L'ACADIE se meurt ??

Un texte un peu pathétique, mais jusqu'à quel point vrai ??

http://letoile.jminforme.ca/opinion/article/1428611

EXTRAIT:

Un peu comme on lance une bouteille à la mer dans l'espoir que quelqu'un la trouvera, voici un cri du coeur alors que la saison estivale bat son plein : notre Acadie se meurt...

Notre Acadie se meurt parce qu'elle rétrécit comme peau de chagrin. Les écoles des petites communautés se vident quand elles ne ferment pas complètement, alors que d'autres obtiennent un sursis qui ne servira qu'à retarder l'inévitable.

Notre Acadie se meurt. De nombreux événements culturels sont en péril, faute de financement. Le festival international de musique baroque de Lamèque a besoin de 30 000 $ d'ici la fin septembre à défaut de quoi la 37e édition de ce festival unique en Acadie n'aura pas lieu. Le festival Caraquet en bleu et le Festival des arts visuel en Atlantique sont annulés ou reportés. Le spectacle Louis Mailloux est offert dans une salle à moitié vide.

Notre Acadie se meurt. Des organismes sans but lucratif reçoivent de moins en moins de financement et leur existence même s'en trouve menacée. Le gouvernement fédéral, principal bailleur de fonds de ces organismes, n'a pas augmenté l'enveloppe de financement depuis les dix dernières années, nonobstant le nombre accru d'organismes demandeurs et l'indexation du coût de la vie.

Notre Acadie se meurt. L'Université de Moncton se retrouve trop souvent aux prises avec des querelles internes et ce sont les étudiants qui en paient inévitablement le prix. On n'a qu'à penser au conflit relatif à la retraite obligatoire ou encore à celui plus récent, lié à la nomination au vice-rectorat aux affaires étudiantes et internationales. Dans les deux cas, ces guerres intestines qui auraient pu être évitées laisseront des cicatrices profondes et durables.

Notre Acadie se meurt. Notre seul quotidien francophone, l'Acadie Nouvelle, se voit encore une fois obligé d'effectuer des compressions douloureuses en raison de difficultés financières. Des cadres voient leur semaine de travail amputée de deux jours, des employés perdront leur emploi sous peu.

FIN DE L'EXTRAIT
.

Alarmiste, tout simplement.

Un suivi financier plus serré au Festival International de Musique Baroque fera la job. Je connais le dossier à fond.

Le spectacle de Louis Mailloux est dans sa deuxième saison, normal que l'assistance diminue.


Les coupures Harpernistes dans la Culture ont autant d'effet sur nos organismes culturelles qu'ailleurs. Innovation financière s'impose.


Les problèmes mentionnés à L'Université de Moncton sont d'ordre syndicale et /ou dicdatoriale.


Et finalement, les problèmes finnanciers au quotidien l'Acadie Nouvelle suivent la tendance universelle et des corrections sont déjà en place pour contrer l'effet «web» sur les journaux.

L'Acadie se meurt, vous dites, l'on entend ce discours depuis 1604.

Toujours vivant comme dirait l'autre.

Voir l'article de Jean-Marie Nadeau (NOTE: selon mes dernières connaissances dans le domaine --suis-je à jour ?? -- JM Nadeau travaille pour un conglomérat concurrent ==Irving== de l'Acadie Nouvelle... l'Acadie Nouvelle, qui est le seul média écrit INDÉPENDANT ACADIEN, au Nouveau-Brunswick, faisait état dernièrement de difficultés financières.... mais IRVING peut se permettre d'avoir des médias écrits à perte, avec tous ses milliards de profits dans le pétrole et autres... En passant, on dirait que JM Nadeau dénonce la chose qu'il fait lui-même: FAITES CE QUE JE DIS, PAS CE QUE JE FAIS...)

http://letoile.jminforme.ca/editorial/article/1430432

TITRE: Inquiétudes en la demeure!

COPIE:


Un ami déclarait dernièrement que la fête nationale de l'Acadie devrait se tenir 364 jours par année, et que le 15 août devrait être un jour de repos. Il est à se demander s'il n'avait pas raison. On aurait pu intituler cette chronique «péril en la demeure», mais on a voulu ne pas être trop «alarmiste», même si plusieurs signes avant-coureurs sont inquiétants, comme on le verra dans cette chronique. Mais heureusement, d'autres signes viennent compenser en partie ces appréhensions.

