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 Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??

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francoquebecois
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MessageSujet: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyLun 16 Juil 2007, 20:21

Selon les grands chefs anglophones de l'armée canadienne, eux qui sont déjà installés en Afghanistan, l'arrivée d'une MAJORITÉ de soldats FRANCOPHONES va faire poindre tout un défi: essayer de faire accepter aux soldats anglophones qu'ils doivent vivre comme une minorité..... (c'est ça que j'ai compris de ce texte, et c'est de cela qu'on veut parler au fond, mais qu'on ne dit pas....)

Et pourquoi, pensez-vous, qu'on en vient à dire cela à propos de cette situation ?? l'armée canadienne est tellement peu bilingue, maintenant, que, quand il y a des francophones qui se manifestent ou qui doivent opérer, pour les grands manitous anglophones, cela veut dire quasiment comme si c'était à avoir à commander une armée étrangère...

FRANCHEMENT....... J'AI MON C..... DE VOYAGE!!!! Qu'est-ce qu'on fait encore au Canada ??

Ben non,,, au lieu de dire que les commandants anglophones sont bien contents d'accueillir les soldats francophones et de leur laisser toute la place qui leur revient, ILS VOIENT PLUTÔT CELA QUASIMENT COMME UN PROBLÈME....

Heillll... au moins pour les québécois qui ont bien voulu, à leur gré, entrer dans l'armée canadienne, au moins, leur laisser la place qui leur revient...


http://info.branchez-vous.com/Monde/070716/M0716114U.html

COPIE DU TEXTE:

L'arrivée des soldats de Valcartier en Afghanistan pose un défi linguistique PAR MARTIN OUELLET



KANDAHAR (PC) - L'arrivée massive de soldats francophones originaires du Québec dans le sud de l'Afghanistan représente un "défi" culturel et linguistique pour les opérations quotidiennes de l'armée canadienne dans ce pays, estime le commandant canadien.

"Un problème, ce n'est peut-être pas le bon terme. Il y a toutes sortes de défis à relever et celui de la langue en est un", a lâché l'adjoint au chef d'état major, Kevin Mead, à propos de l'arrivée attendue, aux petites heures du matin mardi, d'un premier contingent de quelques dizaines de militaires du Royal 22e Régiment à la base multinationale de Kandahar.

Au total, 2300 d'entre eux seront déployés en Afghanistan au cours des prochaines semaines. L'interaction entre les francophones et leurs vis-à-vis anglophones sera assurément un défi, pense le major Mead.

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note de franco: là, ce commandant veut dire que les soldats anglophones ne se laisseront pas facilement percevoir maintenant comme une minorité dans leur lieu de travail, et ils vont tout faire pour continuer à faire tout le travail EN ANGLAIS SEULEMENT.

On a vu, il y a 3 semaines environ, que les francophones déjà en place à ce moment-là, se plaignaient de ne pas aller sur le front, vu leur nombre restreint, et vu leur usage qu'on en faisait: être au service de soutien logistique pour les anglophones... Là, est-ce que c'est le contraire qui va arriver ??
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"Beaucoup de personnes dans la FOI (Force opérationnelle interarmées) sont bilingues et plusieurs soldats le sont aussi. Les troupes vont passer au travers (le défi que pose la langue)", a-t-il néanmoins tempéré.

De son côté, le chef d'état-major, le lieutenant-colonel Jean Trudel, n'entrevoit aucun problème linguisitique entre les deux communautés linguistiques sur la base. Il admet toutefois que les francophones "ont une approche différente" de leurs homologues anglophones d'aborder les dossiers, une façon plus "latine" de voir les choses.

"Il y a des différences, mais les valeurs sont les mêmes. Je ne vois aucune différence en ce qui à trait aux valeurs. Peut-être avons nous une façon autre d'aborder les problèmes ou les défis, nous allons probablement vouloir manger une poutine des temps en temps, mais les valeurs, celles d'un soldat d'Edmonton, de Petawawa, de Valcartier ou de Halifax sont identiques", analyse le lieutenant-colonel, membre lui-même du Royal 22e.

Un premier contingent de 200 soldats québécois a quitté dimanche la base de Valcartier en direction de l'Asie centrale pour prendre en charge, avec les quelque 2000 autres de leurs collègues qui les rejoindront d'ici peu, des activités de la FOI. De cette force dépend notamment les opérations extrêmement dangereuses de lutte contre le terrorisme.

