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 DOSSIER "ÉLECTIONS QUÉBEC" DE L'AGENCE FRANCE-PRES

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francoquebecois
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MessageSujet: DOSSIER "ÉLECTIONS QUÉBEC" DE L'AGENCE FRANCE-PRES   DOSSIER "ÉLECTIONS QUÉBEC" DE L'AGENCE FRANCE-PRES EmptyLun 26 Mar 2007, 18:10

voici différents liens et les textes:

http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=dos1&idArticle=070326121426.8azqqwro.xml&titre=Les+Qu%E9b%E9cois+appel%E9s+aux+urnes+pour+une+%E9lection+l%E9gislative+tr%E8s+disput%E9e

DÉBUT DU TEXTE:

TITRE DU TEXTE:
"Les Québécois appelés aux urnes pour une élection législative très disputée"

Les Québécois sont appelés aux urnes lundi pour une élection législative extrêmement disputée qui devrait déboucher sur un gouvernement minoritaire, rendant peu probable la tenue rapide d'un référendum sur l'indépendance de la province francophone.

Les derniers sondages plaçaient les partis au coude à coude, les libéraux (PLQ) de Jean Charest détenant une légère avance sur les indépendantistes du Parti québécois (PQ) d'André Boisclair, qui se sont engagés à tenir un référendum sur l'indépendance du Québec en cas de victoire.

A la dissolution de l'Assemblée en février les libéraux comptaient 72 députés, contre 45 pour le Parti québécois et cinq pour l'Action démocratique du Québec (ADQ, droite) dirigée par un jeune chef charismatique, Mario Dumont.

L'émergence de cette formation, qui pourrait obtenir entre quinze et trente sièges selon les analystes, brouille les cartes et rend le résultat du scrutin imprévisible.

L'ADQ devrait rogner des votes aux deux principaux partis ce qui devrait avoir pour conséquence l'élection d'un gouvernement minoritaire prévoient les sondeurs, qui ne sont toutefois pas fixés sur l'identité du vainqueur.

Un gouvernement minoritaire serait une première au Québec depuis 1878 et pourrait causer des maux de tête aux indépendantistes s'ils sont portés au pouvoir.

Pour pouvoir organiser un référendum sur l'indépendance, ceux-ci auraient besoin d'une majorité à l'Assemblée nationale et se verraient dans l'obligation de courtiser l'ADQ. Mais le parti de Mario Dumont a répété ce week-end qu'il refuserait toute alliance visant à faire de la province francophone un pays.

Les milliers de bureaux de scrutin ouvrent à 9H30 (14H30 GMT) et fermeront à 20H00 (1H00 GMT), suite à quoi les premiers résultats devraient tomber.

La campagne électorale a été très suivie et 10% des 5,6 millions d'électeurs Québécois se sont déjà prévalus de leur droit de vote par anticipation, soit près du double par rapport aux législatives de 2003.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

AUTRE TEXTE:

http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=dos1&idArticle=070326133336.cs3u7ypp.xml&titre=L%27ind%E9pendance+ne+mobilise+pas+les+%E9lecteurs%2C+m%EAme+ses+partisans

TITRE DU TEXTE
L'indépendance ne mobilise pas les électeurs, même ses partisans

L'éventualité de la tenue rapide d'un nouveau référendum sur l'indépendance du Québec ne semble guère enthousiasmer ses habitants, même si près de la moitié de la population de cette province canadienne dit souhaiter qu'elle devienne un pays.

Ce référendum occupe une place centrale dans le programme électoral du Parti québécois (PQ) qui compte en organiser un "le plus tôt possible" s'il reprend, aux élections du 26 mars, le pouvoir qu'il a perdu en 2003.

Le PQ pourrait quand même remporter la victoire contre deux autres formations principales, au terme d'une des élections les plus chaudement disputées de l'histoire, mais n'obtiendrait guère plus de 30% des voix, selon les sondages.

C'est beaucoup moins que les 45% d'appuis que récolte la "souveraineté".

Le PQ perd notamment environ 5% de ses soutiens au profit d'un nouveau petit parti de gauche, Québec Solidaire, lui aussi indépendantiste.

Mais il y a plus: la majorité de la population est lassée de ce débat qui polarise les électeurs à chaque élection depuis 37 ans.

"Le sentiment et l'engagement envers la souveraineté sont toujours là, mais les gens ne veulent pas d'un référendum tout de suite", dit à l'AFP Antonia Maioni de l'institut d'études canadiennes de l'université McGill à Montréal.

Bien des indépendantistes redoutent notamment un nouvel échec référendaire, après ceux de 1980 et surtout de 1995, alors que le pays rêvé leur avait échappé d'un cheveu, explique Christian Bourque de l'institut de sondages Léger-Marketing.