Pour la première fois de notre histoire, Statistique Canada considère que seulement près de 29,5 % des Acadiens du Nouveau-Brunswick parlent principalement le français à la maison. C'est donc la première fois que l'on passe sous la barre des 30 %. Pour la première fois de notre histoire, Statistique Canada considère que seulement près de 29,5 % des Acadiens du Nouveau-Brunswick parlent principalement le français à la maison. C'est donc la première fois que l'on passe sous la barre des 30 %. Par ailleurs, le taux d'assimilation a augmenté à 11 %, au lieu des traditionnels 9 % qu'on met en évidence depuis plus de 20 ans. Il y a des raisons de s'inquiéter...sauf pour certains anglophones réactionnaires qui verront ces chiffres comme une bonne nouvelle. De telles statistiques sont très dures sur le moral du leadership acadien.

De tels chiffres montrent aussi clairement que c'est le français au Canada et au Nouveau-Brunswick qui est en péril. Malgré tous les efforts que nous déployons pour prendre notre place, on perd malheureusement du terrain sur le plan linguistique. Encore aujourd'hui, on a plus de 1650 enfants ayants droit au Nouveau-Brunswick qui n'ont pas accès à l'école francophone (650 dans la région de Saint-Jean, 500 à Moncton et 500 à Fredericton). On est en droit de s'attendre à une levée de boucliers de la part des Acadiens et ce n'est pas le cas pour le moment! Pourtant, ces enfants, orphelins d'écoles françaises, proviennent de toute la province.

Trop souvent, dans notre communauté, on adopte une approche conciliante et indifférente quand notre région immédiate n'est pas directement affectée. Il est vrai par exemple que la Péninsule acadienne et le Madawaska n'ont pas de problèmes d'assimilation chez eux. Mais ils ont de gros problèmes d'exode, ce qui n'est pas mieux...parmi d'autres problèmes d'ailleurs, dont économiques. L'article 23 qui nous donne le droit à l'éducation en français s'applique aussi aux régions majoritairement francophones. Sans l'appui actif de la Péninsule acadienne et du Madawaska, on n'accèdera pas à nos pleins droits en éducation en français. On est tous dans le même bateau dans ce dossier-là...

On doit se réjouir collectivement des deux dernières décisions gouvernementales, soient celle du moratoire sur les fermetures d'écoles et celle de ne pas imposer d'autres compressions de 2 % dans les districts scolaires l'an prochain. Soyons clairs : sans une certaine mobilisation populaire de nos communautés au printemps passé, y compris de la Péninsule acadienne et du Madawaska, on n'aurait pas pu gagner ces batailles. La mobilisation populaire, la plus permanente possible, demeure notre principal outil d'avancement de notre communauté. On doit continuellement rester alertes, vigilants et rigoureux dans notre approche.

Il faut que nos compatriotes anglophones comprennent qu'on ne veut pas seulement avoir des droits, mais qu'on veut aussi assumer les responsabilités et les obligations qu'entraînent la dotation de ces droits. Il y aura sous peu des consultations sur l'élection des membres des conseils d'administration des régies de santé. On croit qu'il devrait y avoir au moins 10 élus sur 15 membres de ces conseils. On pense que nos communautés francophones en situation minoritaire devraient surtout se rattacher à la régie francophone ou, à tout le moins, avoir au moins un élu dans chacune des deux régies. Cela devrait aussi entraîner l'élection d'un anglophone bilingue à la régie francophone. C'est une question d'être cohérent quand on réclame la gouvernance acadienne, comme en éducation.

Malgré les quelques propos pessimistes énoncés plus haut, on doit malgré tout fêter grandement cette journée nationale, pourvu que l'on fasse de cette journée de répit un pont avant de mieux s'assumer collectivement par la suite, et à longueur d'année. Un des gestes militants le plus importants à poser serait justement de répondre favorablement à l'appel de la direction de l'Acadie Nouvelle de s'abonner.