Outre la barrière culturelle et son corollaire, la barrière linguistique,

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note de franco: la barrière culturelle ou la barrière linguistique POUR QUI ?? pour les commandants anglophones ou bien pour les soldats francophones ?? pensez-y un peu..... on sait bien,, ce sont les soldats francophones qui passent pour une "barrière linguistique" et non les anglophones.... QUE DE RACISME!!!!! Le Canada est un pays bilingue, l'armée est bilingue,,, mon oeil!!!!
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les soldats fraîchement arrivés seront soumis à d'autres défis comme la chaleur accablante qui règne sur l'Afghanistan à ce temps-ci de l'année.

Jour après jour, le mercure atteint les 40 degrés. Même s'ils ont déjà suivi un entraînement intense pour affronter de pareilles conditions, les nouveaux venus pourront bénéficier de quelques jours à leur arrivée sur la base pour s'acclimater à leur nouvel environnement.

"On prend charge d'eux et on s'assure qu'ils aient les outils, le matériel et les dernières touches de formation avant qu'ils sortent (de la base) et qu'ils rejoignent leur unité", a assuré le lieutenant-colonel.

© La Presse Canadienne, 2007 Publié le 2007-07-16

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FIN DU TEXTE RECOPIÉ

Autre commentaire: si c'était un journaliste francophone ou un politicien du Québec qui ferait ces sortes de remarques, IL SERAIT DÉNONCÉ À TRAVERS TOUS LES JOURNAUX ANGLOPHONES DU CANADA....
Pitoyable!!
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyMer 25 Juil 2007, 22:25

http://www.voir.ca/actualite/voixpublique.aspx?iIDArticle=52534

En plus de voir un "problème" avec les francophones dans l'armée canadienne, on voit aussi un "problème" avec les autres francophones, dans la société en général, où, on le sait, l'appui pour aller faire la guerre en Afghanistan est très très faible.

Voici des propos que rapporte Josée Legault, dans le journal "Voir":


EXTRAIT DU TEXTE:

Sans manquer de respect à ces soldats ou leurs familles, il reste qu'aucun analyste politique sérieux ne peut ignorer le choix délibéré du gouvernement de médiatiser à outrance cet événement en laissant les soldats et leurs familles vendre la mission.

Mais le Québec s'annonce un terrain très difficile pour ce type de vente sous pression. Dans le Globe and Mail, le chef de l'armée, Rick Hillier, le reconnaissait de manière plutôt condescendante.

Il disait qu'il y avait ici "un plus grand besoin d'éducation", qu'il fallait "aider" les Québécois à "mieux comprendre", ce qui arriverait lorsque les soldats en parleront à "leurs amis, leurs voisins et aux groupes communautaires"! Traduction: les Québécois sont opposés à la mission parce qu'ils ne comprennent PAS.

On se dit aussi, à Ottawa et dans les médias du ROC, que les Québécois sont des pacifistes primaires, incapables de distinguer les bonnes des mauvaises guerres. Traduction: ils ne comprennent PAS la vraie nature de la guerre.

Et de nous resservir les vieux clichés sur les crises de la conscription des Première et Seconde Guerres mondiales! Traduction: les Québécois n'aiment pas se battre pour la liberté. Sont un peu peureux, vous savez...

Voilà bien le petit fond de mépris de certaines élites du ROC et, surtout, une négation de la contribution importante des "Canadiens français" aux deux guerres mondiales. Mais combattre les nazis était une cause pour laquelle donner sa vie avait un sens.

FIN DE L'EXTRAIT

Commentaire: personnellement, je ne peux croire, encore, qu'il faille aller se battre encore, avec fusil dans les mains.... On est dans les années 2000, pas dans les années 1700-1800....

En plus, tout le mépris des dirigeants des Forces Armées Canadiennes envers les Québécois, envers les francophones, ça me fait quasiment vomir...
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyJeu 26 Juil 2007, 18:28

Toujours du pareil au même, encore du RACISME envers les francophones:

http://www.cyberpresse.ca/article/20070725/CPACTUALITES/70725122/5846/CPACTUALITES

EXTRAIT:

Dans un article récent, un chroniqueur anglophone mentionnait l'existence du «mur linguistique» qui séparait le camp canadien, après avoir constaté, entre autres, que les soldats des deux communautés préféraient écouter la télévision chacun de leur côté, dans leur langue respective. Il y voyait là un bien mauvais exemple à projeter dans un pays déchiré par les tensions tribales.

Il s'inquiétait aussi pour les relations futures entre les soldats canadiens francophones et leurs vis-à-vis afghans, considérant l'absence d'interprète pouvant traduire le pashtoun en français. Dans un environnement de guerre, écrivait-il, les subtilités langagières peuvent être capitales.

Le major Collin avoue que l'armée canadienne n'a pas été mesure, en dépit d'intenses recherches, affirme-t-il, de trouver un interprète afghan pouvant s'exprimer en français. Néanmoins, il ne s'inquiète pas pour la suite des choses.

