Les freins à l'indépendance

J'ai noté deux aspects qui ralentissent et que je considère comme majeurs,mais il peut y en avoir d'autres.

-Victimes de notre succès.

Avant 1960 nous étions des nègres blancs d'Amérique sous un régime discriminatoire d'apartheid sur des bases ethniques.Nous étions sous-scolarisés par rapport à la minorité Anglo,plus faible revenu et impossibilité de faire des affaires autrement qu'en Anglais.

Dans les grandes entreprises aucun Franco ne faisait partie des conseils d'administration.

Suite à notre prise en charge économique et sociale,notre affirmation Nationale et l'imposition du Français,certains ne voient pas la nécéssité de finir le travail.

-Peur du grand saut

Nous avons tout fait.Pris des cours de parachutisme,nolisé l'avion,embauché le pilote,mais refusé de sauter deux fois.Nous sommes rentrés à l'aéroport en avion et penaud lors des deux référendum.

La prochaine fois sera la bonne.

Lamarche a écrit:

J'ai noté deux aspects qui ralentissent et que je considère comme majeurs,mais il peut y en avoir d'autres.

-Victimes de notre succès.

Avant 1960 nous étions des nègres blancs d'Amérique sous un régime discriminatoire d'apartheid sur des bases ethniques.Nous étions sous-scolarisés par rapport à la minorité Anglo,plus faible revenu et impossibilité de faire des affaires autrement qu'en Anglais.

Dans les grandes entreprises aucun Franco ne faisait partie des conseils d'administration.

Suite à notre prise en charge économique et sociale,notre affirmation Nationale et l'imposition du Français,certains ne voient pas la nécéssité de finir le travail.

-Peur du grand saut

Nous avons tout fait.Pris des cours de parachutage,nolisé l'avion,embauché le pilote,mais refusé de sauter deux fois.Nous sommes rentrés à l'aéroport en avion et penaud lors des deux référendum.

La prochaine fois sera la bonne.

Effectivement, une libération conditionnelle à un condamné, pourrait lui paraître céleste mais normalement ce sentiment ne dure qu'un certain temps. Il en veut plus +.

À moins que les «dominants» lui donnent des semblants de liberté au compte-goutte et lui fait accroire qu'il est libre mais ...que sa ligne téléphonique demeure tapé et que ses déplacements sont controlés à distance.

Pour ce qui est de la peur, elle est incontournable, Cher Prince.
Un dicton dit même que nos soldats porteraient des uniformes brunes pour ne pas montrer aux autres qu'il font dans leur froc.

Ça prends du courage pour faire la révolution , et pour la faire d'une façon tranquille alors là ça prends du temps, beaucoup de temps parfois trop... les troupes perdent le goût et se contentent du peu qu'il leur est alloué.

Bon, je te ré ré répète la phrase:

Je te laisse ma peur mon fils...et le courage de la surmonté (Fils de la LIberté)

Sénateur:

Citation :

Effectivement, une libération conditionnelle à un condamné, pourrait lui paraître céleste mais normalement ce sentiment ne dure qu'un certain temps. Il en veut plus +.

Pourtant la porte de la prison est belle et bien ouverte.Nous avons liquidé nos anciens maitres(PLC) parce-que trop abusifs,c'est bien.

Voilà que nos nouveaux maitres promettent de repeindre les barreaux de la cellule dont la porte est ouverte et certains s'en réjouissent bêtement.

Pour la peur,nos adversaires l'ont sur-utilisé avec succès dans le passé.Ils doivent le faire beaucoup subtilement maintenant,ça prend moins.Mais ça réussit encore dans une certaine mesure.

Mais en principe ce qu'ils en disent ne devrait pas être un facteur dans une décision qui revient à nous seul.

Lamarche

Citation :

Mais en principe ce qu'ils en disent ne devrait pas être un facteur dans une décision qui revient à nous seul.

En âme et conscience, Cher Prince, que pourrait être l'élément déclencheur qui mènerait à un ralliement complet des troupes

Car a tout t'avouer, vu de l'extérieur , il me semble toujours y avoir un grain de sable dans le système qui refroidit les ardeurs.

Au moindre petit pépin, c'est la pagaille...vu de l'extérieur.

Ma question est peut-être stupide ...si oui...retourne moi une réponse stupide

Sénateur a écrit:

Lamarche

Citation :

Mais en principe ce qu'ils en disent ne devrait pas être un facteur dans une décision qui revient à nous seul.

En âme et conscience, Cher Prince, que pourrait être l'élément déclencheur qui mènerait à un ralliement complet des troupes

Car a tout t'avouer, vu de l'extérieur , il me semble toujours y avoir un grain de sable dans le système qui refroidit les ardeurs.

Au moindre petit pépin, c'est la pagaille...vu de l'extérieur.

Ma question est peut-être stupide ...si oui...retourne moi une réponse stupide

J'ai une petite idée pour l'élément déclencheur mais personne m'écoute.

C'est bien vrai les menhirs et les poissons volent bas dans la zizanie du village Gaulois et il est légitime de se demander pourquoi.Y a pas de raison.

Lamarche a écrit:

Sénateur a écrit:

Lamarche

Citation :

Mais en principe ce qu'ils en disent ne devrait pas être un facteur dans une décision qui revient à nous seul.

En âme et conscience, Cher Prince, que pourrait être l'élément déclencheur qui mènerait à un ralliement complet des troupes

Car a tout t'avouer, vu de l'extérieur , il me semble toujours y avoir un grain de sable dans le système qui refroidit les ardeurs.

