De la "vomitoxine" dans le maïs-grain!

SÉRIEUX!! un peu de lait à la mélamine, avec ça!!!

http://www.laterre.ca/?action=detailNouvelle&menu=&section=manchette&idArticle=6777

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Toxines dans le maïs américain

www.laterre.ca
le 16 novembre 2009

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Pour la première fois, la Bourse de Chicago a émis des directives afin de limiter la proportion de vomitoxines qui peut être contenue dans le maïs qui sera livré aux acheteurs de contrats à terme.

Cette nouvelle règle vise à rassurer les acheteurs qui s’inquiètent de la détection de ces toxines dans certaines livraisons et aussi dans la drêche en provenance des usines d’éthanol.

« Nous sommes en discussion avec les producteurs, les clients et les autres et nous souhaitons en venir à un niveau de toxines acceptable cette semaine », a déclaré Mary Haffenberg, porte-parole de la Bourse, à Reuters le 16 novembre.

On ne connaît pas encore exactement l’ampleur du problème, mais une partie significative des régions productrices de maïs des États-Unis serait touchée. Certains affirment que le problème se limite surtout à des secteurs de l’Indiana à l’ouest de l’Ohio. D’autres dépêches indiquent cependant qu’une majeure partie de la région est du Corn Belt est concernée.

Rappelons que les vomitoxines, liées à un champignon qui se développe en condition humide, nuisent à la digestion et peuvent même provoquer des vomissements dès qu’une petite quantité se retrouve dans la moulée.

Tous les animaux ne réagissent pas de la même façon. Les bovins, par exemple, peuvent tolérer plus de toxines tandis que les porcs sont plus sensibles. Dans tous les cas, la proportion ne peut pas dépasser 10 ppm ou même moins selon les experts consultés.

Repositionnement
À moins que le maïs soit moins contaminé que prévu, la question des toxines va sans doute forcer un repositionnement des marchés. Il risque d’y avoir une segmentation en fonction de la présence de ces toxines et des primes pourraient devenir nécessaires pour obtenir du maïs de grade numéro 2 sans toxines. Cette catégorie de maïs risque d’être passablement rare cette année notamment à cause de la légèreté du grain. À l’inverse, des prix moins élevés que d’habitude pourraient voir le jour pour le maïs de moins bonne qualité.

Les usines d’éthanol, notamment, devront prendre une décision sur la qualité du grain qu’elles vont vouloir obtenir. Une qualité moindre à coût moins élevé pourrait devenir une option si les procédés le permettent. La présence de toxines affecte cependant aussi la drêche qui est un sous-produit important pour ces usines. C’est d’ailleurs la détection de vomitoxines dans la drêche qui a mis la puce à l’oreille de certains acheteurs la semaine dernière.

Bref, la fébrilité du marché continuera sans doute tant que le portrait de la situation ne sera pas beaucoup plus précis.

Jusqu’à maintenant, aucune toxine n’a été signalée dans le maïs québécois qui est toutefois plus léger qu’à la normale. On prévoit toutefois un important déficit de maïs au Québec cette année, évalué à environ 700 000 tonnes, et l’importation de maïs sera donc nécessaire.

FIN DU TEXTE

Commentaires: on va manger du porc et du boeuf engraissé aux toxines, mais juste un peu.... Juste assez pour ne pas être en mesure de prouver que la population peut devenir malade, soit par cancer ou autres, pour poursuivre les premiers responsables!!!!
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http://www.agrireseau.qc.ca/bovinslaitiers/documents/vomitoxines.pdf
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Finalement, la vomitoxine ne sera pas LIMITÉE!!

Et le maïs-grain des États-Unis va venir nourrir nos animaux au Québec!! Et après ça, ils se demandent pourquoi les animaux sont attaqués par la "maladie de la vache folle" ou encore que les éleveurs bovins et porcins sont obligés de leur donner toutes sortes d'antibiotiques et autres piqûres pour les faire engraisser le plus vite et le mieux possible!!

Et, après ça, on se nourrit de ces animaux!!!


http://www.laterre.ca/?action=detailNouvelle&menu=&section=manchette&idArticle=6804

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Les toxines du maïs-grain ne nourrissent pas juste les animaux! Voici que certains produits alimentaires AMÉRICAINS sont rappelés, puisqu'ils contiennent trop de toxines!!:

SUR LE SITE DE "CAPACADIE"!:
http://an.capacadie.com/canada/2009/12/11/mycotoxine-dans-des-cereales-melangees-pour-bebes-heinz

vendredi, 11 décembre, 2009

TITRE: Mycotoxine dans des céréales mélangées pour bébés Heinz


OTTAWA - L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) et Heinz Canada avisent la population de ne pas consommer les céréales mélangées pour bébés de marque Heinz décrites ci-dessous, qui pourraient contenir des concentrations élevées d'ochratoxine A (OTA).

Le produit visé, distribué à l'échelle nationale, est "Céréales mélangées pour bébés Heinz, étape 2, à partir de 6 mois", 227g, CUP 0 57000 02516 8, Codes: BB/MA 10 DE 26 et BB/MA 10 DE 29 (dans le coin supérieur gauche de l'emballage).

Aucun cas de maladie lié à la consommation de ce produit n'a été signalé, indique l'ACIA.

L'ochratoxine A est une mycotoxine produite par un champignon microscopique qui croît sur certaines cultures vivrières, comme les céréales, les raisins et les grains de café. L'ochratoxine A a été classée par le Centre international de recherche sur le cancer comme étant possiblement cancérigène.

Si vous avez chez vous des céréales portant le code de produit identifié ci-dessus, il ne faut pas les servir à l'enfant afin de réduire son exposition.