«On réussit toujours à faire passer notre message», souligne-t-il, faisant remarquer au passage que les interprètes pashtouns n'ont pas, de toute manière, une parfaite maîtrise de l'anglais.

Que ce soit «en signes ou par dessins», ou en appelant un tiers à la rescousse, les troupes parviennent quoi qu'il arrive «à communiquer», assure le major.

En ce qui a trait aux relations entre les deux communautés linguistiques, le commandant ne sombre pas dans l'angélisme. Il admet qu'il y a parfois des railleries, de part et d'autre, susceptibles d'écorcher les oreilles sensibles. Néanmoins, en plein coeur de l'Afghanistan, l'une des zones les plus violentes du monde, «on n'a pas intérêt à ne pas s'aimer», commente l'officier.

Qu'ils soient anglophones ou francophones, les soldats canadiens rencontrés au hasard sur la base semblaient plutôt amusés de constater que la question linguistique se retrouvait au centre de l'attention à 10 000 kilomètres de son terreau d'origine. Parmi les militaires interrogés, aucun n'a mentionné d'incidents à connotation linguistique.

Avec l'arrivée massive des francophones, le major Christian Beaudin, du Royal 22e, prévoit certes quelques «frictions» mais n'y voit rien de mal.

«C'est de bonne guerre, dit-il avec un sourire en coin. Les francos d'un côté, les anglos de l'autre, ils vont se tirer la pipe, ça c'est sûr. Mais c'est normal, cela fait partie de notre culture.»

De son côté, le caporal Jean Provost préfère ne pas se laisser distraire par ce dossier.

«Personnellement, je ne me suis jamais senti mis de côté ou méprisé parce que j'étais francophone. De toute façon, on ne se laisserait certainement pas écoeurer», a-t-il déclaré au sujet de ses compatriotes.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

QUESTIONS:

=combien d'autres pays y a-t-il pour aller faire la guerre en Afghanistan ?? au moins 30, si ce n'est de 35 ou 36 pays

= quels sont les autres pays qui font la guerre ?? vous avez autant d'imagination que moi, mais, sans doute, vous répondrez: la France, l'Angleterre, les Pays-Bas, des Chinois, Vietnamiens ou Coréens, des Allemands, etc....

= est-ce que les Afghans ne sont PAS plus capables de comprendre les soldats francophones du Canada, alors qu'ils sont toujours en mesure de se faire comprendre des soldats FRançais, des soldats de la Russie, ou de l'Estonie ??

= le point soulevé par le journaliste anglophone, qui répète sans cesse que les soldats francophones sont "un problème", devraient regarder ce qui se fait ailleurs..., comment les soldats des autres pays réussissent à communiquer avec la population locale.

Comme j'ai déjà indiqué, laissez aller à la guerre au moins les Francos qui veulent y aller,, ils ne seront pas sûrement pires que les autres soldats DES AUTRES PAYS.... chaque pays avec leur langue....

En résumé, pourquoi la présence de soldats francophones posent PLUS DE PROBLÈMES que d'autres soldats de d'autres pays QUI NE PARLENT PAS ANGLAIS ?? Que de racisme!!!! Mais, vu que c'est dans l'armée CANADIENNE, c'est acceptable...

Je ne veux pas défendre la présence de soldats francophones dans l'Armée Canadienne, à mon avis, ILS N'ONT MÊME PAS D'AFFAIRES LÀ!!!

Mais s'il y en a encore qui se pose la question sur la façon que sont traités les francophones au Canada en général, vous avez votre réponse, l'Armée canadienne étant un très bon concentré de ce qui se passe dans la société canadienne en générale: de façon hautaine, avec mépris, TOUJOURS DE FAÇON RACISTE de la part des Anglos!!!
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyJeu 02 Aoû 2007, 11:47

ET VOILÀ QUE LE RACISME CONTINUE, SUR LE DOS DES FRANCOPHONES:

http://www.ledevoir.com/2007/08/02/152196.html?fe=1653&fp=210901&fr=33753

COPIE DU TEXTE:

TITRE DU TEXTE:

Les soldats du Royal 22ème Régiment en Afghanistan: le général Laroche nie tout traitement de faveurs envers les francophones.

Kandahar, Afghanistan -- Fraîchement assigné au commandement des troupes canadiennes en Afghanistan, le brigadier-général Guy Laroche a dû expliquer hier que les soldats du Royal 22e Régiment ne profiteront d'aucun traitement de faveur pendant leur mission.

«Peu importe ce que l'on raconte au Canada, au niveau politique ou dans la rue, pour nous le travail se poursuit dans la même veine que par le passé», a dit le brigadier-général en point de presse, quelques instants après avoir signé les documents protocolaires faisant de lui le successeur de son homologue Tim Grant, rappelé au Canada après un mandat de neuf mois.