Au moindre petit pépin, c'est la pagaille...vu de l'extérieur.

Ma question est peut-être stupide ...si oui...retourne moi une réponse stupide

J'ai une petite idée pour l'élément déclencheur mais personne m'écoute.

C'est bien vrai les menhirs et les poissons volent bas dans la zizanie du village Gaulois et il est légitime de se demander pourquoi.Y a pas de raison.

Y,a un bonhomme l'autre jour qui disait à la télé. «Nous les gaulois on aime bien se chamailler entre nous ( genre se tirer la pipe ) mais si l'un des nôtres est attaqué... on réplique tous pour le défendre.
Donc il faudrait parfoirs faire fi des tirages de pipes entre vous , gaulois, et ne pas changer les choses en cours de route, et espérer qu'au jour J , tout le monde se rallie.

Ça tu du sens, mon discours

mais , crache ton idée sur l'élément déclencheur.

Je suis toute ouie, Cher Prince

P.S.: T'es partie voir les Simpsons, mon chinois !

OK, je m'en vais voir les nouvelles RDI

Sénateur:

Citation :

mais , crache ton idée sur l'élément déclencheur.

Je suis toute ouie, Cher Prince

Il y a encore des représentations à faire en huis clos.

Donc,on verra,peut-être plus tard,si les circonstances s'y prêtent dans un avenir plus au moins éloigné et lorsque les conditions gagnantes seront réunies.

Rien n'est impossible,tout devient possible,à partir d'un certain point on ne peut revenir en arrière c'est ce point qu'il faut atteindre,asta la vista,c'est la vie,que voulez-vous,un jour à la fois,qui vivra verra,on verra,peut-être,sait-on jamais.En attendant je ne parlerai qu'en présence de mon avocat.

Parlant de cracher,il était temps que tu craches ton Prince de l'Acadie,ça faisait un bon bout de temps que j'attendais tu t'auto-proclames avant de le sortir.

Lamarche a écrit:

...C'est bien vrai les menhirs et les poissons volent bas dans la zizanie du village Gaulois et il est légitime de se demander pourquoi.Y a pas de raison.

Je crois que les gaulois tireront toujours des menhirs et des poissons. Je les aime bien ainsi. Yaurait peut-être besoin que les tirs produisent des résultats plus positifs (e.g. ne pas s'autodétruire), ne pas se diviser pour des niaiseries, avoir de meilleures cibles, etc... On avait autrefois d'excellentes cibles et ces cibles ont changé. Faudrait mieux le reconnaitre.

Faut pas oublier non plus les banquets. On en avait de bons autrefois. La nature des banquets a changé elle aussi. Faudrait mieux le reconnaitre.

Pis l'élément "déclancheur" lui on écoute

gaulois a écrit:

Lamarche a écrit:

...C'est bien vrai les menhirs et les poissons volent bas dans la zizanie du village Gaulois et il est légitime de se demander pourquoi.Y a pas de raison.

Je crois que les gaulois tireront toujours des menhirs et des poissons. Je les aime bien ainsi. Yaurait peut-être besoin que les tirs produisent des résultats plus positifs (e.g. ne pas s'autodétruire), ne pas se diviser pour des niaiseries, avoir de meilleures cibles, etc... On avait autrefois d'excellentes cibles et ces cibles ont changé. Faudrait mieux le reconnaitre.

Faut pas oublier non plus les banquets. On en avait de bons autrefois. La nature des banquets a changé elle aussi. Faudrait mieux le reconnaitre.

Pis l'élément "déclancheur" lui on écoute

Pour l'élément déclencheur auquel je pense,je te réfère au paragraphe qui commence par:''rien n'est impossible'',donc patience,patience,ça pourrait être moins long que tu penses.

Pour la zizanie,j'adhère pas mal à ta thèse et vivement le banquet du Grand Soir.

Un beau poème datant de la crise d'octobre que je vient de découvrir:

Citation :

Le temps des vivants

Que finisse le temps de victimes
Passe, passe le temps des abîmes
Il faut surtout pour faire un mort
Du sang, des nerfs et quelques os

Que finisse le temps des taudis
Passe, passe le temps des maudits
Il faut du temps pour faire l'amour
Et de l'argent pour les amants

Vienne vienne le temps des vivants
Le vrai visage de notre histoire
Vienne vienne les temps des victoires
Et le soleil dans nos mémoires

Ce vent qui passe dans nos espaces
C'est le grand vent d'un long désir
Qui ne veut vraiment pas mourir
Avant d'avoir vu l'avenir

Que finisse le temps des perdants
Passe passe le temps inquiétant
Un feu de vie chante en nos coeurs
Qui brûlera tous nos malheurs

Que finisse le temps des mystères
Passe passe le temps des misères
Les éclairs blancs de nos amours
Éclateront au flanc du jour

Vienne vienne le temps des passions
La liberté qu'on imagine
Vienne vienne le temps du délire
Et des artères qui chavirent

Un sang nouveau se lève en nous
Qui réunit les vieux murmures
Il faut pour faire un rêve aussi
Un coeur au corps et un pays

Que finissent le temps des prisons
Passe passe le temps des barreaux
Que finissent le temps des esclaves
Passe passe le temps des bourreaux

Je préfère l'indépendance
À la prudence de leur troupeau
C'est fini le temps des malchances
Notre espoir est un oiseau

- Gilbert Langevin, octobre 1970

Merci Gentilhomme.Il y a plusieurs éléments dans ce poème qui se retrouvent dans nos commentaires juste avant.