Les Québécois semblent plutôt disposés "à laisser une chance" au Premier ministre fédéral Stephen Harper, qui leur fait ouvertement la cour depuis son arrivée au pouvoir en janvier 2006 avec son "fédéralisme d'ouverture", dit-il.

A la tête d'un gouvernement conservateur minoritaire, M. Harper a notamment reconnu l'existence d'une "nation québécoise au sein d'un Canada uni" et accordé à la seule province majoritairement francophone du pays une représentation à l'Unesco.

Cette approche, qui tranche avec le "fédéralisme centralisateur" pratiqué par le Parti libéral du Canada durant ses années au pouvoir à Ottawa de 1993 à 2005, a placé sur la défensive les indépendantistes.

"Pour deux électeurs sur dix, (l'indépendance) n'est pas une nécessité, mais une possibilité. On la brandit lorsqu'Ottawa ou le Canada anglais heurte le Québec", rappelle Jean-Herman Guay, politologue à l'université de Sherbrooke.

Ces électeurs s'en servent "comme d'un outil de négociation avec le gouvernement fédéral" sans être prêts forcément à aller au bout de leur logique, dit à l'AFP M. Bourque. "Les électeurs québécois n'aiment pas le risque".

De fait, "depuis l'élection de M. Harper, le mouvement souverainiste est retombé dans une période de dormance", constate-t-il.

La conjoncture actuelle pourrait profiter au Parti libéral du Québec (PLQ) du Premier ministre sortant Jean Charest, mais celui-ci a battu des records d'impopularité pendant son premier mandat et sa position face au pouvoir fédéral est trop conciliante pour une majorité de Québécois.

Au fond, la majorité des Québécois veut surtout "une plus grande autonomie face à Ottawa" mais sans rompre avec le Canada, indique M. Bourque.

Or c'est exactement cette position que défend un petit parti de droite, l'Action démocratique du Québec (ADQ) qui, après avoir chassé sur les terres du PQ, lorgne maintenant l'électorat du PLQ.

Bref, c'est le vieux rêve d'"un Québec indépendant dans un Canada fort" pour reprendre la boutade lancée fin des années 1970 par l'humoriste Yvon Deschamps.

FIN DU TEXTE RECOPIÉ
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MessageSujet: Re: DOSSIER "ÉLECTIONS QUÉBEC" DE L'AGENCE FRANCE-PRES   DOSSIER "ÉLECTIONS QUÉBEC" DE L'AGENCE FRANCE-PRES EmptyLun 26 Mar 2007, 18:23

SUITE DES LIENS:

AUTRE TEXTE:
La montée d'un petit parti de droite change la donne politique

http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=dos1&idArticle=070326133619.c2g9t8l9.xml&titre=La+mont%E9e+d%27un+petit+parti+de+droite+change+la+donne+politique

La percée spectaculaire d'une petite formation de droite dans la campagne en vue des élections législatives de lundi au Québec bouscule le clivage traditionnel entre libéraux, actuellement au pouvoir, et leurs adversaires indépendantistes.
Pour la première fois depuis plus de trente ans, le Québec vit une lutte à trois où l'Action démocratique (ADQ) de Mario Dumont joue les troubles-fêtes, mordant à pleines dents dans l'électorat des indépendantistes du Parti québécois (PQ) et du Parti libéral (PLQ), favorable au maintien de la province au sein du Canada.
L'ADQ disposait de cinq députés sur 125 à la dissolution de l'Assemblée nationale en février, mais peut aujourd'hui aspirer à près d'une trentaine de sièges selon les analystes, propulsée par un chef charismatique et un programme conservateur.
Le parti entend réduire la taille de l'Etat québécois, forcer au travail les assistés sociaux, privatiser une partie du système public de santé, et propose une "troisième voie" au débat québécois entre fédéralistes et indépendantistes: l'autonomie.
"L'autonomie du Québec implique un Canada plus décentralisé, on veut s'affirmer sans se séparer", explique à l'AFP Mario Dumont dans son autocar de campagne, après un repas dans un restaurant populaire de la ville de Trois-Rivières, où il serre la main de chaque client avant de s'attabler.
Sa position "centriste" sur l'avenir du Québec, sa proximité avec la population, sa montée dans les sondages mais aussi la "faiblesse" de son équipe ont valu à Mario Dumont d'être comparé dans la presse québécoise au candidat de l'UDF à la présidentielle française, François Bayrou.
L'ADQ se dirigeait vers un cul-de-sac il y a encore quelques mois avant que M. Dumont ne rebondisse sur la question des "accommodements" accordés aux minorités religieuses, par exemple musulmane ou juive, qui défrayent la chronique dans les médias locaux.
Le leader "adéquiste" a dénoncé "l'aplaventrisme" des élites politiques en matière d'intégration des immigrants, ce qui lui a valu d'être comparé au dirigeant du Front National français, Jean-Marie Le Pen, par un adversaire libéral.
La prise de position de Mario Dumont a cependant trouvé des échos favorables dans les régions rurales du Québec, élargissant le fossé entre le Montréal cosmopolite et multiculturel et le reste de la province francophone.
Un récent sondage crédite l'ADQ de 26% des intentions de vote dans l'ensemble de la province, contre 30% aux libéraux et 32% pour les indépendantistes.
Sur l'île de Montréal, Mario Dumont est troisième, mais dans la région de Québec, essentiellement francophone, il domine très largement avec 41% des intentions de vote, selon un nouveau sondage diffusé jeudi.
"Les élites médiatico-politiques au Québec ont tendance à voir Dumont comme un phénomène négatif, le reflet du ras-le-bol des électeurs, un parking pour des gens qui ne savent pas pour qui voter, un réactionnaire, mais il représente quelque chose de positif, un espoir", juge Christian Dufour, politologue à l'Ecole nationale d'administration publique.
"Mario Dumont représente quelque chose de radical, pas d'extrémiste. Dans une société très consensuelle, très molle, comme le Québec ça a quelque chose de nouveau", ajoute le professeur qui voit dans le chef adéquiste "l'homme politique le plus fort au Québec actuellement".
Un chef qui, en dépit des analogies avec François Bayrou et Jean-Marie Le Pen, affirme se sentir "instinctivement plus proche de Nicolas Sarkozy", le candidat de l'UMP à la présidentielle française. "Sur les questions de sécurité publique, je pense que Sarkozy s'est positionné avec force. Au Québec il y a eu aussi du laxisme dans ces matières-là", lance-t-il.
FIN DU TEXTE RECOPIÉ