Aussitôt entré en fonction, le nouveau commandant a rejeté du revers de la main les allégations de traitement de faveur qui circulent à l'endroit des militaires francophones déployés en Afghanistan.

Déclaration ambiguë

La rumeur, qui a pris des proportions considérables au Canada anglais, tire son origine d'une déclaration ambiguë du ministre de la Défense nationale, Gordon O'Connor. Il y a un peu plus de deux semaines, ce dernier a affirmé dans une entrevue au réseau CTV que les soldats de la nouvelle cohorte, celle du Royal 22e Régiment, seraient plus ou moins mis en réserve, laissant aux militaires afghans le soin de livrer les combats.

Il n'en fallait pas davantage pour que certains concluent que le gouvernement de Stephen Harper avait tiré les ficelles pour mettre les soldats francophones à l'abri des combats, afin de ne pas enflammer au Québec le mouvement d'opposition à la mission en Afghanistan et éviter d'assumer le coût politique de la mort éventuelle de soldats québécois.


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Note de Franco: pour ceux qui ne le savent pas, les Québécois sont en profond désaccord à près de 80% pour l'envoi de troupes de l'armée canadienne en Afghanistan, que ce soit des troupes anglophones ou francophones.
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«Nous, nous recevons nos directives du chef de la défense nationale, le général Rick Hillier, et notre mandat est clair», a répliqué le commandant Laroche, sans mentionner le nom du ministre O'Connor. Il a ajouté que l'état de préparation de l'armée afghane ne permettait pas d'envisager, du moins dans un horizon de six à huit mois, une «mise en réserve» des soldats canadiens.

Les mêmes périls

Par conséquent, les militaires du Royal 22e Régiment feront face aux mêmes périls que leurs compatriotes qui les ont précédés sur le sol afghan, a fait comprendre le brigadier-général.

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Note de Franco: le "Royal 22ème Régiment", c'est "la crème de la crème" des soldats francophones dans l'armée canadienne, autrement dit, ce sont les meilleurs soldats de l'infanterie francophone.
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«Il n'y aura pas de différence, au moins dans les premiers temps. Essentiellement, on n'en est pas encore là [à confier le front à l'armée afghane]», a souligné le commandant Laroche.

Avec deux bataillons d'infanterie -- environ 1200 hommes --, l'armée afghane n'est pas en mesure de prendre le relais dans les situations de combat.

En ce qui concerne la police nationale, sur laquelle compte la communauté internationale pour assurer un minimum de sécurité dans les communautés, la situation est encore plus troublante. Le recrutement est difficile et la formation des recrues, dans plusieurs secteurs du pays, est à l'avenant.

Le problème découle du fait que les Afghans «ne savent pas ce qu'est la police», a mentionné le brigadier-général, conscient que la sécurité ne pourra jamais être assurée dans le pays sans une force constabulaire intègre, respectée et pouvant imposer son autorité.

«Pendant des années, il n'y a pas eu de police, alors les candidats au recrutement ne savent pas ce que font les policiers. Il faut les accompagner, rester près d'eux et essayer de les guider», a-t-il dit.

Guy Laroche est le troisième général à prendre les commandes de la mission canadienne en Afghanistan depuis le premier déploiement en 2002. Il succède à David Fraser et Tim Grant, lequel a été promu major-général au cours de la cérémonie marquant le transfert du commandement. Ce dernier a reçu son insigne des mains du lieutenant-général Michel Gauthier, commandant de la force expéditionnaire du Canada.

Parmi les personnalités présentes à la cérémonie figuraient le ministre afghan du Relèvement et du Développement rural, Ehsan Zia, le gouverneur de la province de Kandahar, Asadullah Khalid, et l'ambassadeur du Canada à Kaboul, Arif Lalani.

«Il est difficile de retourner chez soi sachant que des camarades ne nous raccompagnent pas», a mentionné, dans une courte allocution, le major-général Grant. Il faisait allusion aux soldats -- 22 au cours des six derniers mois -- qui ont péri sous sa gouverne.

Depuis 2002, 66 Canadiens, dont un diplomate, ont perdu la vie en Afghanistan.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

Commentaire: comme j'ai déjà expliqué, personnellement, je suis en faveur d'une armée canadienne qui travaille pour le MAINTIEN DE LA PAIX, --et cela même si le Québec est un pays différent du Canada-- au lieu d'aller faire la guerre contre des populations étrangères pour que les Américains puissent mieux s'accaparer du pétrole et autres ressources. C'est pas à l'armée canadienne à aller ramasser la m.rd. des Américains.

