Ca brasse en Acadie

OK le NewBee est supposé être une province "bilingue". Elle est la seule hors-Québec à compter certains noyaux francophones toujours vivants au moins selon ce qu'on peut observer sur leur Net et médias. Selon une nouvelle du Globe, la Cour Suprême vient de répudier un appel pour fournir les services en français au nouveau municipal.

Le Canard n'a jamais été un grand fervent du "bilinguisme officiel", du moins comme priorité par rapport à la prise en charge de nos médias et de nos instances démocratiques. Mais me semble... Seront-ils les prochains à tomber, eux qui se sont maintenus aussi longtemps malgré toute l'adversité dont ils ont souffert? Peut-être que si nos médias et instances démocratiques n'étaient pas aussi bidonnés, pourrions-nous mieux réagir? Mais où sont les Francophones?

Veuillez noter que la SRC n'a pas jugé bon au moment de parution par le Canard de porter cette nouvelle à la Une nationale. La nouvelle est disponible "en région". On attend peut-être la décision du bureau-chef de la Tutelle ainsi que la transparence et la reddition des comptes.

gaulois a écrit:

OK le NewBee est supposé être une province "bilingue". Elle est la seule hors-Québec à compter certains noyaux francophones toujours vivants au moins selon ce qu'on peut observer sur leur Net et médias. Selon une nouvelle du Globe, la Cour Suprême vient de répudier un appel pour fournir les services en français au nouveau municipal.

Le Canard n'a jamais été un grand fervent du "bilinguisme officiel", du moins comme priorité par rapport à la prise en charge de nos médias et de nos instances démocratiques. Mais me semble... Seront-ils les prochains à tomber, eux qui se sont maintenus aussi longtemps malgré toute l'adversité dont ils ont souffert? Peut-être que si nos médias et instances démocratiques n'étaient pas aussi bidonnés, pourrions-nous mieux réagir? Mais où sont les Francophones?

Veuillez noter que la SRC n'a pas jugé bon au moment de parution par le Canard de porter cette nouvelle à la Une nationale. La nouvelle est disponible "en région". On attend peut-être la décision du bureau-chef de la Tutelle ainsi que la transparence et la reddition des comptes.

Comme je le mentionnais dans un autre message, gaulois, la Loi 88 du Nouveau-Brunswick sur les langues n'a jamais été testé en cour. il nous faudra le faire si l'on veut vraiment savoir si cette loi à des dents.

C'est vrai que ça brasse en Acadie et un gros merci aux ex-québécois qui ont le guts qui nous manque. Les véritables McCoy , ont peu les compter sur les doigts de la main. Nous avons beaucoup d'exemple de défense de notre langue effectué par des ex-québécois.

Le modèle du cheminement autochtone me semble tellement pertinent, l'apathie, "substance abuse", perte de confiance, désengagement, la négation, le problème des "vendus", etc... Devrait y avoir moyen de se réveiller...

gaulois a écrit:

Le modèle du cheminement autochtone me semble tellement pertinent, l'apathie, "substance abuse", perte de confiance, désengagement, la négation, le problème des "vendus", etc... Devrait y avoir moyen de se réveiller...

Je le répète, j'aime bien ton approche concernant notre cause au Canada et ce que tu suggère comme cheminement. Mais comme tu constates ton message sur l'autre site est resté lettre morte.

Et c'est toujours comme ça, on débute qq chose puis la populace se cache mais ils s'attendent à des résultats. Drôle d'attitude. Mais j'ai ma petite idée la-dessus et je dit Soumis un jour, soumis toujours.

Le gros party le 15 août puis ...on attends l'autre 15 août.
Si tu étudie à fond notre histoire, on a jamais pêter le feu. Je préfère me taire ...pour l'instant car j'ai l'impression qu'une montée de lait est dans l'air.

Sénateur a écrit:

Soumis un jour, soumis toujours.

Il y a des exceptions mais une exception ne fait pas la règle.Vraiment?

Si on peut comprendre comment certains groupes autochtones ont réussi à se sortir du pétrin, peut-être pouvons nous faire de même? Je rumine maintenant depuis six mois un article portant sur "Comment vaincre l'apathie". L'autre porte sur "Le guide de survie du francophone hors-Québec". L'anglais sera utilisé dans les deux cas à des fins de "figure de style" ou de contre-culture.