Ouragan Gustav

Denis Baggi a écrit:

Roy, j'espère que tout va bien dans tes environs. Si j'ai bien compris, Gustav est passé exactement sur Houma, en partant par Cocodrie (est-là que tu m'as porté, ce petit port de pêcheurs?), Dulac, le bayou Mandalay, et au nord par Thibodaux, et Morgan City à l'ouest.

Tu me corrigeras si je me trompe, et fais savoir à nous tous comment tu as survécu. Je suis sûr que beaucoup d'entre nous ont pensé à toi.

Avec amitié, Denis

J'appuie cette demande...

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AJOUT, 1 heure plus tard, environ:

En espérant que ce n'était pas la maison où logeait Roy:
http://www.cyberpresse.ca/article/20080902/CPMONDE/80902301/5024/CPDMINUTE

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Le mardi 02 septembre 2008


Gustav: scènes de désolation dans un village du pays cajun


Voir la photo sur le site intern:
Une maison détruite dans le village de Houma. --
Photo Reuters

par l'Agence France-Presse -- Houma

Arbres déracinés, poteaux à terre, voitures écrasées sous le toit des garages, les dégâts causés par l'ouragan Gustav dans le village d'Houma témoignaient mardi de la violence des vents qui avaient soufflé la veille sur la Louisiane.

Dans les rues de cette petite bourgade du pays cajun, à une centaine de kilomètres de La Nouvelle-Orléans, les voitures devaient slalomer entre les arbres déracinés et les poteaux électriques et téléphoniques jetés à terre par la force des rafales, ont constaté des journalistes de l'AFP sur place.

Plusieurs stations-service avaient particulièrement souffert. Les pompes à essence étaient renversées et des tôles ondulées recouvrant des appentis recouvraient le sol.

Plus loin, des distributeurs de boissons avaient été projetés au sol. Aucune habitation n'avait été emportée par l'ouragan mais un arbre était tombé sur une maison et des garages défoncés avaient écrasé les voitures qu'ils abritaient.

Dans le petit cimetière du village, des croix arrachées par le vent gisaient près de tombes. Les portes des entrepôts voisins étaient complètement défoncées et rejetées à l'intérieur des bâtiments.

À Terrebonne, village jumeau de Houma, les vitrines des magasins qui n'avaient pas protégé leurs devantures avaient complètement éclaté et les cours d'eau voisins avaient légèrement débordé.

Mais devant la caserne de pompiers d'Houma, un panneau plein d'espoir proclamait: «Gustav a détruit nos biens mais pas nos âmes. Bienvenue à la maison toute le monde!».

FIN DU TEXTE

Commentaires:

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AJOUT une autre heure plus tard, environ:

des travailleurs du Nouveau-Brunswick aident à refaire les lignes électriques, en Louisiane:
http://www.jminforme.ca/article/403131

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Un autre article sur le village de HOUMA:

http://www.canoe.com/infos/international/archives/2008/09/20080903-091602.html

Houma

De plein fouet -- Jean-François Codère -- Le Journal de Montréal -- 03/09/2008 09h16

La petite ville de Houma, à une heure de route à l'ouest de La Nouvelle-Orléans, a encaissé Gustav de plein fouet lundi, mais ses habitants ne se laissent pas abattre.

«Nous nous étions préparés pour l'eau, il n'y en a pas eu», raconte, en français, Audrey Babineaux-George, une propriétaire d'auberge d'origine acadienne. «Mais il a venté !»


Obstacles
Le simple fait de se rendre à la demeure d'Audrey relevait de la course à obstacles digne d'une publicité de véhicule 4x4, tant sa rue, bordée de dizaines d'immenses chênes, était remplie de branches, et pas que des petites.

«C'est dommage, parce que ce sont vraiment ces arbres qui faisaient la beauté du voisinage», se désolait-elle.

Débris
Par chance, aucun d'entre eux n'est tombé sur sa résidence. D'autres n'ont pas eu cette chance. Parfois, le vent s'est chargé de détruire lui-même. C'était par exemple le cas d'un dépanneur dont la façade était dans le même état que si elle avait affronté un bulldozer. Un vrai tourbillon ellemême, Audrey affichait néanmoins un grand sourire hier après-midi, tout en ramassant les débris et en prenant des nouvelles des voisins. La Maison d'Audrey devrait pouvoir recevoir des clients très bientôt.

