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 Le mouvement social de la reprise du français en Amérique

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Comment caractériseriez vous le mouvement de la reprise du français en Amérique du Nord?
Strictement une affaire du Québec
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Le problème est vraiment mondial
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Inexistant (ou presque)
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Mal connu et mal appuyé
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Connu mais mal appuyé
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Pas vraiment de besoin pour un tel mouvement
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Autre (voir réponse à l'enfilade)
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Total des votes : 13
 

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gaulois
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MessageSujet: Le mouvement social de la reprise du français en Amérique   Le mouvement social de la reprise du français en Amérique EmptyLun 25 Aoû 2008, 18:37

Voici le premier sondage que je soumets au FAF! Je crois que le mouvement est à peu près inexistant. Le sondage a pour but de caractériser parmi les membres du FAF leur perspective -vs- un mouvement de la reprise du français en Amérique du Nord.
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Sénateur
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MessageSujet: Re: Le mouvement social de la reprise du français en Amérique   Le mouvement social de la reprise du français en Amérique EmptyLun 25 Aoû 2008, 21:25

Il n'y a pas de reprise du français en Amérique du Nord car il n'a jamais eu une fin du français en Amérique du Nord.

Le francais en Amérique du Nord est affaire de continuité.

C'est mon avis et j'ai donc voté Autre.
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francoquebecois
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MessageSujet: Re: Le mouvement social de la reprise du français en Amérique   Le mouvement social de la reprise du français en Amérique EmptyLun 25 Aoû 2008, 22:40

Il faut AU MOINS assurer un ralentissement de la perte de l'utilisation de la LANGUE FRANÇAISE à travers le monde. Moi, je crois que l'exemple vient de très haut, et si la langue française est constamment conspuée au niveau international, et que l'on voit cela aux "nouvelles" télévisées, alors, graduellement, on en perd le goût de vouloir maintenir et même de mieux faire connaître la langue française.

C'est à travers différentes institutions internationales et nationales qu'on peut deviner l'importance et le statut enviable de l'utilisation d'une langue à travers le monde.

Lors des Jeux Olympiques de Pékin, quand les commentateurs sont obligés d'expliquer: pourquoi on annonce aussi en français lors de grands spectacles, on voit qu'il manque tout un grand pan de culture, on voit que la langue française devient de moins en moins importante pour une grande majorité, et donc, que LA LANGUE FRANÇAISE N'A PAS SU SE FAIRE RESPECTER AU FIL DES ANS..., surtout, encore plus, quand le représentant du CIO, M. Roggee, un suisse qui parle très bien en français, NE PREND MÊME PAS LE TEMPS DE LIRE SES TEXTES AUSSI EN FRANÇAIS.

La langue française aux Jeux Olympiques: la raison ? c'est le baron FRANÇAIS Pierre de Coubertin, qui a remis les Jeux Olympiques à la mode du jour, en 1896. C'est lui qui en a eu l'idée, et qui s'est porté volontaire pour remettre sur pied cette gigantesque activité sportive des temps modernes.

Quand la FRANCE et le président SARKOZY ne demandent même plus aux institutions internationales que leurs représentants puissent aussi s'exprimer en LANGUE FRANÇAISE, là, c'est le début de la fin pour la langue française. On voit cela pour le représentant de l'ONU, Ban Ki MOON, qui ne s'exprime pas en français, et tant d'autres institutions internationales.

.......................
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Victorserge0
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MessageSujet: Re: Le mouvement social de la reprise du français en Amérique   Le mouvement social de la reprise du français en Amérique EmptyLun 25 Aoû 2008, 23:05

Quand la FRANCE et le président SARKOZY ne demandent même plus aux institutions internationales que leurs représentants puissent aussi s'exprimer en LANGUE FRANÇAISE, là, c'est le début de la fin pour la langue française. On voit cela pour le représentant de l'ONU, Ban Ki MOON, qui ne s'exprime pas en français, et tant d'autres institutions internationales

sarkozy est une crapule de la pire espèce, une nuisance qui fait très mal à la France comme bush à l'amérique !
Le mal forme un tout , le sarkozysme c'est la destruction de l'économie française jusqu'à sa culture et comme sous pétain (dirigeant sénile et gateux pro nazi de 40 à 44) , tout deux font de la france un état vassal d'une puissance étrangère !
A la fin du 19ième des hommes courageux (des anarchistes) auraient collé deux balles dans la peaux dans l'infecte avorton
Mais voilà nous sommes devenu un peuple d'esclave, de petit propriétaires qui serrent les fesses et qui place ses deux ou trois sou en priant pour que le lendemain soit meilleur !!
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Denis Baggi
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MessageSujet: Re: Le mouvement social de la reprise du français en Amérique   Le mouvement social de la reprise du français en Amérique EmptyMar 26 Aoû 2008, 06:57