Tous les travailleurs et fonctionnaires fédéraux, provinciaux, municipaux, scolaires et universitaires devraient se faire un devoir individuel de s'abonner. On ne peut plus accepter la justification de ne pas s'abonner individuellement sous prétexte que le journal est disponible au bureau : c'est même une aberration. On doit soutenir aussi tous les médias francophones, dont aussi appuyer et lire L'Étoile. On n'aura jamais assez de médias francophones dans cette mer nord-américaine de médias anglophones.

On aime cette Acadie qui fait en grande partie ce que le Nouveau-Brunswick est et a de différent et de spécifique. Plusieurs de nos compatriotes anglophones, dont le premier ministre Alward, il me semble, comprennent de mieux en mieux cette réalité. La communauté acadienne ne demande pas de traitement de faveur. Elle n'aspire qu'à un traitement équivalent, égalitaire et équitable qui lui permettrait de s'épanouir et de se développer pleinement.

On ne peut pas se permettre la naïveté et la nonchalance quand on est une communauté comme la nôtre. Notre destin est parsemé d'embuches qui nous condamnent à la vigilance. Ce n'est pas que nos collègues anglophones soient nécessairement des monstres en partant : c'est une réalité objective, presque mathématique! Vivre en situation minoritaire est un état permanent de déstabilisation. Et c'est dans sa façon de bien vivre dans une certaine adversité qu'un peuple définit mieux sa grandeur. On croit encore à la grandeur du peuple acadien et on est fiers d'en être les fiduciaires.

Mais, grouillons-nous le «popotin»! Bonne fête nationale à tous les Acadiens et aux anglophones qui nous prennent pour ce qu'on est tout simplement, à savoir une véritable communauté linguistique égalitaire!


Jean-Marie Nadeau est auteur, consultant en communications, militant acadien, ancien candidat du NPD et actuel président de la Société de l'Acadie du N.-B. L'opinion émise dans cette chronique n'engage que l'auteur. M. Nadeau peut être joint à l'adresse suivante : jmacadie@nb.sympatico.ca

FIN DU TEXTE
.

Le verre est-il moitié plein ou est-il moitié vide ?

Vivre sa francophonie en Amérique a toujours été et sera toujours « hasardeux». Rien de nouveau sous le ciel canadien et ce il y a belle lurette que je l'ai pigé.

Et l'Acadie ne saurait se soustraire a ce fait «canadian».

Pour vivre en français, il te faudra te battre jusqu'a la mort. Tes droits tu les revendiqueras constamment sinon on te les enlèveras.
Premier commandement que nous appliquons à la lettre en tant que peuple.

Ah bien sur il y a des lacheux comme z'Eux . Pourquoi c'est faire qu'ils avont caillé tout d'un coup ,les faignants , comme dirait Pélagie la Charette.

Nos luttes, elles rapportent, car nos gouvernements ont par deux fois au cours de la dernière année allongée, reculé dans leur intentions de nous en imposer. Un pas arrière dans le domaine de la santé et un deuxieme recul , dans le domaine scolaire.

On a raison de fêter encore une fois cette Acadie et Merde au roi d'Angleterre.

Bonne Fête Nationale!

Oui monsieur! Lundi le 15 août. C'est congé férié au N.B.?

Autre question. Là ou le nombre le justifie, le donneur de service emploi t-il la fameuse technique du HI-Bonjour pour savoir la langue du client et faire la transaction dans sa langue ?

À Montréal, vers l'ouest, ça fonctionne assez bien, sauf pour une fois sur 10 ou sur 20 environs ou on a à faire à un petit baveux.

Justement, avant hier, dans un ultramar. Le petit baveux m'aborde avec seulement hi, je répond bonjour,

il me dit le prix en anglais.

À la fin je dis un merci bien articulé, ça lui donne sa dernière chance de switcher dans ma langue. Il termine avec un tank you have a nice day. J'ai eu droit à mon merci seulement après une plainte directement au petit baveux.

Le petit baveux n'était pas complètement unilingue anglais. Qu'on ne se trompe pas. Dans ses fonctions, savoir les chiffres de un à 100, de savoir dire bonjour et merci, c'est quand même pas de lui demander de savoir écrire un roman de 1000 pages en français.

