Voir les conférences de presse de différents groupes contre les "schistes": gaz et pétrole, en cette première journée (année) contre la fracturation, où plusieurs pays ont déclaré le 22 septembre de chaque année comme "JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LA FRACTURATION":
Différentes conférences de presse:
http://eausecours.org/2012/09/conference-de-presse-du-regroupement-interregional-gaz-de-schiste-de-la-vallee-du-saint-laurent/
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l'annonce de la nouvelle:
http://www.lanouvelle.net/Societe/Environnement/2012-09-24/article-3081790/Premiere-Journee-internationale-contre-la-fracturation/1
EXTRAIT:
Première Journée internationale contre la fracturationPublié le 24 Septembre 2012
Publié le 24 Septembre 2012
Un moratoire doit inclure le pétrole et le gaz de schiste partout au Québec
De concert avec de nombreux mouvements citoyens dans plusieurs pays sur la planète, le Regroupement interrégional gaz de schiste de la vallée du Saint-Laurent (RIGSVSL), l’initiative citoyenne Non à une marée noire dans le Saint-Laurent, ainsi que l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA), la Coalition Eau secours, Alternatives et le Collectif scientifique sur la question du gaz de schiste ont souligné ensemble la première Journée internationale contre la fracturation, tant pour le pétrole que le gaz.
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À propos de la première Journée internationale contre la fracturation
La première Journée internationale contre la fracturation
http://www.globalfrackdown.org
a été officialisée suite au Sommet des peuples, qui s’est déroulé en juin dernier, en parallèle à la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20). Les groupes locaux, régionaux et nationaux des États-Unis avaient identifié la date du 22 septembre pour organiser une Journée nationale anti-fracturation et se mobiliser face aux campagnes de relations publiques de l’industrie pétrolière et gazière.
Par la suite, des groupes environnementaux, sociaux et les mouvements citoyens partout à travers le monde ont décidé d’agir et d’en faire une Journée mondiale. Au total, plus de 150 évènements ont eu lieu dans 21 pays et 5 continents. Partout le message aux gouvernements est le même: «le futur doit faire place aux énergies propres et non aux énergies sales, polluantes et fossiles».
La liste des organisations partenaires pour la Journée internationale contre la fracturation est disponible au
http://www.globalfrackdown.org/global-frackdown-endorsers
FIN DE L'EXTRAIT
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Selon l'AQLPA (Association Québécoise de Lutte contre la Pollution Atmosphérique), dont M. André Bélisle en est le président, le Québec a montré la voie à plusieurs pays pour contester les gaz de schiste:
http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/359887/gaz-de-schiste-l-exemple-quebecois
EXTRAIT:
Le Québec a donné l’exemple à un grand nombre de pays qui se sont mobilisés, samedi, contre l’industrie des gaz de schiste, se réjouit André Bélisle de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) au lendemain de la toute première journée internationale contre la fracturation hydraulique.
« Il y a beaucoup de pays, dont la France, qui se sont inspirés de ce qui s’est passé au Québec », affirme l’environnementaliste qui a été le tout premier au Québec à lever le voile sur les dangers liés à l’industrie du gaz de schiste et à réclamer un moratoire. « Ils ont vu la résistance qui se faisait ici, au Québec, et ça s’est répandu comme une traînée de poudre. »
Le Québec - et plus particulièrement l’AQLPA - a également été un acteur de premier plan dans la concrétisation d’un réseau de résistance mondiale aux gaz de schiste.
C’est à Rio, pendant le Sommet des peuples qui se déroulait en parallèle à la conférence Rio + 20 des Nations unies au mois de juin, que se sont rencontrés une poignée de groupes québécois, européens et américains pour faire du 22 septembre la journée internationale contre la fracturation hydraulique. Grâce au Web, ils ont été chercher des appuis un peu partout sur la planète et quelque 40 pays ont participé samedi à cette journée de lutte mondiale.
« La communauté internationale se réveille suite à la stratégie internationale des gazières et pétrolières de prendre tout le monde de vitesse, incluant les gouvernements et les citoyens, au mépris même de leur sécurité », affirme André Bélisle.FIN DE L'EXTRAIT
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