Pendant près de 15 ans, ce sont ces mêmes populations étrangères (talibans) que les Américains fournissaient en armes, pour lutter contre d'autres envahisseurs. Maintenant, c'est vrai que les Américains voudraient avoir le retour de leurs investissements passés.

Là, on dit que l'armée canadienne a réussi à aider près de 40,000 femmes et enfants pour qu'ils aillent à l'école et autres... (eux autres, ils sont toujours vivants). Mais j'aurais mieux aimé que l'armée canadienne intervienne au Soudan, et ainsi, il y aurait sans doute un peu moins de 200,000 morts déjà dans ce pays.

Donc, je ne veux pas figurer comme le défenseur de l'armée canadienne, ou encore des soldats francophones dans l'armée, je suis pour l'envoi d'une armée afin d'aider à maintenir la paix pendant des discussions sur des processus de mise en place de règlements de paix entre belligérants...

Il me semble... on est rendu dans les années 2000, et on pourrait penser qu'on vit encore dans les années 1700-1800 ---[/i]
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptySam 04 Aoû 2007, 10:36

Les dirigeants de l'armée canadienne (Harper en tête) essaient de "culpabiliser" les QUébécois:

http://info.branchez-vous.com/Nationales/070803/N080334U.html

COPIE DU TEXTE:


L'opposition des Québécois à la mission afghane irrite les soldats du 22e

PAR MARTIN OUELLET -- © La Presse Canadienne, 2007 -- Publié le 2007-08-3

KANDAHAR, Afghanistan (PC) - L'opposition massive des Québécois à l'engagement militaire du Canada en Afghanistan blesse autant qu'elle exaspère les soldats d'infanterie francophones débarqués au cours des dernières semaines dans le pays.

"Tu viens ici parce que tu y crois, tu veux apporter de la sécurité et aider des gens à s'en sortir et là, chez vous, les gens ne sont pas réceptifs. Ils disent que tu t'en vas tuer du monde", a déploré vendredi à la Presse Canadienne le caporal-chef David Martel, membre de l'équipe de combats du Royal 22e Régiment, chargée de patrouiller le district de Shawali Kot, un des points chauds du sud-est afghan.

La participation du Canada à la mission de reconstruction de l'Afghanistan ne jouit pas d'un fort appui populaire au Canada, mais c'est au Québec que l'opposition à l'engagement militaire canadien trouve son expression la plus forte. Sondage après sondage, les Québécois expriment une désapprobation manifeste envers toute intervention des Forces armées canadiennes à l'étranger, à moins que le rôle des soldats ne soit limité à celui du "maintien de la paix".

"Moi je me suis fait dire, par quelqu'un d'instruit, bardé de diplômes, qu'il n'y aurait pas de guerre dans le monde s'il n'y avait pas des gens comme moi. Ça m'a vraiment choqué d'entendre ça d'une personne qui devrait en savoir plus", raconte le soldat Francis Archambault.

Selon lui, les opposants à la présence canadienne font fausse route lorsqu'ils accusent le gouvernement de Stephen Harper de vouloir s'aligner pas à pas à la politique étrangère américaine afin de demeurer dans les bonnes grâces de l'administration Bush.

-----------------------------------------------
note de Franco: moi, je dis qu'ils n'ont tout simplement pas d'affaires là, en tout cas pas plus que les autres 34-35 autres pays de l'OTAN qui travaillent plus au nord de ce pays, et qui se font moins tuer. DIRE QU'AU TOUT DÉBUT DE L'INVASION DE CE PAYS, la raison était: POUR ALLER CHERCHER B.N L.D.N (il manque un "e" , un "a" et un "e"...vous aurez deviné), parce que ce dernier était responsable de ce qui est arrivé chez nos voisins du sud, il y a 6 ans... Et là, c'est pour protéger femmes et enfants contre l'autre moitié de la population civile: les t.l.b.ns --- N'IMPORTE QUOI.......)
-------------------------------------------------------------


"Cela n'a rien à voir. Le Canada ne retire pas grand-chose de sa présence ici. Ca coûte des vies, ça coûte de l'argent, mais on essaie de donner une chance de s'en sortir à des peuples qui ont besoin d'aide. C'est probablement la plus grande chose que je vais faire dans ma vie", a argué le soldat Archambault, âgé de 23 ans. (NOTE: que de "lavage de cerveau"!!!)

Peu avant le grand déploiement des militaires de la base de Valcartier - ils seront plus de 2000 dans quelques jours dans la province de Kandahar -, les Forces armées canadiennes ont mené une campagne de charme au Québec

----------------------------------
note de Franco: bon, au moins, là "ils" le disent qu'"ils" avaient forcé les soldats de l'armée canadienne à faire un "show" politique avant de partir pour ce pays!!
----------------------------------
(suite du texte)
pour tenter de gagner la population à la cause défendue en Afghanistan. Un groupe de soldats avait notamment été délégué à l'Assemblée nationale où une motion devait être adoptée pour souligner leur sens du devoir. Or, certains députés ont refusé de se lever lorsque les militaires ont été présentés en Chambre.