Un voyage dans le temps à l'Ultramort. Ça vaudrait bien une diffusion blogue virale, aka la tolérance 0 en 2011???

Faut dire qu'être 300 millions sur un territoire ça change pas le monde sauf que...

Faut voir le touriste Ontarien sur de lui entrer dans une station service, disons de Trois-Rivières (95% franco), avec son gros HI gras et la petite caissière qui se fend en 4 dans la langue du client.

Essayez-vous de remonter le piton du Sénateur? Ça descend le mien.

Je suis plus à tenter de me crinquer le propre piton. C'est au plus bas depuis le 2 mai et la crise au PQ.

Sénateur@Co à la crinque citoyens

gaulois a écrit:

Sénateur@Co à la crinque citoyens

Dans le sens de « remonter le moral, requinquer.» Yes Sir!

Requinque
Requinquons
Requinquez

Pas loin de requiem dans le dictionnaire: 1 . CATH prière pour les morts 2. Musique composée sur cette prière.

A ne pas confondre non plus avec Tank, Tankons et Tankez pour les poètes maudits (et un oui-bitte anglicisé).

Je rédige un article ce matin intitulé "Les éléphants dans le salon" sur la langue et la culture. Quec'chose à voir également avec l'argent, le pouvoir et le vote ethnique

gaulois a écrit:

Pas loin de requiem dans le dictionnaire: 1 . CATH prière pour les morts 2. Musique composée sur cette prière.

A ne pas confondre non plus avec Tank, Tankons et Tankez pour les poètes maudits (et un oui-bitte anglicisé).

Je rédige un article ce matin intitulé "Les éléphants dans le salon" sur la langue et la culture. Quec'chose à voir également avec l'argent, le pouvoir et le vote ethnique

Tu nous le fera lire.

Revenant au «requinquage» et la force de l'optimisme, voici un texte trouvé dans mon journal ce matin et qui est de mise. Je ne le traduis pas de crainte de perdre l'esprit du texte.

«The glass is neither half-full, nor half-empty. It's all the way filled and brimming over. Sure, some of the content is water, and some of it is air., but both are necessary to live. This is the way the true optimist sees things.»

Et Vive L'Acadie

15 août. Bonne fête!

Ayez un maudit bon party!

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Les éléphants dans le salon … funéraire

Re: Culture, langue et identité en milieu minoritaire


Un éléphant prend beaucoup de place dans un salon. Les gens hésitent
généralement à en faire cas. Juste au cas où justement l’éléphant
déciderait de changer de place et aller en écraser d’autres,
particulièrement soi ou ses proches. La situation ne s’améliore pas
lorsqu’il y a plus d’un éléphant. Au risque de ne plus avoir personne
dans le salon, outre ceux qui ne sont plus capables de le quitter.
Jeunes et nouveaux arrivants s’en absenteront volontiers.

Les salons funéraires n’y font pas exception. De plus, les gens y parlent à
voix basse et personne ne s’y exprime publiquement. Un officiel
veillera au protocole et un petit discours sur les mérites du disparu(e)
sera prononcé à la fermeture du salon. Tout le monde il est beau, tout
le monde il est gentil, et les gens y portent leurs plus beaux habits.
Tante rectitude et oncle stoïcisme s’assureront du reste. Il ne faudrait
certes pas déranger l’ (les) éléphant (s) du salon ou, pire encore,
perdre la face. Les écarts sont rares et la personne qui dérange sera
vite escortée. Les proches qui risqueraient d’être agités seront
médicamentés au préalable. Le cabinet à boisson restera bien barré. Les
gens s’interrogeront peut-être sur qui sera le prochain pour qui le glas
sonnera, à en juger par la mine basse de certains dans le salon. Jeunes
et nouveaux arrivants (ne connaissant souvent pas le défunt) se
tiendront loin d’une scène de telle morbidité. Il y a bien sûr la
chronique de nécrologie pour les curieux dans les médias.