FIN DU TEXTE
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Commentaires: attendons... voir... wait & see....
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Et maintenant le Globe&Mail: http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20080903.wgustav03/BNStory/International/

Une semaine avant que l'électricité soit rétablie. Le reportage sur Désautels à la SRC par un journaliste québécois sur les lieux (i.e. Houma) lui rappelait apparemment la crise du verglas. Alors notre camarade Roy a probablement beaucoup de travail devant lui avant qu'on puisse le relire ou revoir son Chausson.

M.me Audrey George Babineau, amie de Roy, est une personne très active pour laquelle j'ai eu l'honneur d'aider à la préparation d'un repas pour la visite publique de l'assistant gouverneur M.me Mary Landrieu, fille de l'ex-maire de la Nouvelle Orléans.

Audrey possède un Bed and Breakfast où j'ai résidé deux jours à Houma, excellente cuisine cadienne, et parle soit le français international - qu'elle a étudié à Grenoble et enseigné en Louisiane - que le cadien, et naturellement l'anglais.

J'ai essayé de rejoindre Roy par téléphone hier soir. Le service semble débranché pour le moment.

Je vais aussi essayer dans quelques jours. Merci gaulois, Denis

Un autre article de journal, sur la ville de HOUMA
dans le Journal "LE MONDE":

http://americana.blog.lemonde.fr/2008/09/03/apres-gustav-le-retour-pour-la-nouvelle-orleans-lattente-pour-houma/

COPIE DU TEXTE:

03 septembre 2008

Après Gustav: le retour pour La Nouvelle-Orléans,
l’attente pour Houma


Le maire de La Nouvelle-Orléans a levé les barrages dès ce matin, face à l’impatience de ses administrés. Ils avaient pris la route en masse, dès mercredi matin, pour rentrer chez eux. En principe, les entrées en ville devaient encore être filtrées - peine perdue, Ray Nagin a donné l’ordre de laisser passer tous ceux qui peuvent prouver qu’ils habitent là. A leurs risques et périls, dit-il, puisque le déblaiement est encore en cours, l’électricité est loin d’être complètement rétablie et l’essence manque encore. Ni cela, ni les embouteillages prévisibles ne semblaient retenir ceux qui avaient suivi l’ordre d’évacuation et veulent maintenant reprendre une vie “normale”, ou réparer les éventuels dégâts, le plus vite possible.

Ailleurs, en particulier sur la côte qui a encaissé le pire assaut de l’ouragan, les résidents de la paroisse de Terrebonne ne seront autorisés à revenir que vendredi matin.

La ville de Houma , “le coeur des marais et du pays cajun”, a été touchée de plein fouet par Gustav.

Les résidents pourront inspecter leur propriétés, ce qu’on appelle un “look and see”, jusqu’à 20 heures. Après cela, le couvre-feu reste imposé. Les autorités locales recommandent aux habitants de ne pas rester sur place.

L’agence de gestion des catastrophes annonçait des subsides pour le logement provisoire et pour les éventuels nouveaux dégâts et dépenses de première nécessité.

Les assurances évaluent les dégâts à 4,5 milliards de dollars - infiniment moins que les 41 milliards de Katrina.

FIN DU TEXTE
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Un autre texte sur HOUMA:

http://www.cyberpresse.ca/article/20080903/CPMONDE/80903072/1014/CPMONDE

COPIE DU TEXTE:

Mercredi, le 3 septembre 2008 -- Agence France-Presse -- par Tangi Quemener

HOUMA, LOUISIANE: Boire de la bière en regardant passer Gustav

Alors que la quasi-totalité des habitants de Houma (Louisiane) avaient fui à l'approche de Gustav, deux quinquagénaires se sont installés à l'abri d'un mur de briques et ont assisté au spectacle de l'ouragan de catégorie 3 en sirotant des bières.

Dans cette petite localité du delta du Mississippi, en plein pays cajun, les traces du passage de Gustav sont omniprésentes: les vents de quelque 200 km/h qui y ont fait rage lundi ont renversé des arbres et des poteaux électriques, endommagé de nombreux bâtiments et couché des pompes à essence.

Devant une petite caserne de pompiers, Patrick Frohling et Charles Bonvillain terminent de dégager un pin tombé sur le hangar abritant les véhicules des soldats du feu.

«On s'ennuyait, alors on a demandé aux pompiers ce qu'on pouvait faire pour les aider», explique à l'AFP M. Frohling, un conducteur de travaux de 52 ans.

