQUES ET CULTURELS DE LA SORTE D'AGRICULTURE PRATIQUÉE PAR NOS GENS EN RÉGIONS ??? Une agriculture pratiquée, à 95% je dirais, selon une grandeur acceptable pour chaque coin de pays !!! -- les autres 5% sont des "producteurs agricoles" reconnues comme de grosses entreprises de l'extérieur qui ne respectent pas l'environnement social et communautaire de l'endroit où elles sont implantées

http://www.laterre.ca/politique/les-cld-bientot-prives-de-175-m-par/

TITRE: Les CLD bientôt privés de 17,5 M$ par an

Très impliqués en milieu rural, les centres locaux de développement (CLD) vont-ils être privés de 22 % de leur budget à compter de 2012?

le 2 novembre 2011, par Jean-Charles Gagné

C’est en tout cas l’épée de Damoclès qui leur pend au-dessus de la tête depuis que Québec a signalé sa volonté de ne renouveler que l’entente de base de 60 M$ par an pour financer leurs activités. Cette décision exclurait les 17,5 M$ par an consentis depuis 2008, d’abord aux régions ressources.

Lors de l’assemblée générale annuelle de la Fédération québécoise des municipalités (FQM), les maires ont demandé à Québec de rendre permanents ces 17,5 M$. Ils réclament aussi que les CLD soient placés au cœur de la stratégie entrepreneuriale que s’apprête à adopter le gouvernement.

Chez Solidarité rurale du Québec, on confirme que les CLD sont très impliqués dans l’application de la Politique nationale de la ruralité. La majorité des agents ruraux sont en effet intégrés aux équipes des CLD. Or les retombées positives de cette Politique ne sont plus à faire.

Commissaire à l’agriculture au CLD Les Maskoutains depuis 2007, l’agriculteur Claude Corbeil a illustré le rôle déterminant de cet organisme pour la promotion et le développement de l’agriculture. « Non seulement le CLD accompagne-t-il le montage de projets en agriculture et fournit-il un service de mentorat aux jeunes en agriculture, mais c’est grâce à son implication et à son rayonnement que 12 bourses de 10 000 $ ont été accordées à la relève agricole en janvier dernier en partenariat avec d’autres organisations comme le Forum Jeunesse Montérégie.

Impacts
Si elle devait être appliquée, « cette compression d’environ 145 000 $ par CLD va se traduire par une baisse de services offerts aux entreprises », a confié à la Terre la directrice générale de l’Association des CLD du Québec, Suzie Loubier.


« Cet accompagnement des entrepreneurs a permis de faire grimper à 70 % le taux de survie des entreprises après cinq ans, soit le double de la moyenne enregistrée au Québec », a-t-elle illustré.

FIN DU TEXTE

Commentaires: c'est un programme qui marche très bien, trop bien au goût de Jean Charest, on dirait, et où il ne semble pas y avoir de COLLUSION NI DE MANIGANCES pour obtenir le plus fort montant de subventions en agriculture.... ÇA, ça doit être choquant pour les collecteurs libéraux de dons POLITIQUES!!!
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COMME J'AI DÉJÀ EXPLIQUÉ PLUS HAUT, en résumé, JEAN CHAREST fait tout pour amenuiser, pour rapetisser, pour ne pas s'occuper activement de l'industrie agricole.

VOICI un texte du président de la CAPERN, Pierre Paradis, député libéral et celui que Jean Charest a destitué de ses responsabilités de ministre de l'environnement dans le passé (autrement dit, Jean Charest voulait se débarrasser de Paradis, et il l'a mais à la tête d'un organisme en agriculture):

PS: quand est-ce qu'on a entendu JEAN CHAREST parler en faveur de l'agriculture, du côté positif, de l'économie agricole, etc.. ??? Réponse: JAMAIS!!!


http://www.laterre.ca/politique/la-capern-sert-elle-bien-lagriculture/

TITRE: La CAPERN sert-elle bien l’agriculture?

Le monde agricole y a-t-il perdu au change quand le gouvernement Charest a enterré la CAPA pour créer la CAPERN (Commission de l’agriculture, des pêcheries, de l’énergie et des ressources naturelles)?

le 28 novembre 2011, par Yvon Laprade

« Je ne peux me prononcer à leur place, mais si je faisais partie du monde agricole, j’exigerais qu’on redonne vie à la CAPA (Commission de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation). Je dirais : redonnez-nous la place qu’on occupait il y a trois ans, lors du changement », analyse le député libéral Pierre Paradis.

Cette observation a de quoi étonner, étant donné qu’elle vient du président de la CAPERN. Il prévient qu’il n’est pas là pour tout bousculer, et s’il fait ces commentaires, c’est pour mettre en lumière une situation problématique pour l’agriculture et les producteurs agricoles.

Selon lui, le monde agricole a perdu de son pouvoir d’attraction au sein de la CAPERN, qui est devenue une commission multidossier. La Commission doit désormais composer avec un calendrier chargé qui l’amène à étudier de nombreux projets de loi touchant, comme son nom le dit, d’autres dossiers concernant l’énergie et les ressources naturelles. Ce qui laisse moins de temps aux députés qui y siègent pour s’attarder aux dossiers agricoles.

« Le virage qui s’est amorcé en changeant la CAPA pour la CAPERN a fait en sorte que cette commission est devenue une commission très occupée, sans doute la plus occupée de toutes les commissions. D’ailleurs, je crains fort qu’on ne puisse toucher à l’agriculture d’ici à la fin de la présente session parlementaire, faute de temps », constate Pierre Paradis.

Et les consultations sur le livre vert, qui ont été mises sur la glace en septembre 2011 pour permettre à la Commission de se pencher sur d’autres dossiers, ne reprendront qu’à la mi-janvier 2012, en dehors du calendrier régulier de la CAPERN.

Le débat est lancé...

FIN DU TEXTE

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