Cependant, si l'enfant a déjà consommé cet aliment, il n'est pas nécessaire de prendre d'autres mesures, estime l'ACIA. "Même la concentration la plus élevée d'ochratoxine A retrouvée dans le produit n'est pas suffisamment élevée pour poser un risque pour la santé lorsqu'il est consommé dans le cadre d'un régime alimentaire normal à court terme."

Heinz Canada retire volontairement le produit visé, sous la supervision de l'ACIA

FIN DU TEXTE

BON APPÉTIT! BONNES TOXINES!!
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Du maïs toxique, pour la consommation humaine!!!

Comme j'écrivais dans un autre fil, CES PRODUITS SONT INTERDITS DANS L'"UNION EUROPÉENNE"!!!!


http://www.ledevoir.com/societe/consommation/279305/ogm-trois-varietes-de-mais-monsanto-cultivees-au-canada-montrent-des-signes-de-toxicite-inquietants

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OGM: trois variétés de maïs Monsanto cultivées au Canada montrent des «signes de toxicité inquiétants»

par Fabien Deglise 14 décembre 2009 -- le journal "Le Devoir"

Toxiques, mais cultivés. Trois variétés de maïs génétiquement modifiées largement répandues sur la planète, y compris au Canada, comportent d'importants risques de toxicité.

C'est du moins ce qu'indique une étude menée par le Comité de recherche et d'information indépendant sur le génie génétique (CRIIGEN) en France. Les résultats de l'analyse viennent d'être publiés dans la dernière livraison de l'International Journal of Biological Sciences.

La révélation est d'autant plus percutante qu'elle a été faite par les scientifiques après une réévaluation des résultats d'études en laboratoire sur des rats, études fournies par la multinationale Monsanto pour l'approbation dans plusieurs pays européens des organismes génétiquement modifiés (OGM) désormais sur la sellette: le MON 810, MON 863 et le NK 603.

Or, assure le CRIIGEN, ces OGM ne sont pas sains et surtout pas assez sécuritaires «pour être commercialisés», a commenté Gilles-Éric Séralini, coauteur de l'étude et expert du Groupe d'évaluation des biotechnologies de l'Union européenne.

«Notre analyse révèle clairement, pour ces trois OGM, de nouveaux effets secondaires liés à [leur] consommation», peut-on lire dans l'étude qui évoque une toxicité perceptible sur le foie et les reins des animaux alimentés avec ces nouvelles formes de maïs. L'analyse met également en lumière d'autres effets délétères sur le coeur, les glandes surrénales, les cellules sanguines et la rate des mammifères exposés à ces organismes.

L'équipe de scientifiques s'est basée sur les études toxicologiques que Monsanto a fournies dans les dernières années aux autorités sanitaires de Suède, du Danemark et de l'Allemagne afin de démontrer l'innocuité de ces transgènes et obtenir du coup le droit de les commercialiser. Les données de ces expériences en laboratoire conduites sur les trois variétés de maïs ont été rendues publiques dans la foulée de démarches juridiques amorcées dans ces trois pays par des groupes environnementaux, dont Greenpeace. Le CRIIGEN a toujours prétendu que la méthodologie utilisée par la multinationale n'était pas la bonne.


Un recadrage méthodologique

Ces récentes découvertes, révélées aujourd'hui dans une publication scientifique reconnue, sont finalement le fait d'un recadrage méthodologique qui vient affiner «le niveau de précision» des effets sur les mammifères, précise le document. Au total, l'équipe a passé au crible 60 paramètres biochimiques mesurés sur plusieurs organes des rats nourris avec ces OGM pendant 14 semaines.

Par ailleurs, le comité de recherche estime que les «signes de toxicité inquiétants» livrés par cette contre-expertise des études de Monsanto démontrent «avec force» l'importance de poursuivre l'analyse toxicologique de ces organismes sur les êtres vivants, et ce, pendant une période plus longue, de plus de deux ans, peut-on lire dans l'étude.

À l'image de la plupart des OGM en circulation dans le monde, deux des trois maïs au coeur de cette étude ont été génétiquement améliorés afin de produire leur propre pesticide, et ce, pour se protéger seuls des parasites. Le MON 863 s'attaque par exemple à la chrysomèle, un prédateur qui s'attaque aux racines de la plante. Le MON 810, pour sa part, a été conçu pour éradiquer la pyrale du maïs. Quant au NK 603, il a été pensé pour résister au Roundup, le pesticide chimique vendu par Monsanto.

Malgré nos appels, il n'a pas été possible de parler à un représentant de la multinationale hier. Toutefois, dans un communiqué diffusé en novembre 2008, Monsanto réitère l'innocuité des maïs transgéniques MON 810 et NK 603, régulièrement montrés du doigt par des groupes opposés aux biotechnologies. Des groupes qui, «depuis des années, remettent en question la sécurité des cultures» d'OGM en faisant beaucoup d'allégations «fondées sur des données scientifiques prises hors contexte et des revues scientifiques qui manquent de rigueur», écrit l'entreprise américaine.

Le maïs MON 810 a obtenu le droit d'être commercialisé au Canada en 1997. Par la suite, en 2001 et 2003, les variétés MON 863 et NK 603 ont également reçu ce feu vert des autorités sanitaires. Cultivées un peu partout au pays, ces plantes se retrouvent principalement dans l'alimentation du bétail. Les nombreuses remises en question de leur innocuité n'ont, pour le moment, pas incité Santé Canada à revoir sa position sur ces trois transgènes commercialisés.

FIN DU TEXTE

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BON APPÉTIT!!! Un peu de blé d'Inde avec ça ??
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