Il se trouvait à Houma, à une centaine de kilomètres à l'ouest de la Nouvelle-Orléans, pour réaliser un complexe d'appartements, et n'a pas voulu partir à l'approche de l'ouragan Gustav.

«On a passé deux jours et demi à protéger (les travaux) contre l'ouragan, et il n'y a sans doute pas plus de 200 dollars de dégâts», dit-il fièrement.

Mais pas question de faire comme les deux millions d'habitants du sud de la Louisiane et du sud-est du Texas, obéir aux autorités et fuir vers le nord ou l'ouest pour échapper aux éléments déchaînés.

«On est allés dans la maison de Charlie, pour regarder la tempête, et on a beaucoup apprécié», raconte M. Frohling: «c'était génial, on s'est assis à l'abri d'un mur de briques et de tuiles, sous un porche, en buvant de la Bud light», une bière très populaire aux États-Unis.

«J'ai adoré. C'était comme être sur un avion. On se laisse tomber, et le vent vous tient debout. Génial», assure-t-il.

«C'était son premier ouragan. Moi je suis d'ici et j'ai déjà vu plein d'ouragans, je ne suis jamais parti. Je suis un gars à l'ancienne», commente Charles Bonvillain, un contremaître moustachu de 53 ans.

Interrogé sur le danger que présentait l'ouragan, qui avait déjà provoqué plus de 80 morts dans les Caraïbes avant de toucher lundi matin la Louisiane, M. Frohling minimise: «il faudrait vraiment être un abruti pour se faire tuer par une tempête comme celle-là».

«La seule victime, ce serait quelqu'un qui essaierait de piller», renchérit M. Bonvillain, en référence aux magasins et maisons dévalisées dans la foulée de l'ouragan Katrina en 2005 à La Nouvelle-Orléans.

«Tout le monde en a marre, et tout le monde a acheté une arme», affirme Patrick Frohling. «Pour les gens qui restent (après l'évacuation), la nuit est noire comme un four, et tout le monde est parti. On peut enfoncer 20 portes en une heure et demie», dit-il. «Mais cette fois-ci, ça ne va pas se passer comme ça», promet-il.

Outre leurs armes, les deux compagnons ont pris des précautions pour tenir longtemps sans électricité.

«On a fait des réserves avant que (Gustav) n'arrive. On savait qu'il faudrait au moins une semaine avant que le courant ne soit rétabli. On a assez d'eau potable pour prendre un bain, 300 gallons (1100 litres) de gazole, le réfrigérateur est plein, on est parés», assure M. Frohling, radieux.

FIN DU TEXTE
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Charles "Bonvillain", la réalité qui excède la fiction. Apparemment les secoureurs ont du être secourus. Espérant que la blague n'est pas de mauvais gout, espérons que le chausson sèchera bien, que Jean le Couillon a bien résisté, que la guitare est saine&sauve et que la caméra aille au iable si nécessaire. Portes-toi bien camarade Rocky et bienaimés. On se reparle bientôt. La gang te suit. Je prends une pause du FAF jusqu'au 18 septembre.

J'ai essayé d'appeler hier soit Roy qu' Audrey mais il n'est pas possible. Le courier électronique revient avec un message d'erreur. Je pense qu'on doive attendre un peu.

Denis

Une attente qui se prolonge. Espérons et croisons nous les doigts.

Pour en savoir davantage sur la situation qui prévaut actuellement:

http://www.houmatoday.com/

Je préfère - et de loin - nos hivers...


AF

J'ai rejoint par téléphone M.me Audrey George Babineau, citée dans ce fils par gauois, par moi et autres. Elle m'a dit que c'est surtout les arbres tombés sur les maisons qui sont causé des dégâts. L'électricité viendra reconnectée dans... un mois! Un mois? Peut-on s'imaginer cela? Dans la terre de la technologie?

Les messages e-mail retournent parce que son boîtier est plein. Pas de nouvelles de Roy, qui est peut-être parti, il devait commencer ses études à Nicholls, une des universités du système de la Louisiana State University, à Thibodaux.

AF a écrit:

Je préfère - et de loin - nos hivers...
AF

Je ne sais pas si je pourrais tolérer ça, je préfère le climat méditerranéen du sud de la Suisse avec ses palmiers, oliviers et vignobles, saisons bien définies mais presque jamais de gel en hiver et pas plus que trente degrés en été, tempéré grâce aux lacs et à la protection des Alpes au nord. Et pourtant Lugano est à la latitude de Montréal, 46 degrés, mais bien plus chaud et presque jamais de neige!