"Les gens ont droit à leur opinion",
------------------------------------
note de Franco: j'espère que j'ai droit à mon opinion. On n'est pas rendu dans une dicdature encore, j'espère!!!!!!!!
------------------------------------
(suite du texte)
insiste pour sa part le sergent Steve Dufour, qui préfère ne pas s'engager sur le terrain politique. Néanmoins, il estime que la mission canadienne, qui se tient sous l'égide de l'OTAN, est mal comprise et souvent mal interprétée.

"J'ai parlé à une étudiante qui était contre la mission. Je lui ai dit: 'toi au Canada, est-ce que quelqu'un t'empêche d'aller à l'école, de t'instruire?' C'est comme ça ici (en Afghanistan)", a-t-il illustré, convaincu que ce sont les enfants afghans qui pourront un jour reprendre le contrôle de leur pays, à condition de pouvoir recevoir une éducation digne de ce nom.

------------------------------------------------------
Note: donc, après la tentative de "grande séduction" qui n'a pas réussi, on essaie de faire en sorte que les Québécois se sentent coupables des malheurs des gens des autres pays. Franchement!!!!! on est rendu ben ben ben bas.......
------------------------------------------------------

Mais pour l'heure, les quelque 500 fantassins du Royal 22e tentent de "limiter le mouvement des insurgés" dans le sud-est du pays à partir de la base de patrouille Wilson, à environ 65 kilomètres au nord-ouest de Kandahar.

.......................
suite sur le lien internet

FIN DU TEXTE RECOPIÉ
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyDim 05 Aoû 2007, 13:08

Plus j'y repense, plus j'y vois du RACISME!!! (voir le texte précédent)

En effet, "ils" ont fait, à peu de choses près, la même chose que Parizeau, lors de sa déclaration au référendum 1995:

"au fond, c'est à cause de l'argent et des ethnies"...

et là, TOUT LE MONDE avait rabroué Parizeau d'avoir dit cela, parce que les "ethnies" avaient voté presqu'à 100% pour le "non".

---------------------------------------

Et là, maintenant, les francos "votent" contre l'armée canadienne en Afghanistan, dans les 70 à 80%, mais, POUR EUX, LES FRANCOS, selon les hauts dirigeants de l'armée, et toute l'élite civile anglophone, et tous les journaux anglophones du Canada, LÀ, ON PEUT TRAITER LES FRANCOS de ne pas savoir ce qu'ils font, de ne pas "avoir de coeur" pour les étrangers qu'on peut sauver, on peut faire du "racisme" sur le dos des Francos, parce que, là, c'est justifié de le faire......

N'importe quoi pour infantiliser, pour ridiculiser les Francos du Québec... QUE DE RACISME!!!! 100 fois pires que ce que Parizeau a pu avoir fait, et même Parizeau n'avait fait qu'une CONSTATATION DES FAITS, il ne s'était pas étendu sur le sujet, ALORS QUE DANS TOUT LE CANADA, LES DIRIGEANTS POLITIQUES ESSAIENT TOUJOURS DE FAIRE DES PIEDS ET DES MAINS POUR mieux conscientiser, pour MIEUX FAIRE DU LAVAGE DE CERVEAU DES QUÉBÉCOIS.... en faveur de l'armée canadienne pour aller faire la guerre.... dans un autre pays, contre ces étrangers...

-----------------------------------------------------

C'EST QUOI LES VRAIS RAISONS, AU JUSTE ??? est-ce qu'il peut y avoir quelqu'un d'assez FRANC ET HONNÊTE POUR LE DIRE ?? Si c'est pour éviter que la r.l.g..n (ajouter un "e", un "i" et "io") m.s.lm.n.e "pogne" dans ce pays pour éviter que tout cela s'étende ensuite dans d'autres pays voisins, et que cela s'étende en Amérique: qu'ils le disent!!!

Mais qu'"ils" soient conséquents aussi: il faudrait que les pays d'Amérique soient maintenant considérés comme "laïques", afin d'éviter d'encourager toute émancipation de cette religion, toute pratique PUBLIQUE de différentes religions... pour que tout le monde puisse vivre EN PAIX!!! pas seulement ceux qui sont partisans de certaines religions...
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyLun 06 Aoû 2007, 23:33

http://www.lecouac.org/article.php3?id_article=165

Pourquoi nous manifestons contre l’occupation de l’Afghanistan



Louise Caroline Bergeron // Collectif Guerre à la guerre !