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AUTRE TEXTE:

UN REPORTAGE TRÈS BIEN FAIT, décrivant l'historique des 3 chefs politiques:

http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=dos1&idArticle=070326140114.xj894ip1.xml&titre=Les+chefs+des+trois+principaux+partis

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AUTRE TEXTE:

Google et YouTube, nouveaux acteurs de la campagne électorale au Québec


http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=dos1&idArticle=070326133633.zpmrsfy2.xml&titre=Google+et+YouTube%2C+nouveaux+acteurs+de+la+campagne+%E9lectorale+au+Qu%E9bec

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DERNIER TEXTE, sur la Province de Québec à l'intérieur de la Fédération Canadienne:

http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=dos1&idArticle=070326133640.m7sqgvuq.xml&titre=Le+r%E9gime+parlementaire+qu%E9b%E9cois

Le régime parlementaire québécois

Le Québec, où des élections ont lieu le 26 mars, est une des dix provinces de l'Etat fédéral canadien et possède un régime parlementaire inspiré du modèle britannique.
L'Acte constitutionnel de 1867, donnant naissance au Canada, créait deux paliers de gouvernement, l'un central (fédéral) et l'autre provincial.
Chaque province a son assemblée législative et adopte ses propres lois dans les domaines relevant de sa juridiction.
Au Québec, les députés de l'Assemblée nationale votent les lois qui sont "sanctionnées" par le lieutenant-gouverneur, représentant dans la province de la reine Elizabeth II d'Angleterre, chef d'Etat en titre du Canada.
Le pouvoir exécutif est exercé par le Premier ministre et son conseil des ministres, responsables de l'administration des lois et de l'adoption des règlements d'application de ces lois.
L'Assemblée nationale du Québec est composée de 125 députés, représentant chacun une circonscription. Ils sont élus au suffrage universel et au scrutin uninominal à un tour.
Le chef du parti qui obtient la majorité des sièges à l'Assemblée nationale devient automatiquement Premier ministre et reste en fonction pour une période maximale de cinq ans. C'est lui qui décide de déclencher des élections dans les limites de ce mandat de cinq ans.
En l'absence d'une majorité, le chef du parti ayant le plus grand nombre de députés doit être appelé à former un gouvernement minoritaire. C'est un cas de figure qui ne s'est pas produit au Québec depuis plus d'un siècle, mais qui pourrait se présenter cette fois-ci.
La composition de l'Assemblée nationale du Québec était la suivante lors de sa dissolution le 21 février: 72 députés du Parti libéral du Québec (PLQ), 45 du Parti québécois (PQ), 5 de l'Action démocratique du Québec (ADQ), un indépendant et deux sièges vacants.
FIN DU TEXTE RECOPIÉ

lien internet qui SEMBLE ÊTRE bon pour plusieurs jours:

http://www.tv5.org/TV5Site/info/dossier-Election_legislative_disputee_au_Quebec.htm
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