Victorserge0 a écrit:

A la fin du 19ième des hommes courageux (des anarchistes) auraient collé deux balles dans la peaux dans l'infecte avorton

Ne va pas si loin, il y aussi l'Italie et l'Allemagne des années '70. Oh, ce ne sont pas mes héros ceux qui substituent leur mitraillette à la lutte des classes, mais il est vrai que les puissants se permettent un peu moins quand ils savent que d'un instant à l'autre ils pourraient recevoir une balle méritée.
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francoquebecois
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francoquebecois


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MessageSujet: Re: Le mouvement social de la reprise du français en Amérique   Le mouvement social de la reprise du français en Amérique EmptyMar 26 Aoû 2008, 22:34

Voici, je dirais, la réponse de LOUISE BEAUDOIN, à la question posée par "gaulois"

Louise Beaudoin, c'est une ancienne ministre du gouvernement du Québec, qui agissait dans le domaine international et francophone..., et elle connait un très grand nombre de personnes francophones très influentes, de différents pays... Elle a beaucoup d'"entrées" en FRance, et dans d'autres pays francophones, à l'OIF, etc.....

Ici, je dirais qu'elle répond à la question, du point de vue du Canada:

http://www.ledevoir.com/2008/08/26/202883.html?fe=4731&fp=210901&fr=101790

COPIE

Opinion

Élection fédérale et Francophonie
Louise Beaudoin, Chercheuse invitée au CERIUM et coordonnatrice du Réseau Francophonie.

Édition du mardi 26 août 2008 -- journal "Le Devoir"

Dans moins de deux mois se tiendra à Québec le XIIe Sommet de la Francophonie. Ce sera le deuxième à s'y tenir: en 1987 avait déjà eu lieu dans la capitale nationale le second Sommet. Les autres rendez-vous se sont tenus en France (1986 et 1991), au Sénégal (1989), à l'île Maurice (1993), au Bénin (1995), au Vietnam (1997), au Canada (1999), au Liban (2002) au Burkina Faso (2004) et en Roumanie (2006).

Ce Sommet de Québec aura peut-être lieu, si l'on se fie aux déclarations récentes du premier ministre Harper, en pleine campagne électorale fédérale. Dans ce cas, M. Harper songera probablement à se faire représenter, en tant que co-hôte de la réunion, par la gouverneure générale du Canada, comme il l'a fait, en France en mai dernier, au moment du lancement des fêtes du 400e anniversaire de la fondation de Québec.

Cette campagne électorale permettrait d'ailleurs opportunément au gouvernement conservateur actuel -- le moins bilingue depuis celui de John Diefenbaker -- d'éviter de s'engager fermement sur la scène internationale en faveur de l'avenir du français, ici comme dans le monde.

Il est instructif, à cet égard, de consulter le site du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international: sous la rubrique «Les objectifs du Canada en Francophonie», sauf une courte ligne dans le préambule, il n'est pas question du premier objectif de l'Organisation internationale de la Francophonie elle-même, soit la promotion de diversité culturelle et de la langue française dans le monde.

On s'attarde pourtant aux objectifs politiques du Canada, à ses objectifs économiques et de coopération, mais pas à la raison d'être de la Francophonie. Je crains qu'il soit inutile de compter sur la ministre responsable de la Francophonie, Mme Josée Verner, pour changer la donne.

Dans cette même rubrique, l'on vante l'«esprit d'ouverture» du gouvernement canadien qui a permis la «participation provinciale» du Québec et du Nouveau-Brunswick à la Francophonie. Peut-être est-ce vrai pour le Nouveau-Brunswick, mais le Québec, quant à lui -- on l'oublie trop facilement -- a dû mener dans les années 1980 une bataille titanesque contre le gouvernement fédéral, avec l'appui indéfectible de la France, pour participer en son nom propre aux Sommets.

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NOTE DE FRANCO: ici, je trouve que Louise Beaudoin pèse ses mots pour ne pas offusquer personne.....
LES VRAIS FAITS: tant que Pierre-Elliot Trudeau a été premier ministre du Canada, JAMAIS LE QUÉBEC NE POUVAIT FAIRE PARTIE DES "PAYS" DE LA FRANCOPHONIE. Le Québec voulait être membre de l'OIF en tant que membre autonome, comme un pays, et Trudeau ne voulait pas.