Depuis quelques semaines, il ne s’en passe pas une sans qu’on nous rapporte la mort d’un autre
soldat canadien en Afghanistan. Malgré les mauvaises nouvelles du front, le Canada se prépare à y envoyer
cet été 2500 troupes, dont la plupart du 22ème régiment de la base de Valcartier près de Québec.
Mais pour aller se battre contre qui au juste ? Pour défendre quoi ?

La raison de notre présence là-bas est simple : c’est le pétrole et les vieux rêves d’oléoducs
qui n’ont rien à voir avec l’œuvre humanitaire. D’ailleurs, les fonds humanitaires contribués
là-bas le sont souvent sous condition d’être dépensés pour des produits canadiens, ratant du coup une
occasion de créer des emplois en Afghanistan, de financer les groupes communautaires locaux ou de
faire repartir l’économie autrement que par l’influx de narcodollars. Ceux qui profitent de la stratégie
d’ingérence, destruction, reconstruction ont des noms familiers : SNC Lavalin, Lockheed Martin,
Bombardier, Bechtel, CEA et Oerlikon, pour ne nommer que celles-là parmi les compagnies qui
font des affaires en or avec les projets de notre Ministère de la défense et qui ont pignon sur rue à Montréal.

Notre intervention en Afghanistan se drape de vertu, contre laquelle nulle ne peut être, pour justifier ses ratés.
Selon des rapports de plus en plus nombreux, il semble évident que notre intervention cause plus
de torts aux Afghans qu’elle ne leur apporte de solutions. Pensons aux agriculeurs qui se sont
vus économiquement contraints à passer de l’agriculture à la culture du pavot. Quand nos soldats éradiquent
leurs champs, leur ultime recours est de se rallier aux Talibans. Une stratégie contre-productive
s’il en est, que cette intervention qui renforce les rangs de l’ennemi qu’elle prétend vouloir éliminer.

Il paraît progressivement hypocrite de s’insurger contre les excès des Talibans alors que les prisonniers
que nous confions aux autorités locales subissent la torture ou disparaissent sans que
la Croix-Rouge ne puisse retrouver leurs traces. Quand une intervention cause plus de tort que le mal
qu’elle prétend soigner, il serait logique de la remettre en question. Telle qu’elle est menée, celle-ci
n’a fait l’objet d’aucun débat au Parlement canadien, ce que réprouvent les députés d’opposition à la
Chambre des communes aisni que de nombreux intellectuels.

La population Afghane, comme la nôtre, n’a que faire de cette démocratie qui ne l’est que de nom,
de ce gouvernement élu par notre entremise et manipulé à distance, de la condition des femmes
qui y siègent et subissent l’intimidation des seigneurs de guerre qui les y côtoient. La démocratie,
le pouvoir au peuple, ça ne s’impose ni par des brutes criminelles transformées en gouvernement,
ni par des chefs d’états étrangers qui décident d’envoyer leur jeunesse se faire tuer pour que leur
mode de vie égoïste et destructeur de la planète puisse durer encore un temps Si les Afghans
venaient chez nous mettre les gangs criminalisés au pouvoir, aurions-nous de la gratitude
envers eux pour nous avoir « libérés » ?

Cet entêtement à vouloir assurer la pérennité de notre mode de vie énergivore est irresponsable
puisqu’elle mène la population terrestre entière tout droit vers l’hécatombe environnemental.
Comment ne pas s’indigner quand on comprend de plus que cette intervention se fait au
détriment du financement des services publics canadiens et des groupes de défenses des droits des minorités ?

Quand investirons-nous ces milliards de dollars dans l’entraide et la solidarité internationale
véritable et directe, sans l’intermédiaire de marionnettes téléguidées, plutôt que de la
dépenser dans des croisades futiles qui ne profitent qu’aux multinationales de
l’armement et de la reconstruction ? Quand aurons-nous cesse d’envoyer nos jeunes adultes en
renfort à cette guerre sans but ni critère de victoire, qui ne défend aucune des valeurs
pour lesquelles d’autres générations se sont sacrifiées mais seulement les intérêts inassouvissables
des potentats occidentaux ?

À fouler ainsi du pied la démocratie véritable, celle qui résiste et manifeste, il ne faudra
pas se surprendre qu’un jour les AfghanEs ou d’autres aient envie de suivre cet exemple et de
venir chez nous nous donner des leçons de liberté... Leur reconnaîtrons-nous la réciproque du
« devoir d’ingérence » ? Pourquoi alors nous permettons-nous de telles interventions ailleurs en
s’attendant d’être accueillis comme des héros ?