Parlant de scène de grande morbidité, je me retrouvais récemment à prendre intérêt à une nouvelle intitulée “Appartenir à une minorité linguistique peut nuire à la santé, selon des chercheurs”. Les
membres des communautés minoritaires francophones (et anglophones)
auraient apparemment une moins bonne santé que la population
majoritaire, selon deux chercheurs de l'Université d'Ottawa. Une
spécialiste en santé des populations expliquait par des “conditions de
vie moins bonnes”, des “problèmes de communications”, des difficultés
d’accès aux services de santé, le vieillissement des populations, ainsi
que des problèmes d’éducation et de salaire. Bouleversé, je m’empressai
de commenter en ligne cette terrible nouvelle de notre diffuseur public,
pour découvrir que j’étais le seul vivant en milieu minoritaire
hors-Québec à la commenter? Je me suis alors interrogé sur cette
histoire de salon funéraire, de bon protocole … et d’éléphants occupant
les lieux.

La morbidité ne date pas d’hier et le grand souverainiste québécois René Lévesque avait jadis parlé de “dead ducks”
pour décrire le déclin du français hors-Québec. Ce qui avait bien sûr
remué les chaumières à l’époque. Près de 20 ans plus tard, Jean Chrétien
décrivait devant une assemblée de la francophonie canadienne
l’assimilation comme un “simple fait de la vie”, hochement des épaules à l’appui: “Que voulez-vous donc qu’on y fasse?
stoïque comme pas un! Plus récemment dans une sortie fracassante qu’il
regrette probablement, Gilles Duceppe invoquait ce déclin du français
hors-Québec pour convaincre les Québécois de l’urgence de la séparation,
cela après cette méchante raclée électorale. Tante Madeleine le
reprenait en disant que mononcle Méo ne se portait pas si mal, ce sur
quoi un neveu ajoutait le bémol: mononcle Méo ne va pas bien en effet.
Et des cousins du Vermont qui s’agitaient aux dernières nouvelles de
famille. Les grands moments d’émotion donnent certes lieu à de grands
écarts dans le salon funéraire!

Prenez cette sortie de Jacques Parizeau le soir du référendum, celui qui a passé si proche. Le
cabinet à boisson n’était probablement pas barré et l’illustre
ex-banquier y allait de son explication du pouvoir, de l’argent et du
vote ethnique au sujet des faits de la vie. Les chaumières ne s’en sont
jamais remises. Cela dit, je me demande si les éléphants de Parizeau
expliquent toujours le grand silence qui sévit bien au-delà du Québec.
Mais le pouvoir, l’argent et l’ethnicité n’ont plus la mine qu’ils
avaient. Quitteront-ils un jour le salon funéraire pour laisser de la
place? Peut-être qu’on pourra alors avoir un maudit bon party
d’enterrement. Espérons même que le prochain à trépasser sera un de ces
misérables éléphants de cirque qui ne demande pourtant pas mieux.
Mononcle Méo : lâchez nous pas avant cela et matante Madeleine, allez
donc voir ce qui se passe au cabinet à boisson!


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Vigile à l'affût! http://www.vigile.net/Les-elephants-dans-le-salon

La polémique se continue: http://letoile.jminforme.ca/pageune/article/1432322

PS Dose un peu trop toxique dans l'article des éléphants dans le salon?

Tu n'es pas le seul à t'interroger Gaulois. Pour te consoler du manque de réponses, j'ai rit quelques coups en lisant ton éléphant.

En voyant dans ton lien le 30% d'Acadiens parlant français à la maison, ma question sur les services en français au dépanneur ou ailleurs restant sans réponse, je me demande si je ne me suis pas fais

le gros cochon avec buffet à volonté posant une question alimentaire à un autre avec son bol de patates du N.B. Y doit au moins y avoir du homard de temps en temps au menu?

Me répondant à moi-même, même si ça fait proche de 10 ans que je n'ai pas été en Acadie, ma souvenance est de m'être fait servir dans ma langue.

...là ou le nombre le justifie.

Pas sûr que mon texte va lui (i.e. le Sénateur) requinquer le piton.

Après que Chantal Hébert reprenne la métaphore de l'éléphant dans son dernier édito (elle est sur mon envoi "courrier de lecteur" bcc). j'avais espoir que le Devoir publierait sous la section "Idées" en fin de semaine mais va probablement falloir que j'écrive des textes plus requinquants. Voir http://www.thestar.com/news/canada/politics/article/1040877

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