Bathurst est à 47,53 , un ti peu plus au Nord.

Je me fis encore à Jacques Cartier qui a nommé la baie...Baie des Chaleurs pour me sentir bien

Sénateur a écrit:

Je me fis encore à Jacques Cartier qui a nommé la baie...Baie des Chaleurs pour me sentir bien

Ah, ces Français du bon vieux temps ont vraiment le sens de l'humour!

Denis Baggi a écrit:

Sénateur a écrit:

Je me fis encore à Jacques Cartier qui a nommé la baie...Baie des Chaleurs pour me sentir bien

Ah, ces Français du bon vieux temps ont vraiment le sens de l'humour!

Tiens, pour te donner qq frissons

https://www.youtube.com/watch?v=Epvw3Qe7ZeE&feature=related

et les paroles de Luc Plamondon

C’est ici que je veux vivre
Au froid bleu au soleil blanc
C’est ici que je veux vivre
Au froid bleu au soleil blanc
C’est ici que je sent battre mon sang


Tu peut m’offrir tous les soleils de l’univers
De Corfou jusqu’au Cap Vert
De Rio à Vancouver
J’aime encore mieux mes hivers
C’est ici que j’ai envie
De jouer mon avenir
Sur quelques arpents de neige
Qu’il me faut toujours reconquérir
Pour donner un sens à ma vie

des nouvelles, de FRANCE 24, de la "Presqu'île Jean-Charles"
--j'imagine que c'est proche de HOUMA, mais je ne l'ai pas trouvé sur "google map":

Titre du texte:
"Après Gustav, partir ou reconstruire ?"

http://www.france24.com/fr/20080907-reportage-gustav-ouragan-ile-jean-charles-cajun-indiens

Cinq jours après le passage de l’ouragan Gustave, Albert Naquin peut enfin rentrer dans son village. C’est pour constater l’ampleur des dégâts.

Certaines maisons ont été emportées par le vent, les autres ravagées par la montée des eaux et la boue qui a suivi.

Albert Naquin est le chef de la tribu indienne de cette presqu’île dite de Jean Charles. Ces Indiens cajuns portent des noms français et parlent français depuis la colonisation française et les liens tissés entre certaines tribus et les colons.

Les Indiens Biloxi-Chitimacha sont installés dans ce village de pêcheur, au mileu des marais, depuis 130 ans. Pendant longtemps, ces terres ont été à l’abri des inondations. Les habitants se souviennent de l’époque où, à chaque ouragan, ils se réfugiaient sur leurs bateaux le temps de la montée temporaire des eaux.

Mais depuis plusieurs années, chaque tempête provoque une catastrophe qui, pour Albert Naquin, n’a rien de naturel. “Ce sont les forages pétroliers qui sont responsables, dit-il. Ils ont creusé des canaux sans arrêt, du coup l’eau est venue. C’était de l’eau salée alors qu’avant c’était de l’eau douce ici. Résultat : l’érosion a rendu nos terres inondables.”

La maison d’Al Naquin, un cousin du chef Albert, est montée sur pilotis. Elle a échappé au pire. Il est bien décidé à revenir vivre ici dès que possible.

Il y a trois ans, il y avait plus de 300 habitants dans le village. Mais après le passage de l’ouragan Rita, en 2005, près de la moitié des villageois ne sont pas revenus. Un énorme projet de protection du sud de la Louisiane contre les ouragans, un ensemble de digues et canaux, est pourtant en cours, mais l’île de Jean Charles est du mauvais côté de la barrière.

Sauver le village aurait coûté trop cher, ont tranché les ingénieurs. Après s’être battu contre cette décision, Albert Naquin a fini par renoncer. Il n’y a plus pour lui qu’une seule solution: “Les gens devraient partir ! Allez dans un endroit où vous n’aurez pas à vous battre contre ça tout le temps.”

Le chef lui-même ne vit plus dans les marais, mais à quelques kilomètres au nord. Il y a quelques années, un projet de transfèrement du village tout entier a été rejeté, faute de l’accord de la totalité de la population. Les quelques actifs qui restent ici sont pêcheurs et ne veulent pas aller travailler ailleurs : “S’ils me donnent assez pour repartir de zéro, oui je partira, mais sinon, pas question, j’irai pêcher comme je l’ai toujours fait,” dit Robert Dardar, pêcheur.

Quand la boue aura séché, les habitants reviendront, sans doute encore un peu moins nombreux que la dernière fois, en attendant que le village ne disparaisse, définitivement, dans les eaux du Golfe du Mexique.