ET le pays de la FRANCE, à cette époque, a toujours appuyé le gouvernement du Québec d'alors, celui de René Lévesque, au point de toujours remettre à plus tard les réunions de membres de l'OIF.

PET (Pierre-Elliot Trudeau), celui-là, c'est un autre premier ministre du Canada qui a mis TRÈS À MAL TOUTE LA FRANCOPHONIE DU QUÉBEC ET DU CANADA pendant de nombreuses années (de 1968 à 1984). Aussitôt que PET a démissionné, en février 1984, cela n'a pas été long, par après, pour que le Québec ---et le Nouveau-Brunswick, à la suite--- OBTIENNE LA PERMISSION DU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL de participer aux réunions de l'OIF, comme pays membre. Voir plus haut les dates de ces réunions.

Imaginez s'il y avait maintenant un pays francophone en Amérique du Nord, depuis plus de 25 ans!!!!

QUELLE ÉMANCIPATION QUE LA LANGUE FRANÇAISE AURAIT PU AVOIR DEPUIS CE TEMPS!!!

Mais non... là,,, dans son texte, Louise Beaudoin évite de prononcer le nom de Pierre-Elliot Trudeau,,,,,et pourtant,,, elle, elle pourrait nous en écrire des pages et des pages sur tous les événements de ces années-là!!!!
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C'est sans doute grâce à ce même «esprit d'ouverture» que nous avons été témoins en 2006 d'une des nombreuses «astuces» harpériennes, celle-là concernant la présence d'un fonctionnaire québécois dans la Délégation canadienne à l'UNESCO, annoncée en grande pompe comme historique, alors que si M. Harper avait respecté sa parole et sa plateforme électorale, le Québec aurait obtenu un siège comme lors des Sommets de la Francophonie et occupé sa place, dans cette enceinte internationale, sous l'appellation Canada-Québec. Avec les droits qui en découlent.

En fait, si le gouvernement conservateur actuel décidait d'adhérer autrement que formellement à la Francophonie, il devrait commencer par respecter la Charte de la langue française sur notre territoire, comme le demande le Bloc québécois, de telle sorte que toutes les entreprises régies par des lois fédérales telles que les banques, les ports et aéroports ne puissent plus se soustraire aux dispositions de la loi 101 sur la langue de travail.

Ainsi, avec un peu de chance, pourrions-nous dorénavant nous faire répondre en français par les employés de la compagnie de sécurité travaillant à l'aéroport Pierre-Trudeau, sans avoir à nous plaindre de leur unilinguisme anglais et déclencher ainsi, en guise de «représailles», contrôles exceptionnels et fouilles humiliantes, comme cela est arrivé à un citoyen, en ma présence, fin avril dernier.

Ensuite, ce gouvernement prendrait des mesures énergiques pour contrer l'assimilation des francophones hors Québec et appuierait leurs combats, souvent héroïques. Selon les données de Statistique Canada, il n'y a plus, à l'extérieur du Québec, que 4,1 % soit 975 390 citoyens qui ont le français comme langue maternelle et encore moins, 2,5 %, qui le parlent à la maison. À moins que Stephen Harper, comme Jean Chrétien naguère, ne croie qu'il s'agit là «d'un fait de la vie», incontournable, irréparable.

Enfin, au lieu de refuser, régulièrement et avec constance mais souvent sans raison, des visas à des jeunes, des universitaires, des artistes ou des gens d'affaires francophones qui veulent entrer temporairement au Canada, le gouvernement canadien, dont c'est la responsabilité, devrait accepter d'envisager, en collaboration avec les autres pays membres de la Francophonie, la création éventuelle d'un visa francophone.

S'il n'y a pas création d'un espace francophone qui assure une préférence de circulation, jamais un sentiment de réelle appartenance à cette communauté n'apparaîtra, jamais une identité francophone ne verra le jour, malgré tous les beaux discours. La Francophonie demeurera largement virtuelle, particulièrement pour les jeunes des pays africains, là où pourtant se joue, démographiquement parlant, son avenir.

De quoi sera fait ce prochain Sommet à Québec? D'abord et avant tout, de décisions fortes concernant l'avenir de la langue française, dixième langue dans le monde, troisième langue sur la Toile. L'enjeu pour la Francophonie est qu'elle demeure une aire géolinguistique influente et que le français soit présent dans le groupe des langues-monde.