Si nous nous opposons au départ des troupes de Valcartier, ce n’est pas pour cibler les soldatEs
qui sont ultimement responsables de leur choix de carrière. Nous nous indignons contre toute
l’entreprise hypocrite de la guerre et les motifs qui la sous-tendent. Les valeurs véhiculées par
cette intervention ne sont pas les nôtres. Pourtant, nous la finançons, nous en portons donc
chacun et chacune une part de responsabilité. Se taire c’est laisser progresser notre folle
dépendance au pétrole, c’est être complice de cette absurde tentative d’occupation de l’Afghanistan
et de la mort de nos concitoyenNEs là-bas.

Pour plus ample information à propos des dessous de la guerre en Afghanistan, voir :
— Coalition Guerre à la guerre : Valcartier 2007
http://www.coalition-valcartier-2007.resist.ca et www.valcartier2007.ca
— Bloquez l’empire ! Montréal
http://bloquezlempire.resist.ca et http://blocktheempire.blogspot.com
— Échec à la guerre
http://www.echecalaguerre.org
— The Dominion
http://dominionpaper.ca
— Dossier sur l’Afghanistan dans Le Devoir
www.ledevoir.com
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptyVen 17 Avr 2009, 16:27

Une première femme soldate (québécoise) tuée en Afghanistan:
et l'armée qui en profite pour faire de la discrimination..... ce n'est pas seulement une femme, c'est une francophone en plus....

CONTEXTE: tous les corps des soldats tués (jusqu'à présent, 115 ou 116..) en Afghanistan reviennent en avion, et atterrissent à la base canadienne de Trenton, en Ontario. La ville de Trenton est située dans l'est de l'Ontario, mais à au moins 2 heures sinon même 3 heures de Montréal.

Pour éviter de faire faire de l'autobus à d'autres soldats qui s'en revenaient de l'Afghanistan en même temps, l'avion a fait un premier escale IMPRÉVU à Ottawa (à environ 1h30 de Montréal). Tant qu'à y être, la dépouille du corps aurait pu être descendue de l'avion à cet endroit, et la famille de la soldate aurait eu moins loin à faire que d'aller à Trenton, et de faire encore 2 heures en voiture. MAIS NON. L'avion a finalement atterri à Trenton, pour descendre la dépouille de la soldate québécoise....

AUTREMENT DIT: même si ce sont des francophones de la ville de Québec ou de d'autres endroits du Québec qui décèdent, l'endroit de retour au Canada est SEULEMENT à Trenton, en Ontario, en PAYS ANGLOPHONE. Mais si des anglophones qui font partie de cette envolée et qui veulent débarquer avant Trenton, ils peuvent le faire. ALORS, pourquoi ne pas avoir débarqué la dépouille de la soldate à Montréal ou bien même à la ville de Québec, pour éviter de faire faire des heures de route à la famille de la soldate décédée ??

TOUJOURS 2 POIDS 2 MESURES........
http://lcn.canoe.ca:80/lcn/infos/national/archives/2009/04/20090417-064626.html

.
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MessageSujet: Re: Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan??   Un défi (problème):les soldats francophones en Afghanistan?? EmptySam 18 Avr 2009, 12:56

Comme je disais, c'est parce que c'était une femme militaire francophone, du Québec:

Sur le fil de presse de Radio-Canada:

COPIE:

OTTAWA S'EXCUSE POUR LE RAPATRIEMENT CONTROVERSÉ DE LA SOLDATE BLAIS TUÉE EN AFGHANISTAN

Le ministre canadien de la Défense Peter MacKay s'est excusé vendredi pour le rapatriement controversé de la dépouille de la soldate Karine Blais tuée en début de semaine en Afghanistan.

M. MacKay a déclaré qu'une "erreur opérationnelle" avait été commise lorsque l'avion militaire transportant la dépouille de la militaire de 21 ans a fait escale à Ottawa avant de continuer sa route vers la base de Trenton, en Ontario.

La controverse a éclaté à la suite de la décision des autorités militaires de déposer d'abord 117 soldats à la base CFB Uplands, près d'Ottawa, avant de ramener la dépouille à la base de Trenton, laquelle est normalement le premier arrêt de l'avion militaire lors d'un rapatriement.

Le ministre a ajouté qu'il croit que les autorités voulaient accélérer le retour à la maison des soldats, plutôt que de les faire atterrir à Trenton, puis de les forcer à prendre un autobus jusqu'à Ottawa. Il a précisé avoir obtenu l'assurance des responsables militaires que ce genre de bourde ne se reproduirait plus. Le chef d'état-major des Forces canadiennes, Walt Natynczyk, s'était aussi excusé après l'imbroglio.

FIN DU TEXTE
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