FIN DU TEXTE
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J'ai reçu ceci d'Elaine F. Clément aujourd'hui

Bonjour tous les amis!

On est bien ici à Lafayette après l'Ouragan Gustav. On était chanceux, et on a eu beaucoup moins de dommage qu'on attendait. On reprend le travail aujourd'hui. On a encore du travail à faire en Louisiane, tout partout en Louisiane, mais particulièrement dans quelques paroisses au sud. Il y a encore un manque d'électricité, et beaucoup de dommage des arbres tombés. Asteur, on suit le progrès de l'Ouragan Ike (www.noaa.com).

Merci à tout le monde qui a offert un logement pour les enseignants. On est une communauté bien chaleureuse et accueillante!

Merci à tous nos amis pour le support.

On va continuer à vous tenir au courant.

We are doing well here in Lafayette after Hurricane Gustav. We were lucky, and we had a lot less damage than we anticipated. We re-opened the office today. There is still work to do here in Louisiana, all over, but particularly in several southern parishes. There is still places without electricity, and a lot of damage from fallen trees. We are now following Hurricane Ike's progress (www.noaa.com).

Thanks to everyone who offered lodging to the teachers. We are a very warm and welcoming community!

Thanks to all of our friends for your support.

We will continue to keep you updated.
Elaine F. Clément
Relations Communautaires
Conseil pour le Développement du Français en Louisiane
CODOFIL
217 rue Principale Ouest
Lafayette, LA 70501 EU
337-262-1487 (5810); 800-259-5810 (gratuit aux EU/toll-free US)
337-262-5812 (fax)
eclement@crt.state.la.us
www.codofil.org

Alain56

Denis Baggi a écrit:

AF a écrit:

Je préfère - et de loin - nos hivers...
AF

Je ne sais pas si je pourrais tolérer ça, je préfère le climat méditerranéen du sud de la Suisse avec ses palmiers, oliviers et vignobles, saisons bien définies mais presque jamais de gel en hiver et pas plus que trente degrés en été, tempéré grâce aux lacs et à la protection des Alpes au nord. Et pourtant Lugano est à la latitude de Montréal, 46 degrés, mais bien plus chaud et presque jamais de neige!

J'aurais dû écrire «Je préfère - et de loin - nos tempêtes...»

Ceci étant dit, j'aime beaucoup nos saisons très bien définies.

AF

Finalement, on sait que tout le monde est sain et sauf....,incluant des anciens correspondants de d'autres forums..., ici je pense à Daniel Blanchard aussi, de LaFayette.....,
et, j'imagine, qu'on devrait avoir des nouvelles de
Roy bientôt......, s'il lui plaît de venir nous entretenir... de
l'expérience vécue par l'ouragan...

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D'abord, j'veux dire que c'est ZIRABLE que l'article de France 24 a "traduit" le français de Albert Naquin de l'Isle à Jean-Charles.

Ça va bien ici. On a finallement réu l'estricité après une semaine, mais c'est pas tout le monde qu'a l'estricité. Y a toujours beaucoup de monde sans estricité.

Ça Va Bien

Zoiseau après voler
Tu sais comment ça va
Soleil après briller
Tu sais comment ça va
Brise après passer
Tu sais comment ça va
Un nouveau temps
Un nouveau jour
Une nouvelle vie pour mon
Et ça va bien

Poisson dans la mer
Tu sais comment ça va
Rivière beaucoup claire
Tu sais comment ça va
Fleur qui pousse vers l'air
Tu sais comment ça va
Un nouveau temps
Un nouveau jour
Une nouvelle vie pour mon
Et ça va bien

Cigale là-bas au soleil
Tu sais qui mon, j'veux dire
Tu sais?
Papillon après t'amuser
Tu sais qui mon, j'veux dire
Dors en paix quand la nuit est tombée
C'est qui mon, j'veux dire
Cette vieille terre
C'est une nouvelle terre
Et toute cette terre est pour mon

Étoile équand-ce que tu brilles
Tu sais comment ça va
L'odeur des bois dans la nuit
Tu sais comment ça va
Oh, la liberté est pour mon ici
Et j'sais comment ça va
Un nouveau temps
Un nouveau jour
Une nouvelle vie pour mon
Et ça va bien

---Roy---

Content d'avoir de tes nouvelles

content d'avoir des nouvelles Roy, en espérant qu'on vous tranquille.

Alain56