Le gouvernement du Canada sera jugé à ses actes, élection fédérale ou pas. Faute d'engagements formels en ce sens, la Francophonie continuera, pour le gouvernement fédéral, d'être une agréable berceuse propre à calmer les revendications du Québec.

***

Louise Beaudoin est chercheuse invitée au CERIUM et coordonnatrice du Réseau Francophonie.

FIN DU TEXTE

Commentaires: MERCI à Madame Louise Beaudoin d'avoir pris le temps de nous écrire sa lettre d'opinion, et de nous faire part de ses intérêts et de ses inquiétudes.

Pour continuer dans le même sujet, mais un peu de façon connexe, voici un autre commentaire: concernant Harper, j'étais un peu , et même assez surpris, vers la fin de l'année 2006, de voir ce gouvernement fédéral aider à promouvoir l'idée de diversité culturelle, de voir à appuyer le gouvernement du Québec, qui a été le premier gouvernement du monde francophone, membre de bon droit de l'OIF, proclamer l'état de diversité culturelle pour la langue française.

Cette proclamation, sous le couvert de la diversité culturelle, venait protéger toutes les lois fédérales et provinciales, au Canada, qui permettent d'avoir des subventions pour aider à la CULTURE, à la LANGUE FRANÇAISE,....

Mais là, on a vu ce que Harper a fait de ces subventions à la culture: IL LES A TOUTES BANNIES!!! Donc, Harper, il y a 2 ans, n'avait pas le choix de continuer cette démarche de proclamation de diversité culturelle au Canada, mais là, c'était sans compter que CELA NE VEUT PLUS RIEN DIRE, MAINTENANT, 2 ans plus tard, À L'INTERNATIONAL, puisque Harper ne donne plus aucune subvention à la culture et aux langues ....

C'est de cette façon que Harper réussit TOUJOURS À ENTOURLOUPER LES FRANCOPHONES DU QUÉBEC, PLUS SPÉCIALEMENT CEUX DE LA VILLE DE QUÉBEC. Il veut bien leur donner des droits, il veut bien leur permettre de mieux rayonner dans le monde, MAIS IL NE DONNE PLUS DE MOYENS pour le faire.

Donc, cela paraissait très beau au départ, mais là, on voit vraiment LES MAGOUILLES DE HARPER....

C'est comme la proclamation de Harper, à l'automne 2006: "Le Québec est une nation à l'intérieur d'un Canada uni".... Plusieurs francophones n'en croyaient pas leurs oreilles d'entendre dire cela d'un premier ministre canadien...., MAIS CELA NE VEUT RIEN DIRE..., cela n'a aucune portée juridique ou légale.
Il n'y a pas eu de lois qui sont venus appuyer cette proclamation, et, comme il est écrit plus haut, même si le gouvernement du Québec et le Bloc Québécois demandent au gouvernement fédéral de FAIRE ASSUJETTIR les entreprises à charte fédérale, au Québec, sous la loi 101, la loi promulgant la protection et la promotion de la langue française, HARPER ne veut rien faire dans ce sens-là.

--------------------------
NOTE: au Québec, les entreprises peuvent avoir une charte provinciale ou fédérale. Si l'entreprise désire faire des affaires à l'extérieur du Québec AUSSI, dans d'autres provinces ou à l'international, alors, elle doit avoir une CHARTE FÉDÉRALE.
La CHARTE: c'est comme le certificat de naissance d'une entreprise. ET quand l'entreprise qui fait des affaires au Québec, mais qui a une charte fédérale, ALORS CETTE ENTREPRISE N'EST PAS ASSUJETTIE AUX LOIS PROVINCIALES du Québec, à moins d'indications prescrites par le gouvernement fédéral.
C'est ce que le parti indépendantiste fédéral demande à Harper, au gouvernement fédéral, mais HARPER NE VEUT PAS. Harper ne veut pas que les entreprises à charte fédérale, qui font affaires au Québec et aussi dans d'autres provinces du Canada, SOIENT ASSUJETTIES à la loi 101 du gouvernement provincial du Québec, loi qui obligerait ces entreprises à avoir un lieu de travail en français, à avoir des communications en français, etc...
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.

PS: voici le lien pour la "diversité culturelle" dont je parle plus haut:
https://amerique-francaise.forumactif.com/politique-quebecoise-f7/la-diversite-culturelle-t854.htm?highlight=diversit%e9+culturelle
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